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Un bas de caisse voiture abîmé vous inquiète ou vous souhaitez anticiper les problèmes coûteux ? Vous avez raison. Cette zone structurelle protège, rigidifie et encaisse les chocs du quotidien. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment reconnaître les symptômes, contrôler l’état réel, estimer le prix des réparations et décider entre redresser, réparer ou remplacer, que vous soyez en formation au code ou déjà conducteur aguerri.
Le bas de caisse est la partie latérale inférieure de la carrosserie, située entre les passages de roues avant et arrière. C’est un élément à la fois esthétique et surtout structurel du véhicule. Sur la majorité des voitures, il fait partie de la coque autoporteuse et contribue à la rigidité en torsion. En cas de choc latéral ou d’appui au levage, il aide à répartir les contraintes et protège la partie basse de l’habitacle.
Son rôle ne s’arrête pas à la structure. Le bas de caisse protège le plancher, les seuils de portes et les bas de longerons contre les projections d’eau, de sel et de graviers. Sur certains modèles, on trouve des caches ou jupes rapportés en plastique qui améliorent l’aérodynamisme. La présence d’un bas de caisse en bon état favorise aussi l’étanchéité et limite les bruits d’air, ce qui participe au confort de conduite lors de vos leçons, trajets quotidiens ou longs déplacements, que vous prépariez code-voiture, code-moto ou code-bateau.
Plusieurs signes doivent vous alerter. Le premier est l’apparition de bosses, d’enfoncements ou de plis longitudinalement au bas de caisse, souvent après un frottement contre un trottoir ou l’utilisation maladroite d’un cric. Un panneau gondolé indique que la tôle a perdu sa planéité, même si la peinture n’est pas écaillée. Une porte qui ferme en frottant en bas ou un léger décalage d’alignement peut signaler une déformation locale.
La corrosion est l’autre grand indicateur. Taches brunes, cloques sous la peinture, boursouflures, peinture qui s’écaille et révélant une poussière rougeâtre : autant de manifestations de rouille. Si la pointe d’un tournevis transperce la tôle avec peu d’effort, il s’agit d’une corrosion avancée. Une odeur d’humidité persistante dans l’habitacle ou un tapis de sol mouillé près des seuils peut trahir une infiltration via le bas de caisse.
Vous pouvez aussi entendre des bruits anormaux : craquements au franchissement de dos d’âne, grésillements à vitesse élevée ou sons métalliques après un choc latéral. En présence d’un bouclier latéral rapporté, des clips cassés font vibrer la jupe et créent des bruits d’air. Enfin, des traces de frottement noirâtres, des écaillements d’antigravillonnant ou de petites fissures à la base des ailes sont des symptômes à surveiller.
Le bas de caisse est exposé en permanence. Les chocs d’accessibilité (bordures, bornes, ralentisseurs pris trop vite) génèrent des enfoncements. Un cric mal positionné en dehors des points de levage fléchit la tôle et peut endommager des éléments internes. Les cailloux, le sable et le sel hivernal projettent des micro-impacts qui finissent par entamer la peinture et amorcer la corrosion.
Avec l’âge, les protections d’origine (peinture, cire corps creux) s’amincissent. Les véhicules utilisés sur routes gravillonnées ou en bord de mer s’oxydent plus vite. Les anciennes réparations mal protégées (mastic non étanche, manque de joint d’étanchéité) rouillent plus rapidement. Enfin, une infiltration d’eau par une évacuation bouchée dans le seuil de porte accélère la formation de rouille de l’intérieur vers l’extérieur, souvent invisible au début.
Commencez par un examen visuel méthodique. Garez-vous sur une surface plane, braquez les roues pour dégager la vue, puis éclairez le bas de caisse avec une lampe. Recherchez bosses, rayures profondes, peinture cloquée, zones mates ou tachetées, fissures au niveau des jonctions avec les ailes et le fond plat. N’oubliez pas la jonction sous les portes et l’intérieur des passages de roues où les projections sont les plus intenses.
Palpez ensuite la surface : les zones minces ou « croquantes » au toucher signalent une tôle fragilisée. Tapotez légèrement avec le dos d’un tournevis : un son sourd et irrégulier peut indiquer la présence de mastic ancien ou une corrosion sous-jacente. Un aimant simple permet d’identifier les zones fortement mastiquées : l’aimant adhère faiblement là où il y a beaucoup de charge de mastic.
