Comprenez le panneau stop, les règles à appliquer et les sanctions en cas de non respect. Conseils clairs pour réussir l'examen du permis
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Envie d’éviter l’erreur fatale au panneau stop et de conduire sereinement? C’est une règle simple, mais souvent mal appliquée. Un arrêt net et une bonne observation font toute la différence. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment respecter un STOP, quelles sanctions s’appliquent en 2025, et quelles bonnes pratiques adopter pour rouler en toute sécurité.
Le panneau STOP, codifié AB4 dans l’instruction interministérielle sur la signalisation routière, impose un arrêt absolu à l’approche d’une intersection. Sa forme octogonale rouge avec l’inscription blanche « STOP » est universellement reconnaissable afin d’éviter toute ambiguïté, même en conditions de faible visibilité. Il est conçu pour réduire drastiquement le risque de collision latérale, souvent grave, en obligeant chaque usager à marquer une immobilisation complète avant de s’engager.
En France, ce panneau signifie que la priorité est accordée intégralement aux autres usagers présents sur la chaussée transversale. Il ne crée pas une priorité partagée entre toutes les branches du carrefour, contrairement à certains pays où le « all-way stop » existe. Ici, celui qui rencontre le STOP doit attendre que la voie soit libre et s’insérer sans gêner.
Le fondement juridique du STOP s’appuie sur le code de la route et les règles internationales issues de la Convention de Vienne de 1968. L’objectif est d’uniformiser la compréhension et de sécuriser les carrefours présentant des contraintes de visibilité, des vitesses d’approche élevées ou des historiques d’accidents.
Un STOP efficace ne se limite pas au panneau lui-même. Il s’accompagne en général d’un marquage au sol spécifique: la ligne d’arrêt transversale (marquage T’1). Cette ligne matérialise l’endroit précis où les roues du véhicule doivent être immobilisées. Lorsqu’elle est présente, l’arrêt doit être effectué juste avant cette ligne, même si la visibilité n’est pas optimale à cet endroit.
En amont, un panonceau de distance peut annoncer le STOP pour prévenir l’usager et l’aider à adapter sa vitesse. Ce panonceau indique généralement une distance typique de 150 m, mais elle est ajustée selon la configuration des lieux. Dans les zones où les approches sont rapides ou la visibilité limitée, un panneau d’annonce peut être répété pour renforcer l’anticipation de l’arrêt.
L’implantation du panneau STOP respecte des règles de hauteur, de déport par rapport au bord de la chaussée et de dimension afin d’assurer une perception optimale de jour comme de nuit. Les tailles les plus fréquentes sont d’environ 0,70 m en agglomération, 0,90 m hors agglomération et jusqu’à 1,10 m sur les axes rapides, sous réserve des spécificités techniques locales. Les dispositifs rétroréfléchissants garantissent la lisibilité en nocturne ou par temps de pluie.
Le gestionnaire de voirie doit veiller à ce que la signalisation soit visible, non masquée par une végétation ou un mobilier urbain, et en bon état. Un panneau illisible ou un marquage effacé augmente le risque d’erreur et la probabilité d’accidents. En cas de doute sur la bonne lisibilité, l’usager doit rester prudent et se comporter comme si l’obligation était pleinement applicable.
Respecter un STOP, c’est d’abord réduire l’allure suffisamment tôt. Le conducteur doit freiner progressivement, rétrograder si nécessaire, et terminer l’approche sur un filet de gaz pour préserver la stabilité du véhicule. L’objectif est d’obtenir une immobilisation complète des roues avant la ligne d’arrêt ou, à défaut, au niveau du panneau.
L’arrêt doit être net, sans « roulage » résiduel. Un très léger mouvement en avant, même à très faible vitesse, est susceptible d’être considéré comme un non-respect. Il n’existe pas de durée légale d’arrêt en secondes, mais la jurisprudence et la pratique pédagogique retiennent qu’une immobilisation franche, laissant le temps de regarder des deux côtés, est requise.
Après l’arrêt, si la visibilité est insuffisante depuis la ligne, il est admis d’avancer à très faible allure jusqu’à la limite de la chaussée, en marquant si besoin un second arrêt de sécurité. Cette progression « en crabe » au point de patinage, en contrôlant les angles morts, permet d’obtenir le champ visuel nécessaire pour s’engager sans danger.
La séquence efficace se résume ainsi: ralentissement anticipé, arrêt propre avant la ligne d’arrêt, observation active à gauche, à droite et en face, contrôle des rétroviseurs, engagement décidé lorsque l’espace est disponible, sans gêner ni surprendre les autres usagers. L’usage des clignotants est impératif si vous tournez.
