Limites de vitesse, priorités et dépassements sur route départementale: règles et conseils, révision du code pour réussir le permis
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Vous voulez maîtriser la route départementale pour rouler sereinement et réussir votre permis rapidement (y compris permis-auto et permis-moto) ? C’est possible et plus simple qu’il n’y paraît. La sécurité repose sur des règles claires et une anticipation constante. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment adapter vos vitesses, gérer les priorités et effectuer des dépassements en toute sécurité.
Une route départementale, identifiée par la lettre D suivie d’un numéro, fait partie du réseau géré par les conseils départementaux. Elle relie villes, bourgs et zones d’activité en complément des nationales et autoroutes. On y rencontre des profils très variés : longues lignes droites en rase campagne, enchaînements de virages, traversées d’agglomération, voies étroites bordées de fossés ou de platanes, et zones limitées ponctuellement.
La chaussée à double sens est le cas le plus fréquent, avec une voie par sens séparée par un marquage central. Certaines sections sont équipées d’aménagements de sécurité récents (créneaux de dépassement 2+1, glissières, ilots directionnels), d’autres restent plus « routières » avec des accotements réduits, une visibilité imparfaite ou des entrées agricoles. Cette diversité impose une attention soutenue et une adaptation permanente.
Parce qu’elles irriguent finement le territoire, les départementales concentrent un trafic mixte : voitures, poids lourds, bus scolaires, cyclistes, tracteurs, convois agricoles lents et parfois véhicules encombrants. Comprendre la dynamique de ce trafic et les règles applicables vous aide à rouler fluide et à garder des marges de sécurité.
La règle générale hors agglomération sur une route départementale bidirectionnelle sans séparateur central est 80 km/h. Ce plafond s’applique par défaut partout en France depuis 2018. De nombreux départements ont toutefois relevé certaines sections à 90 km/h après étude d’accidentalité et d’aménagements. Dans ce cas, la limitation est clairement annoncée par un panneau B14 à fond blanc cerclé de rouge, et rappelée régulièrement.
En l’absence de panneau, retenez la logique suivante : 80 km/h par défaut sur la plupart des départementales, 50 km/h en agglomération (panneau d’entrée de ville), 70 km/h ponctuellement près d’un carrefour, d’une zone à risques ou d’un équipement scolaire, et des limitations temporaires en cas de travaux ou d’aléas (vent violent, verglas). L’essentiel est de lire loin la signalisation, d’anticiper et d’adapter l’allure à la visibilité.
Par temps de pluie, quand une section est relevée à 90 km/h, la vitesse maximale redevient 80 km/h. Sur les autres sections limitées à 80, il n’y a pas de baisse réglementaire spécifique liée à la pluie, mais la prudence impose souvent de réduire à 70 voire 60 selon l’adhérence et la visibilité. En cas de brouillard dense (visibilité inférieure à 50 m), la vitesse maximale autorisée est 50 km/h, quelle que soit la limitation affichée.
Pour les conducteurs en période probatoire (permis A), la limitation spécifique hors agglomération est de 80 km/h. Concrètement, sur une route relevée à 90, un conducteur expérimenté peut rouler à 90, mais un conducteur en A reste limité à 80. Cette règle protège vos marges d’erreur pendant la phase d’apprentissage et conditionne la préservation de votre capital points, avec un vrai enjeu pour votre points-conduites.
Rappelez-vous qu’une vitesse est un plafond et non un objectif. Adapter son allure signifie considérer la chaussée, le trafic, la météo, la lumière, les abords (habitations, fermes, écoles) et les risques d’imprévus. C’est aussi respecter les limitations de vitesse sans chercher « à compenser » lors d’un dépassement ou après une zone limitée : la marge de sécurité prime.
En l’absence de signalisation, la règle de base en France demeure la priorité à droite. Sur une route départementale, cela signifie que si vous approchez d’une intersection sans STOP ni Cédez-le-passage et sans panneau de route prioritaire, vous devez céder le passage aux usagers venant de la droite. Cette règle surprend parfois, surtout dans les zones rurales où des voies débouchent de manière inattendue.
