Défaillances majeures contrôle technique, causes courantes, délais et coûts, nos conseils pour éviter la contre visite et rouler en règle.
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Vous vous demandez ce que recouvrent exactement les défaillances majeures contrôle technique et ce qu’elles impliquent pour votre véhicule et votre budget ? C’est une question légitime et très fréquente. Un défaut majeur entraîne une obligation de réparation et une contre-visite. Pour limiter l’impact sur votre financement, voyons comment identifier les causes, respecter les délais et maîtriser les coûts associés.
Une défaillance majeure est un défaut constaté lors du contrôle technique qui compromet la sécurité ou l’environnement de façon significative, sans pour autant immobiliser immédiatement le véhicule. Elle impose des réparations et une contre-visite à réaliser dans un délai légal. Concrètement, le centre remet un procès-verbal indiquant les points concernés, leur codification, et les obligations qui en découlent. Cette catégorie se distingue des « défaillances mineures », qui n’entraînent pas de contre-visite, et des « défaillances critiques », qui imposent une intervention immédiate et l’interdiction de circuler au-delà de la journée.
Dans la réglementation française inspirée de la directive européenne, chaque organe du véhicule (freinage, direction, visibilité, éclairage, pollution, structure, liaisons au sol, etc.) est associé à des points de contrôle et à une nomenclature. Une défaillance majeure signifie que le défaut présente un risque réel mais jugé maîtrisable à court terme, à condition de le corriger rapidement. Le véhicule n’est pas « bon pour la casse », il doit simplement être remis en conformité dans les temps. Le document remis par le contrôleur mentionne les codes correspondants et la mention « contre-visite exigée ».
Comprendre la nuance entre majeur et critique est essentiel pour savoir comment agir. Une défaillance critique porte sur un défaut grave qui compromet immédiatement la sécurité routière ou entraîne des émissions dangereuses. En pratique, le centre indique la présence d’une défaillance critique, vous autorise à quitter les lieux pour vous rendre au garage, et le véhicule ne doit plus circuler à compter de la fin de journée s’il n’est pas réparé. À l’inverse, la défaillance majeure laisse un délai de deux mois pour effectuer réparations et contre-visite. Cette distinction conditionne les délais et influe sur les coûts puisque l’urgence d’intervention diffère.
Sur le plan administratif, le procès-verbal de contrôle précise toujours la nature des défaillances, et la vignette apposée sur le pare-brise rappelle la date de validité. En cas de doute, il est recommandé de contacter le centre pour clarifier les mentions et organiser rapidement la suite. Cela évite de perdre des jours précieux sur le délai de contre-visite et de risquer une nouvelle visite complète si la date butoir est dépassée.
Certaines anomalies reviennent fréquemment parce qu’elles touchent des organes sollicités au quotidien. Les défauts de freinage représentent l’un des motifs majeurs les plus courants: disques trop usés, plaquettes à la limite, déséquilibre au freinage arrière, frein de stationnement inefficace. Les liaisons au sol sont également surveillées, avec des amortisseurs fuyards, un jeu anormal dans les rotules de direction ou un alignement défaillant. Côté visibilité, un pare-brise fissuré dans le champ de vision, des balais d’essuie-glace inefficaces ou des gicleurs bloqués peuvent basculer en majeur selon l’importance du défaut.
Les éclairages et la signalisation génèrent aussi de nombreuses défaillances: réglage de faisceau trop haut, feux de croisement inopérants, antibrouillard mal orientés, répétiteurs de clignotants défaillants. L’état des pneus est déterminant: sculptures sous le témoin d’usure, hernie sur flanc, montes non conformes, usure irrégulière liée à une géométrie approximative. Enfin, la pollution et le bruit sont passés au crible: fumées excessives sur diesel, voyant moteur allumé lié aux émissions, fuite d’échappement, catalyseur inefficace. Ces éléments, même s’ils ne rendent pas le véhicule immédiatement dangereux, justifient une contre-visite pour rétablir un niveau de sécurité et d’environnement conforme.
