En cas de sous-gonflage pneus: causes, risques et surconsommation. Nos conseils pour vérifier la pression et rouler en sécurité au quotidien.
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Vous avez remarché un comportement étrange au volant et suspectez un sous-gonflage pneus ? Vous avez raison de vous en inquiéter. Ce phénomène nuit à la sécurité et à votre budget. Dans cet article, nous allons voir ensemble de quelle façon l’identifier, pourquoi il survient, quels risques il entraîne et comment corriger durablement la pression pour rouler sereinement. Ces fondamentaux sont d’ailleurs souvent abordés dans le code et utiles tout au long de la vie de conducteur.
On parle de sous-gonflage lorsque la pression des pneus mesurée à froid est inférieure à la recommandation du constructeur du véhicule. Cette recommandation est indiquée sur l’étiquette de porte, la trappe à carburant ou le manuel. En dessous de 0,2 bar d’écart, l’impact reste modéré, mais dès 0,3 à 0,5 bar, les conséquences sur la tenue de route, la longévité et la consommation de carburant deviennent marquées. Un pneu peut paraître visuellement normal tout en étant trop bas de 0,3 bar : seul un contrôle au manomètre permet un diagnostic fiable.
Le sous-gonflage n’est pas un état binaire mais un continuum. Un écart de 10 % de pression augmente déjà la résistance au roulement et la température interne du pneu. Au-delà de 20 %, la déformation de la carcasse s’accentue, l’usure irrégulière se concentre sur les épaules et le risque d’éclatement grimpe. L’objectif est donc de rester le plus près possible de la valeur cible à froid et d’adapter en cas de charge, d’autoroute ou de remorquage, conformément aux spécifications du constructeur.
La première cause est simple : la perméabilité naturelle de l’air. Un pneu peut perdre de 0,05 à 0,1 bar par mois, même sans fuite. La chute des températures extérieures accentue ce phénomène : environ -0,1 bar tous les 10 °C. Un matin d’automne, votre pression peut donc être plus basse qu’en été, sans anomalie mécanique. C’est pourquoi un contrôle mensuel à froid reste indispensable toute l’année.
Les microfuites sont la deuxième cause fréquente. Elles proviennent d’une valve vieillissante, d’un obus de valve mal serré, d’un joint de valve abîmé, d’une jante en alliage corrodée sur le siège de talon, ou d’un clou planté dans la bande de roulement. Un impact trottoir peut aussi pincer le flanc et créer une porosité. Enfin, un montage inadapté (pneu non conforme à la jante) ou une réparation mal réalisée provoquent des pertes insidieuses.
La troisième cause tient aux usages. Les trajets courts répétés avec des virages prononcés, le roulage en charge ou à vitesse soutenue et les routes dégradées augmentent les contraintes sur le pneu et accélèrent les pertes. Un réglage inapproprié de la pression (oublier d’ajuster lors d’un départ en vacances chargé) installe un sous-gonflage chronique. Dans nos stage-accelere, nous insistons sur ces routines d’entretien simples qui font une différence majeure en sécurité.
Au volant, un véhicule qui “flotte”, réagit avec un léger délai dans les changements d’appui ou exige plus d’angle de volant en virage peut traduire un sous-gonflage. Les distances de freinage s’allongent, surtout sur sol mouillé, et l’aquaplaning survient à plus basse vitesse. Vous pouvez aussi percevoir une direction plus lourde, des bruits sourds en appui ou une tendance au tirage d’un côté. Ces notions sont utiles à réviser pour le code-voiture et, selon votre projet, pour le code-moto.
Au visuel, l’usure irrégulière des épaules est caractéristique : la bande de roulement s’use davantage sur ses bords qu’au centre. Un flanc visiblement écrasé à l’arrêt, une marque brillante sur l’épaulement ou des craquelures inhabituelles sont d’autres indicateurs. L’odeur de caoutchouc chaud après un long trajet peut aussi traduire un échauffement anormal lié au sous-gonflage.