Quand la départementale est matérialisée comme route prioritaire (panneau AB3a au début, AB3b en rappel), elle conserve la priorité à chaque intersection jusqu’au panneau de fin (AB4). Même sur route prioritaire, restez vigilant : un usager peut ne pas respecter son stop, un véhicule agricole peut surgir à faible vitesse, et un cycliste peut être masqué par une haie.
Aux intersections gérées par STOP (AB4a) ou Cédez-le-passage (AB3), le respect strict de l’arrêt et de l’ordre de passage réduit fortement le risque d’accrochage. À l’approche d’une priorité à droite présumée, le marquage transversal peut être absent et la visibilité réduite : ralentissez franchement, regardez loin des deux côtés, et soyez prêt à céder. L’anticipation vaut mieux que l’évitement d’urgence.
Dans les carrefours à sens giratoire, la priorité est aux véhicules engagés sur l’anneau. Adoptez une vitesse basse, regardez à gauche, placez-vous sur la bonne file et signalez votre sortie. Dans les petits ronds-points ruraux, la perception de la vitesse réelle des autres peut être difficile : gardez des marges et évitez les changements de file tardifs.
Autres points sensibles sur départementale : les passages à niveau, les carrefours en T masqués, les sorties de fermes et chemins communaux, et les « tourne-à-gauche » vers des hameaux. La prudence commande de ralentir avant ces zones, même si vous êtes prioritaire. La priorité ne protège ni des erreurs des autres ni d’un manque d’adhérence.
Le dépassement sur une route départementale demande méthode et discipline. Il n’est autorisé que si toutes les conditions de sécurité sont réunies : visibilité largement suffisante, absence de trafic en sens inverse, pas d’intersection, de sommet de côte ou de virage masquant, pas de passage piéton ni de passage à niveau, et marquage autorisant la manœuvre. Ne dépassez jamais pour « suivre » un autre véhicule si vous ne voyez pas clairement par vous-même.
Le marquage au sol guide l’autorisation. Une ligne discontinue côté conducteur autorise la manœuvre si les autres conditions sont remplies. Une ligne continue côté conducteur interdit de la franchir, sauf cas particulier d’un vélo ou engin très lent lorsque la visibilité est bonne et sans gêner un véhicule venant en face. Une ligne de dissuasion (traits plus rapprochés) déconseille le dépassement : réservez-la aux véhicules très lents, si et seulement si la visibilité et la distance sont suffisantes.
Procédez en quatre temps : observation, décision, exécution, retour. D’abord, contrôlez loin devant, dans vos rétros et l’angle mort. Ensuite, signalez avec le clignotant gauche, gardez une distance de sécurité suffisante avec le véhicule à dépasser pour conserver de la visibilité, accélérez franchement sans excéder la limitation. Enfin, anticipez votre retour en réintégrant avec le clignotant droit dès que vous voyez le véhicule dépassé dans votre rétroviseur intérieur.
Ne dépassez jamais à l’approche d’une intersection où la priorité n’est pas assurée, d’un virage masqué, d’un sommet de côte, d’un passage piéton, d’une zone scolaire, ou à proximité d’un passage à niveau. N’outrepassez pas la vitesse maximale autorisée sous prétexte de « réduire le temps d’exposition » : l’excès de vitesse, même bref, augmente fortement la gravité d’un éventuel choc et l’ampleur du freinage requis en cas d’imprévu.
En présence d’un cycliste, la règle des distances latérales s’applique : 1,5 m hors agglomération, 1 m en agglomération. Lorsque la visibilité est bonne et qu’aucun véhicule n’arrive en face, il est permis de chevaucher une ligne continue pour dépasser un cycle en respectant ces distances, tant que cela ne met personne en danger. Soyez patient si les conditions ne sont pas réunies : mieux vaut rester derrière quelques secondes que forcer un dépassement serré.
Sur certaines départementales, vous rencontrerez des « créneaux de dépassement » 2+1. Sur quelques kilomètres, votre sens de circulation bénéficie de deux voies, l’autre d’une seule. Utilisez la voie de gauche uniquement pour dépasser, puis revenez à droite sans traîner dès la fin du créneau. À l’inverse, quand votre sens ne dispose que d’une voie, anticipez la fin de l’aménagement en vous rangeant et en gardant vos distances pour ne pas être surpris par les véhicules rentrant du dépassement.