Contrôlez l’étanchéité. Ouvrez les portes, vérifiez l’état des joints bas, inspectez les trous d’évacuation présents sous les seuils : s’ils sont bouchés, la condensation stagne. Pulvérisez un peu d’eau et observez si elle s’écoule. À l’intérieur, soulevez le tapis de sol et regardez les planchers près des seuils pour déceler des traces de rouille ou d’humidité. Réalisez une evaluation-de-depart de l’état de la zone pour prioriser les actions.
Pour le levage, respectez scrupuleusement les points prévus par le constructeur. Ils sont identifiés par des repères sur le bas de caisse ou dans le manuel. Un levage au mauvais point peut écraser la tôle, cisailler la peinture et déclencher la corrosion. Sur véhicules électriques et hybrides, redoublez de prudence : le pack batterie est souvent proche du bas de caisse, avec des zones interdites au cric.
Au contrôle technique en France, un bas de caisse corrodé de façon perforante ou avec atteinte des éléments structurels (soudure déchirée, déformation impactant les ancrages) est susceptible de déclencher un défaut majeur ou critique. Vous aurez alors une contre-visite, ou une immobilisation si la sécurité est en jeu. Anticiper ce point vous évite une mauvaise surprise et une immobilisation forcée.
La meilleure réparation reste l’entretien. Rincez régulièrement les dessous et les bas de caisse, especially l’hiver : le sel accélère l’oxydation. Un lavage à l’eau claire et un shampoing carrosserie, suivi d’un séchage, limitent l’accumulation de contaminants. Inspectez tous les 3 à 6 mois les trous d’évacuation et débouchez-les avec un petit tournevis ou un coton-tige.
Appliquez un traitement de protection. Un voile d’antigravillonnant de qualité sous les zones exposées absorbe les impacts de gravillons. À l’intérieur des corps creux (seuils), une cire corps creux pulvérisée via les accès prévus crée une barrière hydrophobe. Pour une zone saine mais fragilisée, une couche de primaire époxy puis de peinture protège durablement contre la rouille.
Évitez de grimper les bordures de trottoir. Prenez les ralentisseurs à faible vitesse et en ligne droite pour éviter les torsions. Positionnez le cric uniquement sur les points dédiés. Si vous utilisez des rampes, veillez à leur bonne accroche et à ce que la lèvre de la rampe ne touche pas le bas de caisse. En stationnement, préférez des places dégagées des bornes basses et des blocs béton.
Après une petite rayure qui a traversé la peinture, intervenez rapidement : désoxydez la zone, neutralisez la rouille naissante avec un convertisseur, appliquez un primaire et une retouche de peinture. Une intervention en 24 à 72 heures évite l’amorçage corrosif, surtout en période humide.
Il existe plusieurs stratégies de réparation. Pour un enfoncement léger sans arête vive et sans écaillage, un débosselage peut suffire. Le technicien utilise des leviers à l’intérieur du bas de caisse lorsque l’accès est possible, ou un tire-clou pour tirer la tôle par l’extérieur. On retrouve la planéité, puis un léger voile de mastic de finition et une mise en peinture peuvent parfaire le résultat.
Lorsque la tôle est pliée avec une arête ou que la peinture est fendue, la réparation comprend un redressage, un ponçage, un traitement anti-corrosion, du masticage, l’application d’un apprêt garnissant, un ponçage de finition et une mise en teinte. La zone est ensuite protégée avec une couche d’antigravillonnant pour retrouver la texture d’origine sous la caisse.
En cas de corrosion perforante, la solution durable consiste à découper la zone atteinte, puis à souder un patch de tôle formé à la bonne courbe. Le carrossier pratique un soudage MIG/MAG, meule les cordons, applique un mastic d’étanchéité sur les joints, puis repeint. Enfin, il injecte une cire corps creux pour protéger l’envers du panneau. Ce type de réparation restaure l’intégrité structurelle et passe le contrôle technique s’il est bien réalisé.
Si la zone est très endommagée ou si la corrosion est étendue près des ancrages de berceau, il peut être nécessaire de remplacer tout ou partie du bas de caisse. Cela demande du dépointage (dé-soudage des points d’origine), la présentation de la pièce de remplacement, un ajustage précis et la soudure de la nouvelle pièce, suivis d’un traitement anticorrosion complet. C’est plus long, mais souvent plus sûr sur le long terme.