La priorité reste la sécurité. Un pneu sous-gonflé déforme davantage sa carcasse, générant de la chaleur. Cette élévation thermique peut conduire au délaminage de la gomme ou, dans les cas extrêmes, à l’éclatement, notamment par temps chaud et en charge. Par ailleurs, la surface de contact s’agrandit mais se répartit mal, dégradant l’adhérence et allongeant la distance de freinage, en particulier sous la pluie.
Le comportement en cas d’évitement ou de freinage appuyé se détériore : survirage ou sous-virage plus marqués, intervention plus fréquente de l’ESP et de l’ABS, et plus grande instabilité en cas de remorquage. L’aquaplaning survient plus tôt car la sculpture peine à évacuer l’eau avec une empreinte au sol déformée. Enfin, un flanc écrasé par le sous-gonflage devient plus vulnérable aux coups de trottoir et aux nids-de-poule, augmentant les risques de hernie et de coupure.
Le sous-gonflage accroît la consommation de carburant via une hausse de la résistance au roulement. En moyenne, -0,5 bar sur quatre pneus peut augmenter la consommation de 2 à 4 %, voire davantage en ville. Sur une année, cela représente plusieurs pleins perdus. Parallèlement, l’usure s’accélère et se concentre sur les épaules : vous remplacez vos pneus plus tôt et parfois par paire à cause d’une dissymétrie d’usure.
Les coûts indirects existent aussi : géométrie à vérifier après un choc, jante à reprendre en cas de corrosion sur le siège, capteur de pression (TPMS) à remplacer si endommagé. Sans compter les frais de dépannage si une crevaison évolue en éclatement sur autoroute. Prévenir ce cercle de coûts est simple : contrôler souvent, corriger à froid et inspecter visuellement à chaque plein.
Oui, de manière systématique. Un pneu trop mou déforme sa carcasse et la bande de roulement à chaque rotation, dissipant de l’énergie sous forme de chaleur. C’est le principe de l’hystérésis des gommes. Cette énergie perdue doit être fournie par le moteur, d’où une hausse de la consommation de carburant. Des tests indépendants montrent qu’un écart de -0,3 bar augmente la consommation de 1 à 2 % dans des conditions mixtes, et davantage en milieu urbain avec arrêts fréquents.
Le choix de pneus à faible résistance au roulement (notés favorables sur l’étiquette européenne) atténue l’impact, mais ne compense pas un sous-gonflage. La pression reste le premier levier. En conduite éco, l’effet s’additionne avec d’autres bonnes pratiques (anticipation, vitesse stabilisée, charge maîtrisée). Un véhicule bien chaussé, bien gonflé et bien conduit peut réduire sa consommation de plusieurs pourcents sans investissement majeur, un thème également abordé pendant un permis-auto.
La résistance au roulement dépend de la composition des gommes, de la structure interne, de la température et de la pression. La profondeur de sculpture joue aussi : un pneu neuf présente généralement une résistance légèrement plus élevée qu’un pneu à mi-usure, car les blocs de gomme sont plus hauts et se déforment davantage. Toutefois, un pneu usé sous-gonflé peut cumuler mauvaise répartition de charge et échauffement, annulant tout bénéfice.
À l’approche du témoin d’usure, la sécurité prime. Un pneu trop usé, même correctement gonflé, prolonge la distance de freinage et augmente l’aquaplaning. L’idéal reste d’optimiser l’ensemble : bon modèle, pression juste, permutations régulières selon les préconisations, et géométrie correcte pour une usure homogène. Ces paramètres, enseignés lors de nos stages, permettent de concilier économie et sécurité et seront utiles pour votre permis-moto.
En été, l’air ambiant chaud et les températures de chaussée élevées augmentent la température du pneu. Un pneu sous-gonflé travaille davantage, chauffe plus, et la pression monte en roulage sans corriger la déformation structurelle. Le risque d’échauffement localisé, de cloquage et d’éclatement grimpe, surtout en charge, à pleine vitesse ou lors de longs trajets autoroutiers. Les vacances d’été sont un moment critique pour vérifier la pression à froid, bagages et passagers compris.