Le STOP impose l’immobilisation obligatoire, le cédez-le-passage impose uniquement de s’assurer que l’on peut passer sans gêner les usagers prioritaires, sans obligation d’arrêt si la voie est libre. Au cédez-le-passage, la « voie libre » permet un franchissement fluide; au STOP, l’arrêt est exigé même si vous voyez clairement que personne n’arrive.
Le marquage au sol diffère: au STOP, la ligne est continue et épaisse (T’1), tandis qu’au cédez-le-passage, on trouve les « dents de requin » (T’2). En cas d’absence de marquage, le panneau prévaut, et l’arrêt doit se faire à l’aplomb de l’alignement du panneau ou à l’approche immédiate du carrefour.
Contrairement à l’Amérique du Nord où les « four-way stops » sont fréquents et régis par des règles d’arrivée, la France privilégie des priorités claires: un seul axe est mis à l’arrêt, l’autre conserve la priorité. En conséquence, ne supposez jamais que le véhicule en face de vous rencontrera lui aussi un STOP.
Un STOP sans marquage au sol est moins confortable pour l’usager. Dans ce cas, l’arrêt se fait à hauteur du panneau, puis on avance prudemment pour gagner la visibilité. Un panneau masqué par la végétation reste opposable: si vous suspectez un carrefour dangereux, adoptez la prudence maximale et signalez la gêne au gestionnaire de voirie.
En côte, la maîtrise du démarrage en côte évite le recul intempestif. Servez-vous du frein à main, puis engagez doucement le véhicule au point de patinage. En descente, anticipez davantage, car la gravité augmente les distances d’arrêt. Sous la pluie, la distance de freinage s’allonge; ralentissez bien avant, essuyez votre pare-brise et augmentez la vigilance latérale.
La nuit, soignez la gestion des feux et la lecture des repères rétro-réfléchissants. Ne vous fiez pas exclusivement aux phares des autres: certains usagers circulent mal éclairés. À moto, l’arrêt doit être stable et franc, avec une relance souple pour éviter la perte d’adhérence sur bandes blanches humides. En poids lourds, l’inertie impose une anticipation plus grande et des contrôles répétés en hauteur pour pallier les angles morts étendus.
Le non-respect d’un STOP constitue une contravention de 4e classe. Il expose à une amende forfaitaire de 135 €, pouvant être minorée à 90 € si payée rapidement, ou majorée en cas de retard. Cette infraction entraîne une perte de points de 4 sur le permis de conduire. En cas de présentation devant la juridiction, une suspension du permis peut être prononcée, jusqu’à 3 ans selon la gravité et le contexte.
Le retrait de 4 points n’est pas anodin, notamment sur un permis probatoire. Un conducteur novice qui perd 3 points ou plus reçoit une notification l’obligeant à suivre un stage de sensibilisation à la sécurité routière dans un délai imposé. Ce stage peut permettre de récupérer jusqu’à 4 points, dans la limite du plafond et de la fréquence autorisée, mais il reste à la charge du conducteur.
Dans les cas où une priorité a été refusée et qu’un accident en découle, d’autres qualifications peuvent s’ajouter, comme la mise en danger d’autrui. Les conséquences financières et administratives s’alourdissent alors, sans compter le préjudice corporel potentiel pour les victimes. Un STOP mal respecté n’est jamais une « petite erreur »: c’est un enjeu vital.
La constatation de l’infraction peut être effectuée par les forces de l’ordre en poste statique ou en patrouille. Des dispositifs de vidéo-verbalisation existent dans certaines communes, appuyés sur des caméras urbaines. Dans quelques zones pilotes, des capteurs dits « radar stop » peuvent aider à caractériser l’immobilisation ou non d’un véhicule, même si leur déploiement reste limité.
Concrètement, si un agent estime que vous n’avez pas marqué l’arrêt, il peut dresser un procès-verbal mentionnant ses observations, l’heure, le lieu et les circonstances. En cas de contestation, la conduite à tenir consiste à fournir des éléments objectifs: enregistrements, témoignages, plans, photos de l’état de la signalisation. Toutefois, l’argument « j’ai presque arrêté » n’a pas de valeur: seule l’immobilisation totale compte.
Si vous recevez un avis de contravention, le choix entre paiement, requête en exonération ou consignation dépendra des éléments du dossier. Veillez à respecter les délais pour préserver vos droits. Un conseil juridique peut s’avérer pertinent si le retrait de points menace la validité de votre permis.
