Decouvrez le deshuileur moteur son role ses avantages et son entretien pour prevenir les pannes et proteger turbo et moteur durablement
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Vous voulez comprendre le rôle d’un deshuileur moteur et prévenir des pannes coûteuses ? Vous avez raison : ce discret séparateur protège à la fois la mécanique et l’environnement. Voici, de façon claire, son fonctionnement, son utilité, ses bénéfices concrets et les bons réflexes d’entretien pour rester serein sur la route.
Un deshuileur moteur est un séparateur d’huile intégré au circuit de ventilation du carter. Sa mission consiste à capter les microgouttelettes d’huile entraînées par les gaz de soufflage qui passent les segments de pistons. Ces gaz, appelés “blow-by”, doivent être renvoyés vers l’admission plutôt que libérés à l’air libre, mais sans particules d’huile pour éviter l’encrassement et la surconsommation. Le deshuileur sépare finement l’huile des gaz et renvoie l’huile décantée au carter.
On le désigne aussi comme reniflard, séparateur d’huile, décanteur, ou “PCV” (Positive Crankcase Ventilation). Sur les moteurs modernes, il est souvent intégré au couvre-culasse avec une membrane et un clapet. Sur certains véhicules plus anciens ou sportifs, il prend la forme d’un boîtier séparé, parfois nommé “oil catch can”. L’objectif reste identique : préserver un mélange air/carburant propre et maintenir une pression de carter stable.
Le principe repose sur la décantation et la coalescence. Les gaz de bas-moteur, chargés d’aérosols d’huile, traversent des chicanes, canaux cycloniques ou médias coalescents qui ralentissent le flux et favorisent l’agglomération des microgouttes. Devenues plus lourdes, elles retombent par gravité vers le carter, tandis que les gaz asséchés sont redirigés vers l’admission.
Au cœur du dispositif, la valve PCV module le débit afin de conserver une légère dépression dans le carter et prévenir les surpressions destructrices pour les joints. À faible charge, la dépression d’admission aspire doucement les vapeurs. À pleine charge ou sur les moteurs turbo, quand la pression d’admission devient positive, des circuits dérivés et clapets de non-retour gèrent la circulation sans renvoyer de pression vers le bas-moteur.
Sur les motorisations suralimentées, un chemin dédié contourne parfois le compresseur pour ne pas graisser la roue de turbo et l’intercooler. Les architectures varient selon les marques, mais l’idée reste la même : séparer efficacement les vapeurs d’huile et maîtriser leur réintroduction dans le collecteur d’admission.
Première fonction : la protection interne. En retirant l’huile des gaz recirculés, le deshuileur limite les dépôts dans le collecteur, sur le papillon, les soupapes d’admission et l’échangeur. Résultat : conduits plus propres, ralenti régulier et combustion stable.
Deuxième fonction : la maîtrise de la pression de carter. Une ventilation correcte évite les fuites aux joints spi, les suintements aux couvre-culasses et la dégradation prématurée des durites. Un reniflard colmaté accroît les contraintes et peut entraîner des avaries coûteuses.
Troisième fonction : la réduction des émissions. Réintroduire les gaz de blow-by dans l’admission plutôt que les évacuer à l’air libre diminue l’empreinte environnementale et aide au respect des normes antipollution. En limitant les brumes d’huile, le catalyseur, le FAP et la sonde lambda travaillent dans de meilleures conditions, plus longtemps.
Enfin, performance et agrément y gagnent : mélange air/carburant plus homogène, moins d’auto-allumage et une réponse à l’accélération plus régulière, notamment sur les moteurs à injection directe.
Un deshuileur efficace réduit la consommation d’huile, souvent discrète au quotidien mais significative à long terme. Il retarde l’encrassement de l’admission, préservant la qualité du ralenti et la souplesse à bas régime. Sur les moteurs turbo, il limite l’huile stagnante dans l’intercooler, source d’à-coups et de fumées lors des remises de gaz.
Il protège aussi les capteurs sensibles (débitmètre, sondes de pression/température), prolonge la vie des joints, du circuit de ventilation et des durites, et atténue les odeurs d’huile brûlée. Indirectement, il favorise une réussite au contrôle technique grâce à des émissions mieux contenues.
