Pour l'examen code trois fautes, découvrez le seuil de réussite, les fautes autorisées et nos conseils pour réussir du premier coup.
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Vous avez peut-être entendu parler de l’examen code trois fautes et vous vous demandez si c’est vrai ou comment vous y préparer efficacement. La question est légitime. Les règles évoluent, mais l’objectif reste de réussir avec sérénité. Dans ce guide, on démêle le vrai du faux, on clarifie le seuil de réussite et on passe en revue les méthodes de préparation qui minimisent les erreurs.
La rumeur d’un examen code trois fautes revient régulièrement. En 2025, aucune réforme officielle ne réduit la tolérance à trois erreurs. Le format de l’épreuve théorique générale (ETG) demeure stable : 40 questions, des thèmes couvrant tout le référentiel, et un seuil de réussite fixé à 35 bonnes réponses. Autrement dit, vous pouvez commettre jusqu’à 5 fautes.
Si la rumeur persiste, c’est qu’elle s’appuie sur des messages de sécurité routière plus exigeants, l’arrivée de questions plus contextualisées et la confusion avec d’autres systèmes étrangers. En France, le nombre de fautes autorisées reste bien de 5, et non de 3.
La meilleure stratégie consiste à s’entraîner au format actuel tout en consolidant des réflexes solides, pour être à l’aise même si la difficulté perçue grimpe. Cette approche pragmatique sécurise votre réussite quelles que soient d’éventuelles évolutions.
L’ETG 2025 comporte 40 QCM. Pour être admissible, vous devez répondre correctement à au moins 35 questions. Le seuil de réussite tolère donc jusqu’à 5 erreurs, un repère simple pour piloter votre révision.
L’épreuve évalue l’ensemble des compétences-clés avec des visuels (photos, parfois vidéos) qui simulent des situations de conduite. Le temps est limité (environ 20 secondes par item), ce qui mesure votre capacité à mobiliser rapidement la bonne règle en contexte.
Retenez l’essentiel : l’examen code trois fautes n’est pas d’actualité. Pour autant, visez un score de sécurité à 37, 38 ou 39 bonnes réponses pour disposer d’une marge confortable le jour J.
Plusieurs facteurs l’alimentent : des questions plus proches de la conduite réelle, une médiatisation partielle de certaines annonces et des amalgames avec d’autres pays. Chaque enrichissement de la banque de questions visant les lacunes fréquentes (vitesse, distances, priorités, autoroute, ville) est parfois perçu comme un durcissement, alors que l’objectif reste inchangé : vérifier la maîtrise des règles indispensables à une conduite sûre.
Si l’examen code trois fautes devenait un jour réalité, la sélectivité grimperait et exigerait une maîtrise encore plus homogène des 10 thèmes du code. Il ne suffirait plus de connaître les règles : il faudrait les appliquer quasi systématiquement, y compris dans des situations ambivalentes.
Pédagogiquement, cela impliquerait des révisions plus longues, des simulations intensives et des retours individualisés. Les centres accentueraient l’entraînement aux séquences visuelles, aux formulations piégeuses et aux arbitrages entre sécurité et fluidité. Avec une préparation structurée, ce scénario resterait gérable.
En 2025, l’ETG conserve son format : QCM de 40 questions couvrant tout le référentiel, avec un seuil de réussite à 35 bonnes réponses (5 fautes maximum). Les thématiques sont équilibrées à l’échelle de la série, même si la pondération précise varie.
Les thèmes incluent la signalisation, la circulation, la route, le conducteur, les autres usagers, les règles de priorité, la mécanique et les équipements, les notions diverses (assurance, secours), la prévention des risques liés à l’alcool et aux stupéfiants, ainsi que l’environnement. L’objectif est une vision globale de la conduite, bien au-delà d’une simple liste de panneaux.
La présence de médias enrichis (images, parfois vidéos de conduite) valorise l’analyse contextuelle. Vous devrez estimer des distances de sécurité, ajuster la vitesse, repérer des angles morts ou interpréter un marquage au sol, le tout sous contrainte de temps. Que vous prépariez le code voiture, le code moto ou le code bateau, la logique d’évaluation reste la même : sécurité et cohérence des décisions.