Derrière chaque défaillance majeure, on retrouve souvent des causes simples à diagnostiquer. Un freinage déséquilibré est souvent lié à un étrier grippé, à une fuite de liquide ou à une différence d’usure des plaquettes. Des disques marqués, bleuis ou creusés dégradent l’efficacité. Un essai sur route avec une pédale ferme mais un comportement tirant d’un côté est révélateur. Un défaut de suspension se ressent par des rebonds excessifs, une tenue de route floue et des trépidations au freinage. Des amortisseurs fuyants laissent des traces d’huile sur le corps et altèrent l’adhérence.
En visibilité et éclairage, des phares opaques ou ternis réduisent l’intensité lumineuse et peuvent provoquer un mauvais réglage. Les ampoules à filament vieillissent et perdent en puissance, tandis qu’une tension alternateur instable peut les faire griller prématurément. Côté pollution, les trajets très courts sur moteur essence encrassent le catalyseur et la sonde lambda; sur diesel, un filtre à particules saturé ou une vanne EGR encrassée fait monter l’opacité des fumées. Le voyant moteur ou un code défaut à la valise OBD signale souvent le problème. Pour les pneus, une usure en facettes évoque des amortisseurs fatigués, une usure intérieure prononcée suggère un carrossage ou parallélisme à revoir, et une usure extérieure un sous-gonflage ou un roulage agressif en virage.
Oui, il est permis de circuler avec une défaillance majeure jusqu’à la date limite de contre-visite, en prenant évidemment toutes les précautions nécessaires. Cela ne doit pas être perçu comme une autorisation de prolonger indéfiniment la situation: plus vous attendez, plus l’usure évolue et plus les risques augmentent, sans compter que des coûts annexes peuvent s’ajouter si un organe détériore un autre. À l’inverse, avec une défaillance critique, vous êtes tenu de réparer immédiatement et de ne plus circuler après la journée en cours, sauf pour rejoindre l’atelier. Cette distinction est capitale pour éviter toute infraction et préserver votre sécurité.
Il est judicieux d’utiliser le délai pour planifier rapidement les réparations, commander les pièces, obtenir un devis et réserver la contre-visite. L’assurance peut exiger que le véhicule soit maintenu en bon état de fonctionnement. En cas d’accident où un défaut connu a aggravé les dommages, votre responsabilité pourrait être engagée. Circuler quelques jours le temps d’aller au garage reste possible, mais différer plusieurs semaines sans action expose à des aléas mécaniques et juridiques.
Le délai réglementaire pour la contre-visite après une défaillance majeure est de deux mois à compter du jour du contrôle. Passé ce délai, la contre-visite n’est plus recevable et vous devrez repasser un contrôle complet, ce qui signifie un coût total réinitialisé et de nouvelles vérifications sur l’ensemble des points. Pour éviter cet écueil, gardez le procès-verbal à portée de main, notez la date butoir et prenez rendez-vous au plus tard à mi-parcours, afin de garder une marge si le garage a besoin de plus de temps.
En période chargée, certains centres peuvent afficher des délais de plusieurs jours pour les contre-visites, surtout en fin de mois ou avant les départs en vacances. Anticiper dès la sortie du centre, en réservant une plage de contre-visite conditionnée à la fin des réparations, est une stratégie efficace. Si votre atelier habituel est surchargé, sollicitez un second devis pour gagner quelques jours, tout en vérifiant que le plan de réparation respecte à la lettre les points notifiés sur le contrôle technique.
Les points de refus associés à des défaillances majeures couvrent un large spectre. Sur la sécurité active, les freins, la direction, la suspension et les pneus dominent. Les fuites de liquide de frein, un maître-cylindre défaillant, un flexible craquelé, un jeu excessif dans une rotule de direction ou une biellette, un amortisseur fuyard, un ressort cassé, ou des pneus en dessous du témoin sont des exemples typiques. Sur la visibilité, le pare-brise fissuré dans le champ direct, des essuie-glaces inefficaces, un lave-glace inopérant ou un miroir cassé entraînent la contre-visite.