Sur route départementale, le langage de la chaussée est votre meilleur allié. Les lignes de rive blanches délimitent la chaussée ; ne les mordez pas inutilement, car les accotements peuvent être meubles ou creusés. La ligne médiane vous renseigne sur l’autorisation de dépassement. Les zébras et îlots canalisent les trajectoires : ne les franchissez pas. Les flèches de rabattement annoncent la fin d’une voie : anticipez tôt votre insertion.
Les panneaux de danger triangulaires (virage, double virage, rétrécissement, cassis, dos-d’âne, animaux sauvages) appellent à réduire l’allure et à renforcer la vigilance. Les panneaux d’intersection (STOP, Cédez-le-passage, route prioritaire et fin de priorité) régissent l’ordre de passage. Les limitations et rappels (panneau B14) rythment l’allure, tout comme les radars pédagogiques et dispositifs de contrôle sanction.
Prêtez attention aux panonceaux précisant la portée d’une mesure (sur 1 km, sur la prochaine section), aux zones « 70 » temporaires liées à un carrefour accidentogène, et aux signalisations de chantiers souvent accompagnées d’un trafic en alternat. La nuit, les bornes kilométriques et les balises de virage sont des repères précieux. En cas de doute sur une limite, adoptez une allure conservatrice jusqu’au prochain rappel.
Par temps de pluie, l’adhérence chute et les distances de freinage s’allongent. À 80 km/h sur chaussée humide, la distance d’arrêt peut dépasser 100 mètres. Réduisez votre vitesse, doublez votre distance de sécurité, évitez les manœuvres brusques et les trajectoires « tendues » qui coupent les virages. Passez les flaques en ligne droite, sans freiner ni accélérer fort.
De nuit, la vision est limitée et la perception des vitesses altérée. Adoptez l’allure « à la portée de vos phares », utilisez les feux de route hors croisement et repassez instantanément en feux de croisement dès qu’un usager arrive en face ou que vous suivez un véhicule. Les animaux sauvages sont fréquents sur certaines départementales : repérez leurs yeux brillants sur les bas-côtés et restez prêt à freiner.
En période agricole, attendez-vous à rencontrer tracteurs, moissonneuses et remorques débordant légèrement de la voie. Anticipez leurs manœuvres, respectez leur vitesse réduite, patientez avant de les dépasser et ne vous faufilez pas dans leurs angles morts. Leur gabarit allonge notablement les distances de dépassement nécessaires.
Dans les zones vallonnées, les sommets de côte et les virages masqués exigent une maîtrise absolue de votre allure. Ne dépassez pas si vous ne voyez pas « très loin et très clair ». Dans les forêts et zones ombragées, attention aux changements d’adhérence, aux tapis de feuilles ou d’aiguilles et aux contrastes lumineux qui masquent les obstacles.
À 80 km/h, la distance de réaction est d’environ 24 mètres (une seconde à 80 km/h). La distance de freinage sèche avoisine 64 mètres, et davantage sur chaussée humide. Au total, comptez près de 90 mètres pour vous arrêter sur sol sec, bien plus sous la pluie. Ces ordres de grandeur rappellent pourquoi il faut conserver des écarts confortables et éviter les « paquets » de véhicules.
La distance de sécurité minimale recommandée est de deux secondes. Convertissez-la en repère simple : choisissez un point fixe (poteau, panneau), quand le véhicule devant le dépasse, vous ne devez pas l’atteindre avant que vous ayez compté « 1-2 ». Sous la pluie, de nuit ou en cas de fatigue, élargissez à trois secondes. Cette marge absorbe les écarts de vitesse et prévient les collisions en chaîne.
Sur route départementale, les contrôles sont fréquents, fixes ou mobiles. Un dépassement de la limitation inférieur à 20 km/h expose à une amende forfaitaire et à un retrait de point, aggravé si la vitesse autorisée est inférieure ou égale à 50 km/h (traversée d’agglomération). Au-delà, les retraits de points augmentent et des suspensions administratives peuvent s’appliquer. Respecter les vitesses, c’est préserver son permis et sa sécurité.
Le franchissement d’une ligne continue pour dépasser un véhicule motorisé, le refus de priorité, ou un dépassement dangereux (visibilité insuffisante, intersection, passage piéton) sont lourdement sanctionnés avec retraits de points et fortes amendes. Un téléphone en main, une absence de clignotant ou un défaut de ceinture aggravent l’infraction. La tolérance est nulle face aux conduites addictives : alcool et stupéfiants exposent à des peines pénales, immobilisation et annulation de permis.