Une infraction au STOP peut influencer votre prime d’assurance, surtout si elle est corrélée à un sinistre responsable. Certains assureurs appliquent une majoration en cas d’infraction significative au code de la route. De plus, la perte de 4 points réduit votre « coussin » de sécurité: d’autres petites infractions successives peuvent conduire à l’invalidation du permis pour solde nul.
Pour un conducteur en permis probatoire, l’effet cumulatif est encore plus sensible. La récupération automatique de points au fil des années probatoires repose sur une conduite sans infraction. Un STOP non respecté ralentit cette progression, impose un stage payant, et peut retarder l’atteinte du capital de 12 points.
La stratégie la plus efficace reste la prévention: formation de qualité, conduite apaisée, anticipation systématique des zones à risque et respect scrupuleux des régimes de priorité.
L’erreur la plus courante est le « rouler-stop », c’est-à-dire un ralentissement très marqué sans immobilisation complète. En seconde position, l’arrêt au mauvais endroit, notamment après la ligne d’arrêt ou trop avancé dans l’intersection, exposant une partie du véhicule à la trajectoire des autres. Troisièmement, une observation insuffisante, due à une précipitation ou à une mauvaise gestion de la visibilité.
Pour éviter ces pièges, la clé est d’anticiper: regard loin, repérage précoce du panneau avancé, décélération graduelle, finition propre en première. À l’arrêt, respirez une seconde, balayezz le champ visuel à 180 degrés, vérifiez les piétons et deux-roues souvent discrets. Après le STOP, repartez franchement si la voie est libre: l’hésitation prolongée peut surprendre et créer une situation dangereuse.
Sur chaussée humide, évitez de freiner brutalement sur les bandes blanches. Gardez une trajectoire propre, mains stables, et préservez l’adhérence en limitant les transferts de charge. Ajustez la vitesse d’approche en conséquence, quitte à vous arrêter un peu plus tôt pour rester parfaitement maître de votre véhicule.
À moto, l’arrêt doit être équilibré: regard loin, débrayage tardif pour garder de la stabilité, pose d’un pied au sol, puis relance progressive. Soyez attentif aux sillons, plaques ou marquages glissants. Les scooters et motos sont particulièrement vulnérables aux refus de priorité: redoublez de prudence en approchant un carrefour, même si vous avez la priorité. Profitez-en pour réviser votre code-moto et affiner vos automatismes.
En voiture, le confort mécanique permet un arrêt franc et une relance souple. Ne vous laissez pas distraire par les systèmes d’aide à la conduite: le freinage d’urgence autonome n’est pas conçu pour « faire » un STOP à votre place. Le conducteur reste responsable de la décision d’immobiliser et de s’engager, notamment lors de la préparation du permis-auto.
Pour les poids lourds, l’anticipation est reine. La masse et la longueur augmentent les distances d’arrêt et la difficulté de voir les usagers faibles. Marquez l’arrêt un peu plus tôt, multipliez les contrôles dans les rétroviseurs, et engagez-vous uniquement lorsque l’espace est réellement suffisant pour dégager tout l’ensemble routier sans gêner.
En agglomération, les STOP gèrent souvent des carrefours à visibilité masquée par des stationnements, du mobilier urbain ou des bâtiments. Les piétons et cyclistes y sont nombreux. Un arrêt courtois et vigilant protège les usagers les plus vulnérables, en particulier aux heures d’entrée et sortie d’école.
Hors agglomération, les vitesses d’approche des véhicules sur la voie principale sont plus élevées. Même si vous estimez avoir le temps, rappelez-vous que les distances à parcourir pour dégager le carrefour sont plus longues. Un jugement trop optimiste peut se payer très cher. La patience d’une seconde vaut mieux qu’une prise de risque.
Aux abords des chantiers, des déviations temporaires peuvent imposer un STOP inhabituel. Lisez attentivement la signalisation provisoire. La nuit, privilégiez une approche plus lente, augmentez les distances de sécurité et évitez toute distraction.
Le STOP agit comme une barrière psychologique et physique. Il contraint à casser la vitesse et à se reconnecter à l’environnement. Les collisions latérales à angle droit, fréquentes aux carrefours non protégés, sont parmi les plus mortelles en raison des intrusions dans l’habitacle et des transferts d’énergie défavorables.
L’arrêt donne le temps de détecter les signaux faibles: un piéton masqué derrière une camionnette, un cycliste sans éclairage, une moto arrivant vite mais encore éloignée. En s’arrêtant, on transforme un jugement « à l’instinct » en une évaluation consciente et vérifiée. Cette discipline sauve des vies et préserve votre capital de points.