Les routes chaudes accroissent aussi la souplesse des gommes, ce qui peut amplifier l’usure irrégulière en cas de sous-gonflage. Enfin, la charge supplémentaire (coffre plein, coffre de toit, remorque) doit s’accompagner d’une adaptation de la pression selon la valeur “pleine charge” indiquée par le constructeur. Oublier cet ajustement revient à partir avec un sous-gonflage latent et des pneus sur-sollicités pendant des heures.
Le sur-gonflage réduit la surface de contact, peut augmenter les distances de freinage sur sol irrégulier, dégrader le confort et provoquer une usure centrale. Il n’économise pas toujours du carburant, car un pneu trop dur perd en adhérence et peut induire des micro-glissements. Chercher à “gagner” de la consommation en dépassant nettement la pression préconisée n’est pas une bonne pratique. La cible reste la valeur constructeur, ajustée selon la charge et l’usage, comme rappelé en permis-accelere.
Dans tous les cas, la sécurité et la précision de conduite se trouvent dans la plage recommandée. Les constructeurs l’ont définie après des milliers d’heures d’essais, en conciliant tenue de route, efficacité énergétique, confort, endurance et freinage. Faites confiance à ces valeurs et contrôlez-les régulièrement.
Un pneu moderne à étiquetage européen favorable en efficacité énergétique et en adhérence sur sol mouillé aide à contenir la consommation et à maintenir des marges de sécurité, même si la pression s’écarte légèrement. Les carcasses renforcées et les gommes de dernière génération limitent l’échauffement. Toutefois, même un pneu premium ne compensera pas un sous-gonflage prononcé : la bonne pratique reste le contrôle et l’ajustement fréquents.
Si vous roulez beaucoup en ville, privilégiez des pneus à faible hystérésis et bonne résistance à l’abrasion. Si vous tractez ou roulez chargé, respectez scrupuleusement l’indice de charge et envisagez des pneus “XL” si recommandés par le constructeur. Et, bien sûr, gardez des capteurs TPMS en bon état pour une alerte rapide, que vous prépariez un permis-bateau ou un autre examen.
Les véhicules électriques sont plus lourds et délivrent un couple instantané. Cela accentue l’usure si la pression est insuffisante. Des pneus “EV” à faible résistance au roulement et structure optimisée sont souvent montés d’origine. Sur ces véhicules, le moindre sous-gonflage se traduit immédiatement par une autonomie en baisse et une température de pneu en hausse. Le contrôle mensuel devient quasi hebdomadaire pour les gros rouleurs.
En outre, les véhicules électriques disposent fréquemment d’un TPMS direct par capteurs dans la roue. Ne négligez pas un message de pression : vérifiez au manomètre à froid, ajustez, puis réinitialisez le système si nécessaire selon la procédure constructeur. Un entretien rigoureux de la pression améliore non seulement la sécurité, mais aussi le confort acoustique, un atout clé des EV. Ces réflexes seront tout aussi utiles lors d’une evaluation-de-depart de vos compétences.
Mesurez toujours à froid, c’est-à-dire après au moins deux heures d’arrêt ou moins de 3 km à faible allure. Utilisez un manomètre fiable ou une borne de station-service en bon état. Comparez la valeur relevée aux recommandations du constructeur (porte, trappe à carburant, manuel). Ajustez les quatre pneus et n’oubliez pas la roue de secours si elle existe, surtout si c’est une galette à haute pression.
Travaillez méthodiquement : retirez le capuchon de valve, présentez le manomètre bien perpendiculaire, lisez, ajoutez de l’air par brèves impulsions et vérifiez de nouveau. Si vous avez trop rempli, purgez lentement avec l’outil du manomètre. Replacez fermement le capuchon pour protéger la valve de la poussière et de l’humidité. Profitez-en pour inspecter les flancs, les sculptures et les éventuels objets plantés.