La première erreur est de « caler » sa vitesse au véhicule de tête sans lire l’environnement. La route peut évoluer d’un instant à l’autre, une limitation surgir, un carrefour apparaître. Le bon réflexe consiste à lire loin, vérifier la signalisation, adapter l’allure en fonction des risques, et garder son autonomie d’observation.
Deuxième piège : se coller pour préparer un dépassement. Rester trop près fait perdre la visibilité nécessaire pour évaluer l’espace disponible, augmente le stress et réduit les marges en cas de freinage. Mieux vaut reculer de quelques mètres, obtenir une vue dégagée et profiter d’une ouverture clairement sûre.
Troisième piège : sous-estimer la longueur d’un convoi à dépasser (bus scolaire, tracteur tirant deux remorques, camping-car). Le temps d’exposition sur la voie opposée est alors plus long que prévu. Ajustez votre décision à la configuration réelle plutôt qu’à votre intention initiale.
Quatrième écueil : négliger les clignotants. Signaler tôt et clairement permet aux autres de comprendre votre manœuvre et d’anticiper leur propre conduite. Réciproquement, ne présumez jamais des intentions d’autrui avant d’avoir vu un signal explicite et cohérent avec la trajectoire.
Pour réussir le code et conduire sereinement sur route départementale, bâtissez des automatismes simples. D’abord, balayez systématiquement loin devant et de part et d’autre de la chaussée, en intégrant miroirs et angles morts à chaque changement de position. Ensuite, cadrez votre allure sur la visibilité réelle et non sur un chiffre abstrait. Enfin, formalisez vos manœuvres avec des séquences claires : observation, annonce, action, contrôle.
Chez INRI’S Formations, nos stages intensifs s’appuient sur un stage-accelere couplé à un parcours permis-accelere, avec simulateur et mises en situation sur réseau secondaire. Vous y travaillez les scénarios typiques des départementales : virages aveugles, intersections non protégées, créneaux 2+1, insertion après rétrécissement, gestion de l’adhérence sous la pluie. Des modules dédiés couvrent aussi code-voiture, code-moto et code-bateau, ainsi que la préparation permis-bateau selon vos objectifs.
Un bon entraînement, ce n’est pas que des QCM. C’est apprendre à interpréter le marquage au sol, reconnaître les indices d’un débouché (boîtes aux lettres groupées, chemin agricole, talus coupé), anticiper les erreurs possibles des autres, et préserver du temps d’avance. Cette démarche réduit fortement l’accidentologie, particulièrement en rase campagne où l’illusion de sécurité peut conduire à la sur-vitesse. Dès le premier contact, planifiez une evaluation-de-depart et renseignez-vous sur le financement adapté à votre parcours.
Certains carrefours en T ne sont pas signalés mais débouchent sur la départementale avec une géométrie trompeuse. Même si la voie transversale semble « secondaire », appliquez la priorité à droite stricte en l’absence de panneau ou de marquage imposant la priorité. Faites des micro-réductions d’allure à l’approche des hameaux où des voies étroites surgissent souvent entre murets ou haies.
Au franchissement d’un passage à niveau, évitez tout arrêt sur les rails, ne vous engagez que si la voie est totalement libre, et n’entreprenez jamais un dépassement à proximité. Les clignotants rouges imposent l’arrêt absolu, même si la barrière tarde. Sur départementales sinueuses, un PN peut se trouver juste après un virage : l’anticipation est vitale.
La transition 80 ➝ 50 km/h à l’entrée d’une agglomération est un point de vigilance. Le freinage doit être anticipé pour arriver à la bonne allure au panneau d’entrée. À l’intérieur, attendez-vous à des piétons, des cyclistes, des véhicules en stationnement partiel et des priorités à droite plus fréquentes. Les écoles et équipements sportifs génèrent des pics de trafic : ajustez vos marges.
Les zones 70 sur départementale signalent un site accidentogène ou une configuration particulière (carrefour complexe, virage sans visibilité, pont étroit). Considérez ces zones comme des « chambres de décélération » dont l’objectif est d’absorber l’énergie cinétique avant le point dangereux. Leur respect conditionne la réussite de votre trajectoire à l’endroit critique.