Le redressage doit respecter la forme d’origine pour éviter tout affaiblissement. Le spécialiste commence par chauffer modérément la zone (si nécessaire) afin d’assouplir la tôle peinte. Avec un tire-clou, il soude temporairement de petites pointes sur la bosse, puis utilise un marteau de carrossier et une cale pour ramener la tôle dans sa géométrie. Le but est de réduire la contrainte sans étirer la tôle, ce qui demanderait plus de mastic.
Après redressage, un léger voile de mastic polyester rectifie les microrayures et irrégularités. La surface est poncée progressivement, de P180 à P400, puis un apprêt garnissant est pulvérisé. On contrôle la planéité à la règle et à la lumière rasante. Vient ensuite la mise en teinte et le vernis ou la finition texturée type antigravillonnant. L’ensemble recrée une surface résistante aux projections et conforme à l’aspect d’origine.
Quand le remplacement s’impose, l’intervention se déroule en plusieurs étapes : dépose des garnitures intérieures et des protections extérieures, repérage des points de soudure, dépointage et retrait de la pièce, contrôle de l’absence de corrosion dans les corps creux et sur les points d’ancrage. La pièce neuve est ensuite ajustée à blanc, parfois avec un gabarit d’alignement pour garantir la géométrie des ouvertures de porte.
La fixation se fait par soudure par points et cordons MIG/MAG aux emplacements d’origine, en respectant les préconisations du constructeur. L’étanchéité des joints est assurée par un mastic-colle polyuréthane. On applique un primaire époxy, puis l’antigravillonnant, la teinte et le vernis. Enfin, on réinjecte de la cire corps creux. Cet enchaînement est essentiel pour éviter la réapparition de la corrosion.
Les tarifs varient selon la gravité des dommages, la marque du véhicule, l’accès à la zone, la présence de capteurs et de caches, ainsi que le niveau de finition souhaité. En 2025, le taux horaire carrosserie en France se situe généralement entre 60 et 95 € HT. Voici des ordres de grandeur pour un bas de caisse :
Pour un petit enfoncement sans peinture abîmée, un débosselage local peut coûter entre 80 et 200 € TTC. Avec retouche peinture locale et texture antigravillonnante, comptez 180 à 450 € TTC selon la longueur à reprendre. Ces montants couvrent souvent 1 à 3 heures de main-d’œuvre et les consommables (apprêt, mastic, antigravillons).
En cas de redressage avec peinture partielle, la facture peut s’échelonner de 300 à 800 € TTC par côté, en fonction de la surface, des démontages (enjoliveurs, jupes) et des raccords peinture. Les véhicules aux teintes perlées ou tricouches augmentent le coût à cause des procédés spécifiques.
Pour une corrosion perforante avec découpe et greffe, les prix grimpent logiquement : 600 à 1 200 € TTC par côté pour une zone limitée. Si la corrosion est étendue, ou si le remplacement d’un panneau complet est nécessaire, la fourchette va de 900 à 2 200 € TTC par côté, pièce incluse. Une pièce d’origine constructeur coûte souvent 30 à 70 % plus cher qu’une adaptable de qualité équivalente, mais garantit une meilleure correspondance.
Des surcoûts sont possibles : démontage d’éléments de finition intérieurs, réglages de portes si la géométrie a bougé, traitements anticorrosion renforcés, ou immobilisation plus longue. Un devis précis après inspection reste la seule référence fiable pour votre cas. Des solutions de financement peuvent aider à lisser la dépense.
Un bas de caisse abîmé par un choc responsable sans tiers identifié est généralement couvert en dommages tous risques, après application de la franchise. En cas de tiers responsable identifié, la prise en charge dépendra de l’expertise et du constat. La corrosion d’usure n’est pas couverte par l’assurance ; c’est considéré comme un entretien. En revanche, une rouille consécutive à un choc peut l’être si elle est documentée rapidement.
Sur un véhicule acheté récemment auprès d’un professionnel, une corrosion structurelle anormale et dissimulée peut relever de la garantie légale de conformité ou des vices cachés, sous conditions. Conservez photos, rapports et diagnostics. Un expert peut être mandaté pour évaluer l’origine et l’étendue des dommages.
Un bas de caisse en bon état conserve la rigidité de la caisse, favorise la précision de conduite et la tenue de cap, notamment lors des manœuvres d’évitement. En cas d’accident, il contribue à l’absorption d’énergie et à la conservation du volume habitable. À l’inverse, une zone corrodée ou pliée compromet la résistance latérale et peut fausser le comportement du véhicule lors d’un choc.