Le panneau AB4 et son marquage T’1 sont décrits dans l’instruction interministérielle sur la signalisation routière, qui précise forme, couleurs, rétroréflexion et implantation. La cohérence avec la Convention de Vienne garantit une reconnaissance internationale: si le mot « STOP » demeure en anglais, c’est pour préserver une uniformité de lecture par tous les conducteurs.
Les dimensions courantes sont adaptées aux vitesses pratiquées et aux contraintes du site: environ 0,70 m en zone urbaine, 0,90 m hors agglomération, 1,10 m sur routes rapides. Le choix tient compte de la distance de détection, de l’éclairage et de la concurrence visuelle. Le respect de ces proportions améliore le repérage précoce et réduit les freinages tardifs.
Si vous estimez avoir été verbalisé à tort, rassemblez vos preuves rapidement: plans, photos montrant l’état du marquage au sol, vidéos embarquées, témoignages. Déposez une requête en exonération dans les délais mentionnés sur l’avis. Gardez un ton factuel et appuyez-vous sur des éléments vérifiables, pas sur des impressions.
Si l’infraction est établie, payez dans les temps pour éviter la majoration. Puis, évaluez votre solde de points et vérifiez vos points-conduites. En cas de besoin, un stage de récupération de points peut être réalisé pour restaurer jusqu’à 4 points dans la limite réglementaire. Cette démarche est particulièrement recommandée après une perte de 4 points au STOP.
À l’examen pratique, le STOP est un moment d’évaluation décisif. Les inspecteurs observent la qualité de la décélération, l’arrêt avant la ligne d’arrêt, l’observation latérale et la décision d’engagement. Un « roulage » sans arrêt franc est éliminatoire, car il traduit une méconnaissance d’une règle de sécurité majeure.
En formation, on entraîne la routine: regarder loin, identifier tôt la signalisation, préparer son freinage, marquer l’arrêt, balayer les axes visuels et repartir avec détermination. Cette méthode réduit le stress, améliore la qualité de conduite et augmente considérablement vos chances d’obtenir le permis-moto, le permis-bateau ou le permis-accelere selon vos objectifs.
Pour intégrer ces automatismes, la pratique répétée sur des itinéraires variés est indispensable. Avant de débuter, réalisez une evaluation-de-depart pour calibrer un parcours adapté. INRI’S Formations propose des entraînements intensifs au code et à la conduite avec des moniteurs diplômés d’État, sur tout le territoire, avec 380 points conduite, dont le code-voiture, le code-bateau et des sessions dédiées au permis-bateau.
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Que vous prépariez le permis-auto ou que vous révisiez le code-moto, nous adaptons la progression à votre profil et travaillons les situations qui vous posent problème, notamment les STOP à faible visibilité ou en trafic dense.
Le mot « STOP » sur le panneau est une convention favorable à la lisibilité universelle. Dans d’autres pays, des variantes existent: arrêts multiples à toutes les branches du carrefour, priorités différentes, ou marquages spécifiques. Si vous circulez à l’étranger, renseignez-vous sur les règles locales, car un automatisme acquis en France peut ne pas s’appliquer tel quel ailleurs.
En France, la culture de la priorité est simple: au STOP, on cède la priorité à tous, on observe, puis on s’insère quand la voie est libre. Dans le doute, abstenez-vous de vous engager. Un excès de prudence est préférable à une fausse estimation.
Anticipez visuellement: balayez la route 10 à 15 secondes devant vous pour détecter tôt la signalisation. Ajustez la vitesse dès l’annonce du STOP. Positionnez votre véhicule correctement dans la voie pour optimiser l’angle de vue, surtout si des obstacles masquent l’approche latérale.
Privilégiez un style de conduite apaisé. Évitez les distractions, tenez vos distances, et adaptez votre conduite aux conditions. Souvenez-vous que la priorité ne se « prend » pas: elle se constate. Au STOP, c’est toujours vous qui devez prouver que les conditions d’un franchissement sûr sont réunies.
Entraînez-vous régulièrement et capitalisez sur des retours d’expérience. S’il vous arrive d’hésiter, reprenez la routine: ralentir, arrêter, observer, s’engager. Cette discipline, portée par une formation de qualité, vous offre une sécurité durable et protège votre capital de points.
Respecter un panneau stop, c’est combiner rigueur et anticipation. Vous évitez ainsi l’amende, la perte de points et, surtout, vous prévenez les accidents graves. Avec une pédagogie adaptée et un entraînement régulier, cette règle devient un automatisme fiable. Chez INRI’S Formations, nous vous accompagnons pour transformer ces exigences en réflexes simples, efficaces et durables, afin que chaque arrêt soit un investissement dans votre sécurité et celle des autres.
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