Sur de nombreux moteurs récents, le deshuileur est intégré au couvre-culasse sous forme d’un boîtier à membrane ou cartouche. Il est relié à l’admission par une ou plusieurs durites. Sur des configurations plus anciennes, c’est un petit boîtier séparé, cylindrique ou prismatique, connecté au carter et au collecteur. Des traces huileuses aux alentours alertent sur un encrassement ou une fuite.
Pour l’identifier, suivez la durite de ventilation partant du haut moteur vers l’admission. Vous croiserez la valve PCV ou un clapet, puis le séparateur. Attention à ne pas confondre avec une électrovanne d’EGR ou de turbo. Un schéma constructeur ou une RTA dédiée à votre modèle reste la meilleure référence.
Un ralenti instable, des variations d’aspiration ou un sifflement près du couvre-culasse évoquent une membrane percée ou un clapet bloqué. Une hausse marquée de la consommation d’huile, des durites grasses, une fumée bleutée à l’échappement ou des dépôts huileux dans l’admission signalent une séparation déficiente.
Des suintements aux joints spi, un joint de couvre-culasse fatigué ou une odeur d’huile brûlée après arrêt trahissent souvent une surpression dans le carter, conséquence typique d’un reniflard obstrué. Sur certains moteurs essence, des codes OBD de mélange trop pauvre ou trop riche (P0171/P0172) proviennent d’un PCV défaillant perturbant le débit d’air mesuré.
En hiver, un dépôt blanchâtre façon “mayonnaise” dans le tuyau de reniflard — typique des trajets courts — révèle une condensation accumulée qui bloque le passage. Outre l’entretien, des parcours plus longs permettant d’atteindre la température stabilisée aident à évacuer l’humidité.
De l’huile au reniflard peut révéler un excès de blow-by (segments usés, moteur kilométré), une membrane percée, un mauvais routage de durites ou un séparateur saturé. À charge élevée et haut régime, le débit gazeux grimpe et sollicite fortement le système. Un deshuileur encrassé perd en efficacité de coalescence et laisse passer l’huile vers l’admission. Un contrôle visuel des conduits, couplé à un test de la valve PCV, oriente le diagnostic.
Tout dépend de la conception. Sur cartouche ou membrane remplaçable, suivez les préconisations constructeur (souvent 60 000 à 120 000 km). Sur boîtier nettoyable, un démontage-rinçage soigné tous les 60 000 à 80 000 km préserve l’efficacité. Usages sévères (trajets courts, froid, ville) = intervalles plus rapprochés.
À chaque vidange, contrôlez l’état des durites, l’absence de fissures, pincements ou colmatage, et l’étanchéité des raccords. Les clapets anti-retour doivent coulisser librement. Une inspection côté papillon ou en amont du turbo révèle vite une présence d’huile excessive.
Déposez le séparateur, purgez l’huile, puis rincez les chicanes au solvant adapté (nettoyant freins/dégraissant compatible plastiques). Laissez sécher intégralement pour éviter l’aspiration de liquide. Purgez aussi les durites sans utiliser d’objets abrasifs.
Attention aux membranes, ressorts et clapets : si la pièce est scellée ou l’ouverture déconseillée par le constructeur, remplacez-la. Changez joints toriques et bagues au remontage. Respecter le couple de serrage évite déformations et fuites.
Une valve PCV coûte souvent 20 à 60 €, un boîtier de séparateur d’huile 50 à 150 €, un couvre-culasse avec deshuileur intégré 150 à 350 € (voire plus sur modèles premium). La main-d’œuvre varie d’une à trois heures selon l’accessibilité.
Un remplacement complet pièces + MO se situe en général entre 120 et 500 € selon le véhicule. Sur des moteurs compacts très intégrés, la facture peut augmenter. Anticiper cet entretien évite des dégâts onéreux, comme un turbo encrassé d’huile ou un catalyseur abîmé par des imbrûlés.