Pendant l’apprentissage et les stages intensifs comme ceux dispensés par INRI’S Formations, l’habitude de vérifier visuellement le bas de caisse et de positionner le cric au bon endroit fait partie des bons réflexes de conducteur. Cette vigilance simple évite des dégâts parfois coûteux et sécurise les interventions de base (changement de roue, inspection saisonnière), que vous prépariez un permis-auto, un permis-moto ou un permis-bateau.
De nombreux véhicules sont équipés de jupes latérales ou de caches en plastique fixés au bas de caisse. Leur rôle est de protéger des projections et d’améliorer l’aérodynamisme, parfois l’esthétique. Ces pièces absorbent les petits chocs, mais elles peuvent masquer une corrosion naissante. Lors d’un contrôle, déposez-les si elles sont endommagées pour inspecter la tôle et les fixations.
Les SUV et utilitaires sont plus hauts, mais pas à l’abri : les longues portes et les seuils plus épais reçoivent beaucoup de projections. Les véhicules électriques, avec des packs batteries logés dans le plancher, imposent des zones de levage strictes ; un mauvais levage peut endommager des plaques de protection et générer des réparations coûteuses. Sur les citadines, le bas de caisse fin se déforme plus facilement face aux trottoirs.
Réparez par redressage et peinture si l’enfoncement est localisé, que la tôle n’est pas étirée de façon excessive et qu’il n’y a pas de corrosion perforante. Cette approche coûte moins cher et conserve les éléments d’origine. Dès qu’il y a une perforation, une tôle feuilletée, des soudures craquelées ou un impact sur un point de levage, privilégiez une réparation avec découpe ou un remplacement de section.
En règle générale, si la réparation excède 60 à 70 % de la valeur du véhicule, ou si la zone endommagée touche des ancrages de sécurité, optez pour un remplacement partiel ou complet. Un diagnostic carrosserie précis, idéalement avec mesure de géométrie si des portes ferment mal, permet d’arbitrer sereinement.
Choisissez un carrossier habitué aux réparations structurelles. Demandez s’il pratique le redressage assisté par tire-clou, la soudure MIG/MAG et l’injection de cire corps creux. Vérifiez la garantie appliquée sur la peinture et l’antigravillonnant. Un devis détaillant la main-d’œuvre, les pièces, les produits et les protections anticorrosion évite les mauvaises surprises.
Comparez deux ou trois devis sur la base d’un même cahier des charges. Privilégiez les ateliers qui proposent une inspection sous-lift pour photographier l’envers du bas de caisse. Les labels qualité et les avis sur les réparations structurelles sont de bons indicateurs. Enfin, demandez un délai réaliste : une bonne réparation nécessite parfois 2 à 5 jours, séchages inclus.
Rincez régulièrement, traitez les éclats de peinture sans délai, vérifiez les orifices d’évacuation, appliquez une cire corps creux tous les 2 à 4 ans selon l’usage, et refaites un antigravillonnant sous les zones les plus sollicitées si la texture d’origine est amincie. En hiver, lavez plus souvent pour éliminer le sel. En été, surveillez les longues pistes gravillonnées qui sablent la peinture.
Lors des changements de pneus, profitez de la voiture levée pour inspecter l’intérieur des passages de roue, le bord du bas de caisse et les retours de tôle. Un simple contrôle visuel biannuel suffit à détecter tôt 80 % des problèmes et à garder un bas de caisse sain malgré les années.
Pour un particulier, éviter les tentatives musclées avec un cric inversé ou des pinces : vous risquez d’étirer irréversiblement la tôle. Le redressage correct se fait avec un tirage contrôlé, une chauffe modérée et des outils adaptés. Confiez l’opération à un carrossier qui pourra ensuite protéger la zone avec mastic d’étanchéité et peinture, afin de prévenir le retour de la rouille.
En 2025, le remplacement d’une section de bas de caisse avec peinture et protections anticorrosion tourne généralement entre 900 et 2 200 € TTC par côté, selon modèle, accès et finition. Sur un véhicule premium, sur des teintes spéciales ou si des éléments adjacents doivent être alignés, la facture peut dépasser 2 500 €. Un devis après démontage exploratoire est la meilleure garantie de précision.