Côté éclairage et signalisation, un feu de croisement ou de stop inopérant, un réglage de phare trop haut éblouissant, des répétiteurs défaillants, ou des feux antibrouillard mal réglés sont sanctionnés. Sur l’environnement, des fuites d’échappement, un silencieux percé, un niveau d’opacité ou d’émissions au-dessus des seuils, un voyant moteur allumé lié aux émissions, ou un système antipollution modifié sont des motifs récurrents. Enfin, la structure et le châssis sont scrutés: corrosion perforante à proximité d’un point d’ancrage, plancher affaibli, longeron endommagé. Toutes ces situations, lorsqu’elles atteignent le niveau majeur, nécessitent correction et re-contrôle.
Le prix du contrôle technique n’est pas administrativement fixé en France: il varie selon la région et le centre. En 2025, le tarif moyen observé pour un véhicule particulier essence ou diesel se situe généralement entre 75 et 100 euros, avec des écarts possibles selon les promotions, la localisation et les prestations incluses (par exemple un pré-contrôle visuel proposé par certains réseaux). La contre-visite est facturée séparément, souvent entre 15 et 35 euros, selon qu’elle porte sur quelques points ciblés ou qu’elle implique des mesures supplémentaires comme une nouvelle lecture de pollution. Certains centres l’offrent si les réparations ont été réalisées chez un partenaire, mais ce n’est pas la norme.
Le poste le plus variable reste évidemment la réparation. Pour les freins, un remplacement disques-plaquettes sur un essieu s’échelonne couramment de 200 à 500 euros selon le véhicule et la qualité des pièces, quand un flexible ou un étrier peut ajouter 80 à 300 euros. Sur les liaisons au sol, des amortisseurs changés par paire varient de 300 à 700 euros, une rotule de direction ou une biellette de 80 à 250 euros, une géométrie de 70 à 120 euros. Des pneus de qualité milieu de gamme coûtent généralement 70 à 160 euros l’unité hors montage selon la dimension. En éclairage, une ampoule coûte peu mais un projecteur complet ou un réglage complexe peut grimper à 150-400 euros.
Sur la pollution, la fourchette est large: une simple vidange et un filtre à air/essence peuvent suffire à retrouver des valeurs conformes pour 120-250 euros, tandis qu’un catalyseur, une sonde lambda ou un filtre à particules entraînent des budgets de 300 à plus de 1500 euros. Un échappement percé se règle souvent entre 120 et 400 euros selon la section remplacée. Pour un pare-brise fissuré dans le champ de vision, le remplacement via assurance bris de glace peut réduire le reste à charge; sans prise en charge, la facture oscille régulièrement entre 350 et 900 euros selon les capteurs et caméras embarquées.
Le premier levier pour réduire les coûts consiste à demander un devis détaillé pièce par pièce, avec référence et qualité (origine constructeur, équipementier, adaptable). Cette transparence permet d’arbitrer entre plusieurs propositions sérieuses et de vérifier la conformité des pièces. Le deuxième levier est de grouper intelligemment les opérations: si vos disques avant sont proches de la limite et que les plaquettes sont à changer, opter pour le remplacement à la fois des disques et des plaquettes évitera une double main-d’œuvre. Un troisième levier est l’entretien préventif: remplacer périodiquement les filtres, le liquide de frein, contrôler la géométrie après un choc, préservera votre portefeuille et limitera les défaillances majeures.
Enfin, tenir un carnet de bord de l’entretien évite de réparer deux fois la même chose ou d’oublier une opération planifiée. Conserver les factures et le diagnostic OBD lorsque le voyant moteur s’allume facilite le dialogue avec le contrôleur et avec l’atelier. Le « mieux-disant » technique n’est pas toujours le plus cher: un garage qui explique, photographie les pièces avant/après et s’engage sur un délai compatible avec la contre-visite est souvent un gage de sérénité.
Rouler sans contrôle technique à jour expose à une amende forfaitaire de 135 euros, à une possible immobilisation du véhicule et à l’obligation de remettre en conformité dans un délai imparti par les forces de l’ordre. En cas d’accident, l’assureur peut examiner attentivement l’état du véhicule et les éventuelles négligences. De plus, la vente d’un véhicule d’occasion nécessite un CT de moins de six mois (ou de moins de deux mois s’il y a contre-visite), sous peine de rendre la transaction caduque ou juridiquement fragile. L’oubli n’est jamais une bonne option: il s’agit d’un rendez-vous périodique, au même titre que l’assurance ou l’entretien, et il protège tous les usagers de la route. Préserver la sécurité, éviter les sanctions et protéger vos points-conduites va de pair avec un véhicule correctement suivi.