Conduire efficacement sur route départementale, c’est gérer son énergie. Maintenez une allure stable, anticipez pour éviter les freinages tardifs, profitez des reliefs pour économiser l’accélération et ne roulez pas inutilement en sous-régime. L’éco-conduite va de pair avec la sécurité : moins de stress, plus de visibilité, des distances respectées et une lecture fluide des événements.
Sur les longues lignes droites dégagées, la tentation est de « laisser filer ». Or l’hypovigilance s’installe vite. Variez légèrement votre point de fixation, scannez les abords (chemins, portails, champs moissonnés) et utilisez les repères réguliers pour vérifier vos deux secondes de distance de sécurité. Une vigilance active maintient votre cortex en alerte et réduit les surprises.
Un véhicule en bon état fait la différence sur départementale. Contrôlez l’état des pneumatiques (profondeur des sculptures, pression), les freins, l’éclairage, l’essuyage et la propreté du pare-brise intérieur pour optimiser la vision de nuit. Réglez correctement votre poste de conduite, vos rétroviseurs et vérifiez la hauteur des projecteurs pour ne pas éblouir.
Avant un trajet sur un réseau inconnu, consultez la carte et repérez les traversées d’agglomération, les zones sinueuses et les travaux éventuels. Une bonne préparation réduit la charge mentale au volant et rend votre conduite plus fluide. Emportez gilet haute visibilité et triangle en cas d’immobilisation imprévue sur une section étroite.
Les cyclistes, piétons de bord de route, cavaliers et engins agricoles sont fréquents sur les départementales. À leur approche, ralentissez à l’avance, élargissez au maximum votre trajectoire sans franchir une ligne continue sauf exception réglementaire pour le vélo et seulement si personne n’arrive en face, et soyez prêt à patienter. Évitez le coup de klaxon qui peut surprendre et déséquilibrer.
Pour les bus scolaires, respectez scrupuleusement l’arrêt, conservez une marge latérale et anticipez la traversée d’enfants. Un convoi exceptionnel impose la patience : suivez ses indications et attendez une configuration parfaite pour dépasser si l’autorisation est donnée et que le marquage le permet.
Votre regard pilote votre trajectoire. Sur départementale sinueuse, fixez la sortie du virage et alignez votre véhicule sur une trajectoire régulière, sans coup de volant ni freinage tardif. Freinez en ligne droite avant le virage, gardez une légère accélération d’entretien dans le virage, et réaccélérez progressivement à la sortie quand vous voyez loin. Cette méthode stabilise le châssis et préserve l’adhérence.
Dans les enchaînements, la priorité est à la lisibilité. Réduisez suffisamment avant l’entrée, gardez un tempo constant et réservez les dépassements aux sections rectilignes avec visibilité. Évitez toute manœuvre dans un virage, même si la ligne est discontinue : la perception des distances en courbe est trompeuse et une entrée de propriété peut surgir.
Au code, les questions sur les règles de dépassement, la priorité à droite, les distances et les limitations de vitesse sont récurrentes, tout comme l’interprétation des panneaux (STOP, Cédez-le-passage, route prioritaire, B14). En conduite, les examinateurs observent votre capacité à lire loin, à adapter l’allure, à gérer les intersections et à décider d’un dépassement ou d’un renoncement en sécurité. Renoncer est parfois la meilleure décision, quel que soit l’examen visé, de permis-auto à permis-moto ou permis-bateau.
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La route départementale exige une conduite lisible, anticipée et disciplinée. Gardez un regard loin, adaptez votre vitesse aux conditions, respectez les priorités, n’entreprenez un dépassement que lorsque toutes les garanties sont réunies et conservez des marges généreuses. En appliquant ces principes, vous circulez plus sereinement, vous protégez votre permis et vous contribuez à une route plus sûre pour tous.
Si vous souhaitez accélérer votre réussite et intégrer ces bonnes pratiques durablement, nos stages intensifs INRI’S Formations allient pédagogie active, entraînement ciblé et accompagnement sur mesure, du stage-accelere au suivi permis-accelere, avec un passage par l’evaluation-de-depart et des solutions de financement adaptées.
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