La pression à viser est celle de l’étiquette pour l’“usage normal” à froid. Si vous partez chargé, avec passagers, bagages ou remorque, passez à la valeur “pleine charge”. Sur autoroute à vitesse élevée, l’élévation de température en roulage est anticipée par la recommandation constructeur : n’ajoutez pas de pression à chaud. En hiver, vérifiez plus souvent, car le froid fait baisser la pression ; en été, vérifiez avant les longs trajets.
Évitez d’ajuster après un roulage soutenu : la pression “à chaud” est artificiellement plus élevée. Si vous devez impérativement corriger en cours de route, contentez-vous d’atteindre la valeur recommandée “à chaud” en vous référant aux indications du système de bord si disponibles, et refaites un contrôle fin à froid dès que possible.
Vous pouvez la faire dans n’importe quelle station-service équipée, dans un centre auto ou chez votre garagiste. Un compresseur portatif avec manomètre intégré est également pratique pour un contrôle à domicile. L’important est de travailler à froid, sur une surface plane, et d’utiliser un manomètre fiable. Si les bornes publiques vous paraissent imprécises, investissez dans un manomètre digital de qualité pour valider vos mesures.
En entreprise, une routine mensuelle intégrée au parc auto, assortie d’un enregistrement des valeurs, évite le sous-gonflage chronique. Dans nos stages, nous montrons comment lire correctement une étiquette de pression, interpréter les écarts et répondre aux alertes modernes des tableaux de bord, des contenus utiles aussi pour le code-bateau.
Le TPMS (Système de Surveillance de la Pression des Pneus, ou SSPP) surveille en continu et alerte en cas de pression trop basse. Deux technologies existent : indirecte (via l’ABS) et directe (capteurs dans les roues). Le système indirect détecte les écarts de circonférence mais ne donne pas la valeur absolue, tandis que le système direct affiche souvent la pression de chaque roue. Dans les deux cas, ce n’est pas un substitut aux contrôles réguliers à froid.
Si l’alerte s’allume, réduisez la vitesse, évitez les manœuvres brusques et arrêtez-vous dès que possible pour vérifier. Ajoutez de l’air si nécessaire, puis identifiez la cause (objet planté, fuite de valve, choc). Après correction, réinitialisez le système selon la procédure constructeur. N’ignorez jamais un témoin : un pneu qui perd vite de la pression peut devenir dangereux en quelques kilomètres.
Commencez par mesurer à froid. Si l’écart est modéré (jusqu’à -0,3 bar) et stable sur les quatre roues, ajustez simplement à la valeur cible et planifiez un nouveau contrôle une semaine plus tard. Si une seule roue est significativement plus basse que les autres, suspectez une fuite localisée : inspectez visuellement la bande de roulement et les flancs, écoutez un éventuel sifflement à la valve et appliquez de l’eau savonneuse pour repérer des bulles.
En cas de perforation dans la bande de roulement, une réparation par champignon réalisée par un professionnel est souvent possible. Les flancs, eux, ne se réparent pas. Une jante voilée ou corrodée nécessite une remise en état. Remplacez les valves anciennes ou endommagées, particulièrement lors d’un changement de pneus. Après toute intervention, vérifiez la pression, faites une courte route d’essai et recontrôlez à froid.
Contrôlez la pression des pneus au moins une fois par mois et avant chaque long trajet. Ajustez à froid et selon la charge. Inspectez visuellement vos pneus à chaque plein : corps étrangers, craquelures, hernies, usure asymétrique. Faites permuter les pneus selon les préconisations du constructeur et contrôlez la géométrie si vous constatez des usures anormales. Remplacez les capuchons de valve manquants et évitez les “gadget valves” non étanches.
Notez vos mesures. Un carnet simple ou une application vous aide à détecter une lente dérive. Surveillez les écarts entre essieux et entre côtés : un écart persistant oriente vers une fuite. En entreprise, une politique pneus claire (tolerances, seuils d’alerte, calendrier) réduit la consommation de carburant, les arrêts imprévus et améliore la sécurité des collaborateurs, tout en évitant de perdre des points-conduites.