Si vous laissez expirer le délai de contre-visite, vous n’êtes plus en règle. Vous devrez repasser un contrôle complet, perdre du temps et payer davantage. C’est une situation facile à éviter en réservant à l’avance et en planifiant les réparations dès la réception du procès-verbal. Une bonne habitude consiste à noter dans votre calendrier la date de validité et à activer un rappel quinze jours avant.
La contre-visite se concentre sur les points identifiés comme défaillances majeures ou critiques lors du premier passage. Le contrôleur vérifie que les réparations ont été réalisées et que les valeurs mesurées rentrent dans les tolérances. Il peut demander les factures de réparation ou un justificatif si cela aide à comprendre l’intervention, même si ce n’est pas systématique. Les mesures de pollution peuvent être refaites si un voyant moteur ou un code défaut relatif aux émissions persistait, et l’efficacité du freinage repassée au banc si un déséquilibre avait été constaté.
Si tout est conforme, le centre délivre un avis favorable, met à jour la vignette et vous restitue le procès-verbal de contre-visite. Dans le cas où un point resterait non conforme, une nouvelle contre-visite peut être requise, avec les coûts et délais associés. D’où l’intérêt, avant de revenir, de réaliser un contrôle visuel et fonctionnel simple: vérifier les feux, les essuie-glaces, le niveau de liquide de frein, un test d’ABS en sécurité, une mesure de pression des pneus, et s’assurer qu’aucun voyant rouge n’est allumé au tableau de bord.
Pour limiter les défaillances majeures, adoptez une routine préventive pragmatique. Commencez par des trajets suffisamment longs au moins une fois par semaine pour permettre au moteur et au système d’échappement d’atteindre leur température, favorisant la régénération du filtre à particules sur diesel et limitant l’encrassement sur essence. Surveillez vos pneus mensuellement, à froid, en ajustant la pression recommandée par le constructeur, et remplacez-les par essieu lorsque l’usure se rapproche des témoins. Une géométrie après un choc contre un trottoir ou un nid-de-poule évite usures irrégulières et tirages au freinage.
Nettoyez ou remplacez périodiquement les filtres (air, habitacle, carburant) et respectez l’intervalle de vidange, y compris le changement du liquide de freinage tous les deux ans environ, que de nombreux automobilistes oublient. Pour l’éclairage, remplacez les ampoules par paire sur un même essieu optique afin d’éviter les différences d’intensité et vérifiez le réglage des phares après un remplacement de projecteur ou une intervention sur la face avant. En visibilité, des balais performants et un lave-glace dégivrant évitent une appréciation négative du contrôleur par mauvais temps.
Une préparation simple fait souvent la différence entre avis favorable et contre-visite. Vérifiez toutes les fonctions lumineuses: feux de croisement, route, position, stop, antibrouillard, clignotants, éclairage de plaque. Contrôlez le klaxon, la ceinture sur chaque place, l’état des rétroviseurs, la présence du triangle et du gilet (même s’ils ne sont pas systématiquement points de refus, ils témoignent d’un véhicule suivi). Nettoyez le pare-brise, l’intérieur des phares si accessible, et assurez-vous que les numéros de série sont lisibles. Une pression pneus correcte aide au freinage et à la mesure sur banc. Enfin, effacez uniquement un code défaut si la cause a été traitée: masquer un problème sans le réparer risque d’entraîner une défaillance à la mesure de pollution ou au roulage. Si nécessaire, commencez par une evaluation-de-depart avec votre atelier pour prioriser les interventions.
Si vous avez un doute sur un organe critique, un pré-contrôle auprès d’un garage peut sécuriser l’issue. Certains centres proposent un survol visuel gratuit ou à faible coût, utile pour identifier un feu défectueux ou une plaque illisible avant de lancer le contrôle officiel.