Les moteurs suralimentés génèrent davantage de blow-by sous charge, et la pression d’admission positive empêche parfois l’aspiration naturelle des gaz de carter. Le système embarque alors des clapets et dérivations spéciales pour préserver l’étanchéité du turbo et éviter d’envoyer de l’huile vers l’échangeur. Une accumulation d’huile dans l’intercooler n’est pas normale et doit faire suspecter un séparateur inefficace ou des joints de turbo fatigués.
Sur les Diesel récents avec EGR et FAP, le mélange suies + brumes d’huile forme des dépôts collants dans l’admission. Un deshuileur performant réduit cette boue, limite l’encrassement des volets de turbulence et aide le FAP à fonctionner correctement. Sur essence à injection directe, il diminue les dépôts sur soupapes malgré l’absence de lavage par l’essence.
Par temps froid, la vapeur d’eau de combustion condense dans les conduits de ventilation du carter. Si le moteur n’atteint pas assez longtemps sa température normale, cette eau s’associe aux vapeurs d’huile et crée une émulsion blanchâtre. Cette “mayonnaise” peut obstruer le reniflard et abîmer la membrane. Allonger occasionnellement un trajet, atteindre la bonne température et entretenir régulièrement limitent ce phénomène.
Dans le tuning, ajouter un “oil catch can” externe peut améliorer la séparation et simplifier le contrôle visuel. Toutefois, toute modification du circuit de ventilation doit rester fermée et conforme à l’origine pour éviter les rejets atmosphériques. En France, un montage non homologué ou ventilé à l’air libre peut contrevenir à la réglementation et compromettre le contrôle technique.
Pour rester serein, privilégiez les pièces d’origine/OEM, respectez le sens des clapets et les diamètres de durites, et évitez les montages qui perturbent la dépression de carter. Une mauvaise modification crée fuites, défauts d’adaptation, codes moteur et surconsommation.
Un deshuileur en bon état limite les hydrocarbures imbrûlés et particules huileuses, améliorant directement la qualité de l’air et vos chances au contrôle technique (opacité, fuites). Un système fuyant peut être signalé, tout comme un mélange mal maîtrisé générant des émissions anormales.
Commencez par l’odorat et la vue : odeur d’huile brûlée, film gras dans l’admission, durites poisseuses. Écoutez ensuite un sifflement au couvre-culasse, souvent typique d’une membrane percée. Test simple : retirez brièvement le bouchon d’huile au ralenti ; une légère aspiration est normale, une aspiration très forte ou des variations de régime indiquent un problème de valve PCV.
Des contrôles réguliers à la vidange, une huile aux spécifications constructeur et des intervalles d’entretien respectés préservent l’efficacité du système. Des huiles trop fluides ou hors spécifications peuvent modifier le comportement des vapeurs et accroître la formation d’aérosols.
Reniflard : ventilation du carter. PCV : ventilation contrôlée par dépression. Blow-by : gaz de combustion fuyant entre segments et chemises. Coalescence : regroupement de microgouttes. Décantation : séparation par gravité. Membrane : élément flexible régulant pression et débit. Clapet anti-retour : garantit un seul sens d’écoulement. Couvercle de culasse/couvre-culasse : zone où l’on trouve souvent le deshuileur intégré.
Respectez les intervalles de vidange, surveillez le niveau sans sur-remplir, atteignez régulièrement la température de fonctionnement et privilégiez des trajets permettant au moteur de fonctionner pleinement. Un contrôle visuel à chaque entretien et le remplacement préventif de la valve PCV et des durites vieillissantes coûtent peu et évitent des pannes plus sérieuses.
En usage soutenu (autoroute, remorquage, forte charge), intensifiez la surveillance. Inspectez l’intercooler et planifiez un nettoyage d’admission selon l’état. En cas de doute, faites établir un diagnostic avec documentation constructeur et mesure de dépression.