Si vous devez remplacer une section, privilégiez les pièces d’origine ou des pièces adaptables de qualité équivalente, galvanisées si possible. Pour les produits, un primaire époxy bi-composant offre une excellente barrière anticorrosion, un mastic polyester de bonne marque assure une finition durable, et un antigravillonnant polyuréthane apporte résistance et élasticité. La cire corps creux doit rester fluide et hydrofuge.
Pour des jupes latérales rapportées, choisissez des kits certifiés, avec fixations d’origine ou homologuées. Une mauvaise fixation crée des vibrations et des infiltrations, abîmant à terme la tôle. La compatibilité avec les points de levage est indispensable : une jupe qui les masque compliquera les interventions et augmentera les risques de dommages.
Vérifiez l’alignement visuel des côtés au soleil, recherchez bosses et fissures de peinture, appuyez doucement pour détecter des zones molles, tapotez pour repérer les surfaces mastiquées, inspectez les orifices d’évacuation et regardez le dessous des passages de roue. En cas de doute, prenez des photos et consultez un carrossier. Une inspection saisonnière de 10 minutes suffit le plus souvent à prévenir des réparations lourdes.
Le contrôle technique considère la structure, la corrosion et l’intégrité des soudures. Une corrosion perforante dans la zone portante ou proche des points d’ancrage peut entraîner une contre-visite ou une interdiction de circulation. Une réparation reconnue, bien soudée, protégée et documentée (facture, photos) facilite la validation lors du passage, surtout si l’examinateur peut vérifier l’absence de perforation et l’efficacité des protections. En parallèle, pensez à préserver vos points-conduites en adoptant une conduite souple et anticipative.
Adapter sa conduite protège le bas de caisse. Abordez les dos d’âne à faible vitesse, franchissez les rampes de parking en biais avec prudence, évitez les stationnements « au contact » des trottoirs, et méfiez-vous des bordures hautes. Une anticipation sereine, telle qu’enseignée dans les stages intensifs d’INRI’S Formations, réduit les risques de contacts intempestifs et conserve la structure intacte. Pour progresser rapidement, renseignez-vous sur un stage-accelere ou un permis-accelere adaptés à votre planning.
Les constructeurs utilisent de plus en plus des aciers à haute limite élastique et, parfois, des alliages d’aluminium dans les zones basses. Ces matériaux allègent tout en renforçant la rigidité, mais imposent des méthodes spécifiques de soudure et de collage. Un atelier outillé et formé à ces technologies garantit une réparation conforme, notamment sur les véhicules récents dotés d’aides à la conduite dont les capteurs peuvent être proches des jupes latérales.
Après un choc latéral, même à basse vitesse, inspectez la continuité du bas de caisse. Une légère « vague » peut traduire une contrainte structurelle. Après une inondation, l’eau stagnante dans les corps creux déclenche une corrosion accélérée : il faut sécher, désoxyder et réinjecter une cire. La grêle affecte rarement le bas de caisse, mais les projections d’antigravillonnant peuvent être écaillées : un renouvellement local s’impose.
Un bas de caisse sain rassure l’acheteur et l’expert. Un historique de réparations documenté, avec photos avant/après et factures précisant les produits utilisés (primaire époxy, mastic d’étanchéité, cire corps creux), valorise votre véhicule et fluidifie la transaction. À l’inverse, une corrosion visible sert d’argument de négociation pour une baisse de prix parfois supérieure au coût d’une réparation préventive.
Identifiez l’étendue réelle des dommages, traitez immédiatement la rouille, évitez les improvisations de redressage, demandez un devis détaillé et exigez une protection anticorrosion complète après réparation. Un bas de caisse en bon état, c’est une structure saine, une sécurité préservée et une voiture plus agréable au quotidien. C’est aussi l’assurance d’un passage serein au contrôle technique et d’une revente plus simple.
Sollicité au quotidien, le bas de caisse conditionne la rigidité, la sécurité et la longévité de votre voiture. En reconnaissant tôt les symptômes, en contrôlant régulièrement et en intervenant avec les bonnes méthodes (du simple redressage à la soudure ou au remplacement), vous évitez l’escalade des coûts. Protégez, entretenez et faites-vous accompagner par un carrossier qualifié : vous roulerez plus longtemps, sereinement et en toute sécurité, que vous soyez en cours de code-voiture ou déjà titulaire de votre permis.
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