Le pneu est le seul lien entre le véhicule et la route. Sa pression conditionne la forme et la taille de l’empreinte au sol. Une empreinte mal optimisée due au sous-gonflage réduit l’adhérence utile en virage et au freinage, et perturbe les réactions des aides électroniques. La conséquence est directe : la distance de freinage augmente, surtout sous la pluie, et les manœuvres d’urgence deviennent moins prévisibles.
Cet aspect est central dans l’apprentissage et la maîtrise de la conduite. Dans nos programmes accélérés, nous combinons gestes d’entretien et exercices de freinage pour faire ressentir l’influence des pneus et de leur pression. Comprendre l’impact du sous-gonflage sur la dynamique du véhicule aide les conducteurs à adopter des routines qui sauvent des mètres, donc des vies.
Par temps froid, la pression chute naturellement, créant un sous-gonflage latent. Par temps de pluie, l’aquaplaning menace plus tôt si la pression n’est pas correcte et si la profondeur de sculpture est insuffisante. Par forte chaleur, l’échauffement d’un pneu trop souple augmente le risque d’éclatement. Chaque saison invite à un contrôle plus attentif et à des ajustements cohérents avec vos usages (ville, autoroute, montagne, charge).
Après un choc (nid-de-poule, trottoir), recontrôlez systématiquement. Une hernie peut se développer sans perte immédiate de pression, mais la structure est fragilisée. En cas de doute, faites inspecter par un professionnel. Ne repoussez jamais le remplacement d’un pneu endommagé. Ces recommandations s’appliquent également si vous préparez un examen comme le permis-bateau ou que vous révisez votre code-bateau.
Pour les gestionnaires, la standardisation des contrôles, la formation des conducteurs, le suivi digital des pressions et l’équipement en TPMS direct sont des leviers efficaces. Couplés à des pneus à faible résistance au roulement, à une politique de permutation et à des seuils d’alerte stricts, ils réduisent les dépenses en carburant et les immobilisations. Un tableau de bord simple (pressures, usures, incidents) permet de piloter la performance et d’anticiper les remplacements.
La sensibilisation des conducteurs est déterminante. Expliquer les impacts du sous-gonflage sur la sécurité et les coûts crée des réflexes durables : vérifier, corriger, signaler. Une flotte bien suivie combine économies mesurables et risque routier réduit, quel que soit l’objectif (réussir un code-voiture ou progresser vers un examen plus avancé).
Se fier à l’œil pour juger de la pression, ajuster à chaud, oublier d’augmenter pour la charge, négliger la roue de secours, ignorer un témoin d’alerte, oublier de revisser un capuchon de valve ou négliger une lente dérive sont des pièges fréquents. Autre erreur : sur-gonfler “pour économiser” au-delà des recommandations, au détriment de l’adhérence et du confort.
Une dernière erreur consiste à mélanger des pneus aux caractéristiques très différentes (marques, modèles, usure) en ignorant leurs pressions spécifiques. Respectez les dimensions, indices et recommandations du constructeur. En cas de doute, demandez conseil à un professionnel qualifié et renseignez-vous sur le financement si vous avez un projet de formation.
Le sous-gonflage pneus est insidieux, fréquent, mais simple à prévenir. Il dégrade la sécurité (adhérence, distance de freinage, aquaplaning), augmente la consommation de carburant et accélère l’usure irrégulière. Les clés sont connues : contrôles mensuels à froid, ajustement selon la charge, réaction rapide aux alertes TPMS, inspection visuelle régulière, réparation professionnelle des perforations et respect des recommandations constructeur.
Chez INRI’S Formations, nous avons fait de ces fondamentaux un pilier de nos stages permis-accelere. Conduire vite vers l’obtention du permis, c’est aussi apprendre à rouler longtemps en sécurité. Adoptez ces gestes simples dès aujourd’hui, et transformez chaque trajet en une expérience plus sûre, plus fluide et plus économique, que vous prépariez un permis-auto ou un permis-moto.
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