Un moteur propre et stable simplifie la préparation au permis et la conduite quotidienne : pédale prévisible, ralenti stable, absence d’à-coups, autant d’atouts pour se concentrer sur trajectoires et priorités. Pour une formation complète, révisez le code, mais aussi le code-voiture, le code-moto et le code-bateau. Selon vos objectifs, choisissez le permis-auto, le permis-moto ou le permis-bateau, avec la possibilité d’un stage-accelere ou d’un permis-accelere si votre calendrier est serré. Avant de démarrer, une evaluation-de-depart vous situe précisément, et la gestion de vos points-conduites comme votre financement s’intègrent dans un parcours fluide. Dans l’esprit d’INRI’S Formations, l’entretien du deshuileur contribue à une expérience de conduite fiable et rassurante.
Si vous observez une hausse de la consommation d’huile, des fumées anormales, des bruits au couvre-culasse, des codes liés au mélange, ou des traces d’huile dans l’admission, consultez. Un atelier équipé vérifiera la dépression de carter, testera la membrane, contrôlera les clapets et proposera nettoyage ou remplacement adapté. Un diagnostic précoce protège joints, turbo et systèmes d’après-traitement.
L’intervention type : mise en sécurité, déconnexion batterie si nécessaire, dépose du cache moteur, repérage des durites de ventilation et du boîtier de séparateur d’huile. Après déconnexion et inspection, le boîtier est démonté, nettoyé ou remplacé, puis remonté avec joints neufs. Un essai routier et une vérification d’étanchéité concluent l’opération.
Sur systèmes intégrés au couvre-culasse, il peut falloir remplacer l’ensemble. Respecter les couples de serrage et la procédure de pose du joint est crucial. Pour les véhicules dotés de capteurs sensibles dans l’admission, une remise à zéro des adaptations peut être pertinente après intervention.
Nettoyer une membrane scellée au lieu de la remplacer précipite la panne. Inverser des durites annule l’effet des clapets et dérègle la pression de carter. Remonter un boîtier humide introduit des solvants dans l’admission, générant ratés et alertes moteur. Un sur-remplissage d’huile augmente massivement les aérosols et surcharge le deshuileur.
Qualité et viscosité d’huile gouvernent la formation de brumes et la stabilité des vapeurs. Une huile conforme aux normes du constructeur, remplacée à intervalles raisonnables, contient des additifs contrôlant volatilité et aérosolisation. À l’inverse, des intervalles trop longs favorisent oxydation et épaississement, que le deshuileur moteur gère plus difficilement.
Sur moteur très kilométré, l’augmentation des gaz de blow-by due à l’usure des segments sollicite davantage le système. Un deshuileur propre et une valve PCV neuve ne corrigent pas l’usure interne, mais limitent les symptômes et évitent l’aggravation des dépôts. Dans ces cas, complétez par un test de compression et une évaluation globale de l’état moteur.
La recirculation EGR injecte des suies en amont de l’admission. Mélangées à des vapeurs d’huile mal séparées, elles forment une pâte tenace, responsable de volets grippés, conduits rétrécis et débitmètres perturbés. Un deshuileur efficace réduit nettement ce cocktail. Associé à un entretien EGR et à des phases de fonctionnement à bonne température, il maintient l’admission propre plus longtemps.
Un léger film huileux dans l’intercooler reste tolérable, mais des flaques ou écoulements sont anormaux. Ils indiquent soit un turbo aux joints fatigués, soit un séparateur défaillant. Pour trancher, contrôlez l’axe du turbo, le jeu radial/axial et l’état des durites de pression. Une action précoce évite les dégâts sur ailettes et pertes de rendement.
Connaître l’existence du deshuileur moteur n’est pas requis le jour J, mais reconnaître quelques signaux d’alerte est utile. Une voiture entretenue, sans odeurs d’huile ni bruits parasites, offre un cadre d’apprentissage plus serein. En cas d’anomalie, signalez-la rapidement au responsable du véhicule pour préserver sécurité et confort.
Discret mais essentiel, le deshuileur moteur protège la mécanique, la performance et l’environnement en séparant les brumes d’huile des gaz de carter et en régulant la pression de carter. En bon état, il réduit l’encrassement de l’admission, stabilise le fonctionnement et limite la consommation d’huile. En adoptant un entretien préventif, en surveillant la valve PCV et en respectant les préconisations constructeur, vous prolongez la vie du moteur et la qualité de conduite au quotidien.
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