Lors d’un achat d’occasion, le contrôle technique de moins de six mois est un document central. Lisez la liste des défaillances mineures et majeures, même si la vente intervient après une contre-visite favorable. Recherchez des mentions récurrentes sur la corrosion, des jeux dans la direction, des déséquilibres de freinage, ou des valeurs d’opacité proches des seuils pour anticiper des frais à court terme. Un historique avec de nombreuses contre-visites pour pollution peut signaler un usage inadapté (trajets très courts) ou un entretien insuffisant.
Posez des questions transparentes au vendeur: quelles pièces ont été remplacées, qui a réalisé l’intervention, y a-t-il des factures ? Un essai routier permet de sentir un flottement de suspension, un bruit sourd de roulement, une vibration au freinage, ou un volant qui ne revient pas bien en ligne. Ce sont des indices complémentaires au papier. Un véhicule au CT vierge excessivement parfait peut aussi inviter à vérifier la cohérence globale: entretien, kilométrage, cohérence des pneus par essieu, présence du carnet. Un achat informé évite de découvrir une défaillance majeure au prochain passage.
La meilleure façon de passer le contrôle technique sans accrocs est de maintenir une cadence d’entretien régulière, en vous fiant au plan constructeur et à votre usage réel. Un usage urbain intensif avec arrêts fréquents exige des vidanges plus rapprochées, une attention aux freins et à l’embrayage, et une vigilance accrue sur le système antipollution. Un usage autoroutier s’accompagne d’une surveillance des pneus et des trains roulants. Dans tous les cas, la cohérence entre l’entretien, les sensations au volant et les contrôles visuels préserve votre budget et votre sécurité.
En anticipant, vous transformez le CT en simple formalité. Vous évitez les immobilisations surprise, les réparations en urgence et les coûts d’opportunité. Vous contribuez aussi à une meilleure revente: un dossier d’entretien complet, des CT successifs sans contre-visite, et des pièces de qualité inspirent confiance et peuvent valoriser le véhicule lors d’une transaction.
Les exigences environnementales sont au cœur du contrôle. Une défaillance majeure peut sanctionner un niveau d’émissions trop élevé, un système antipollution absent ou modifié, ou un voyant moteur allumé lié aux émissions. Les véhicules essence sont mesurés sur le CO, le CO2 (indicatif), les HC selon l’âge et la norme, tandis que les diesels sont évalués via l’opacité des fumées. Un entretien régulier du système d’admission, des capteurs et du catalyseur, ainsi qu’un carburant de qualité, limitent les déconvenues. Les trajets plus longs favorisent l’atteinte de la température de fonctionnement et réduisent l’encrassement.
Un conseil concret avant le CT consiste à réaliser, quelques jours avant, un roulage soutenu sur voie rapide, moteur à température, afin d’aider au décrassage. Assurez-vous toutefois que le moteur est sain: pas de surconsommation d’huile, pas de voyants rouges. Cette simple habitude peut faire la différence entre une valeur d’opacité limite et une mesure confortable, tout en restant dans un cadre responsable et sécurisé.
Le jour J, présentez la carte grise, vérifiez la concordance du numéro de série, et assurez-vous que les plaques sont lisibles et conformes. Le centre mettra à jour la vignette et délivrera le procès-verbal détaillant l’issue: favorable, défavorable pour défaillances majeures avec contre-visite, ou défavorable critique. Conservez ces documents: ils constituent l’historique légal du véhicule, utile pour une revente ou pour expliquer des réparations importantes à votre assureur.
Si vous changez de domicile ou de région, la validité du contrôle technique demeure, c’est un certificat national. En cas de perte du procès-verbal, contactez le centre pour un duplicata. Et si le véhicule a été immobilisé après une défaillance critique, coordonnez transport et réparations avec une assistance ou une dépanneuse afin de rester dans le cadre légal et d’éviter des risques inutiles.
Un conducteur formé anticipe mieux les signes d’alerte: allongement des distances de freinage, tirage à gauche, bruits de train roulant, fumée anormale, vibrations au volant, éclairage insuffisant. En comprenant ces symptômes et en agissant tôt, vous transformez des pannes coûteuses en maintenances planifiées. Dans un contexte de sécurité routière, ce réflexe bénéficie à tous. Chez INRI’S Formations, nos moniteurs diplômés d’État intègrent ces notions dans les parcours de conduite, y compris en permis-accelere, et peuvent proposer un stage-accelere de préparation pour gagner en autonomie et en sérénité.
Au-delà du passage au centre, la culture de la maintenance évite les comportements à risque. Savoir estimer l’adhérence, reconnaître un pneu sous-gonflé, sentir un amortisseur fatigué, ou interpréter un voyant moteur changent votre rapport à la route. Cette posture diminue les surprises, rend les délais de contre-visite plus sereins et réduit l’impact financier des réparations.
Planifier le contrôle technique à une période calme de votre agenda, loin des vacances ou des échéances professionnelles, offre de la marge. Deux à trois semaines avant la date, réalisez une inspection simple: éclairage, essuie-glaces, niveaux, pressions, état visuel des disques et des pneus, fonctionnement du klaxon et des ceintures. Une semaine avant, bookez les réparations mineures et validez un créneau de contre-visite éventuelle. La veille, faites un parcours de décrassage moteur à température et vérifiez qu’aucun voyant anormal n’est allumé. Cette routine linéaire, répétée tous les deux ans, réduit quasi mécaniquement la probabilité de défaillances majeures.
Si le véhicule est peu utilisé, portez une attention particulière à la batterie et aux freinages de maintien. Un long stationnement entraîne souvent un léger voilage des disques ou un grippage d’étriers. Un roulage périodique, avec quelques freinages progressifs, préserve les organes et améliore l’issue au banc de freinage.
À la réception d’un avis défavorable, il est parfois pertinent de demander un second avis technique sur la stratégie de réparation. Si vous observez un écart incompréhensible entre deux centres sur des points factuels, dialoguez avec le contrôleur: le code des défaillances est normé, mais l’appréciation peut tenir compte du contexte (ampleur, localisation, cumul de défauts). Un garage de confiance peut objectiver avec photos, jeux aux instruments, mesures d’opacité ou de géométrie. L’objectif n’est pas de contourner la règle, mais d’obtenir la réparation juste, ni sous-dimensionnée ni excessive, afin de réussir la contre-visite du premier coup.
Conservez toujours les pièces remplacées jusqu’à la contre-visite si possible: c’est un excellent moyen de visualiser l’usure et de garder une trace, notamment pour des éléments critiques comme les rotules de direction, les flexibles de frein ou les plaquettes. Cela aide à comprendre l’origine de la défaillance majeure et à améliorer vos habitudes de conduite et d’entretien.
Un réseau national expérimenté apporte des repères fiables: délais, tarifs, pratiques transparentes et conseil pédagogique. Chez INRI’S Formations, notre accompagnement à la conduite intègre des rappels sur les organes de sécurité et les obligations du contrôle technique, afin que chaque conducteur sache reconnaître les signaux faibles et planifier les interventions. Nous préparons tous les profils: permis-auto, permis-moto, permis-bateau, et la révision du code-voiture, du code-moto ou du code-bateau pour renforcer vos réflexes de sécurité.
La combinaison d’une formation rigoureuse, d’un suivi en ligne de la progression et de la disponibilité d’un réseau de partenaires permet de passer d’une logique de réaction à une logique d’anticipation. C’est ainsi que l’on évite l’effet « boule de neige » où une ampoule grillée ouvre la porte à un réglage de phare défaillant, puis à une mauvaise visibilité, puis à une contre-visite, alors que tout aurait pu être corrigé en amont pour quelques euros.
Les défaillances majeures contrôle technique découlent généralement d’usures prévisibles sur le freinage, les liaisons au sol, l’éclairage, la visibilité ou la pollution. Elles exigent une réparation suivie d’une contre-visite sous deux mois. Les coûts se maîtrisent par l’entretien préventif, le regroupement des opérations, la comparaison de devis et une planification sereine des rendez-vous. Respecter le calendrier légal évite l’amende, l’immobilisation et la répétition d’un contrôle complet. En cultivant ces réflexes, vous transformez un moment souvent redouté en formalité sécurisante, tout en préservant la valeur et la fiabilité de votre véhicule. Et si vous souhaitez renforcer vos compétences de conducteur pour anticiper encore mieux, nos parcours structurés, de l’evaluation-de-depart à la préparation d’examens, vous donnent des clés concrètes et durables pour conduire en toute confiance.
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