Trois piliers : comprendre, s’entraîner, corriger. D’abord, assimilez les règles structurantes (priorités, ordres de passage, facteurs contextuels comme visibilité et adhérence). Cette compréhension vous protège des pièges, même si la formulation surprend.
Ensuite, travaillez sur séries chronométrées pour développer vos automatismes. Alternez sessions thématiques et séries « examen » afin de consolider vos acquis et votre endurance mentale. Après chaque série, analysez finement vos erreurs et leurs causes (lecture trop rapide, confusion de panneaux, mauvaise estimation des distances, cas particuliers méconnus).
Enfin, transformez chaque erreur en objectif de progrès. Constituez des fiches synthèses par type d’erreur, puis re-testez-vous sous 24 à 48 heures pour ancrer la bonne règle grâce à la répétition espacée.
La précipitation est l’ennemie. Lisez l’énoncé, observez l’image ou la vidéo, puis relisez la question pour vérifier que votre réponse cible bien la demande. Beaucoup de pièges tiennent à un détail : clignotant actif, ligne discontinue mal identifiée, panneau partiellement masqué.
Les sujets à haut risque : priorités (notamment priorité à droite, carrefours complexes, giratoires), vitesse (travaux, pluie, nuit, autoroute), distances de sécurité, cohabitation avec les usagers vulnérables (cycles, trottinettes, piétons) et facteurs altérant les capacités (fatigue, alcool et stupéfiants, médicaments). Renforcez ces points en expliquant la règle à voix haute avant de répondre.
Autre classique : différences subtiles entre panneaux et panonceaux, et marquage au sol combiné à la signalisation verticale. Préférez toujours la règle la plus restrictive pour la sécurité. Contextualisez : chaussée humide = vitesse réduite et distance augmentée ; visibilité dégradée = prudence renforcée.
Chaque question est limitée en temps. Adoptez un rythme constant, éliminez d’abord les options manifestement fausses et retenez la réponse la plus sûre du point de vue sécurité. Ne laissez pas une hésitation contaminer la suite.
La gestion du stress est déterminante. Préparez-vous comme un sportif : respiration calme, visualisation d’un déroulé fluide, arrivée en avance. Vérifiez convocation et pièce d’identité, et anticipez l’itinéraire vers le centre d’examen.
Mentalement, visez la constance plus que la perfection. Vous n’avez pas besoin d’un 40/40 pour atteindre le seuil de réussite. Fixez un objectif légèrement supérieur à 35, puis avancez question par question.
Si vous avez un délai court, une préparation intensive fonctionne à condition d’être structurée : diagnostic précis des lacunes, modules ciblés pour les combler, puis séries complètes pour tester l’intégration.
Utilisez la révision active : reformulez la règle avec vos mots, illustrez-la, puis validez-la via 5 à 10 questions ciblées. Répétez et espacez (J+1 puis J+7) pour consolider l’ancrage. Un stage accéléré encadré optimise ce processus.
Dans un permis accéléré, l’encadrement par des moniteurs d’État permet une progression rapide grâce à la pédagogie, au rythme et à des retours individualisés. Chez INRI’S Formations, la combinaison stage + plateforme d’entraînement cible les 10 thèmes du code et colle à la logique de l’épreuve officielle.
Les ressources gratuites offrent un bon premier contact avec le format, mais ne couvrent pas toujours toute la diversité des cas. Vérifiez la fraîcheur de la base de questions, l’intégration de sujets récents et la fidélité des mises en situation (visibilité, adhérence, flux, urbain).
Les offres payantes sérieuses ajoutent des explications détaillées, des statistiques d’erreurs, des séries adaptatives et un accompagnement pédagogique. Comparez la richesse de la banque, l’alignement avec 2025 et le suivi par thème.
Avec un budget serré, combinez intelligemment : base gratuite pour explorer, puis modules premium ciblés pour atteindre le seuil de réussite. L’important n’est pas de « faire des séries », mais de s’entraîner juste, avec des retours actionnables.
Après l’épreuve, les résultats du code arrivent par e-mail (souvent le jour même ou sous 48 h). Le relevé précise le score sur 40, les thèmes à améliorer et l’admissibilité. Conservez-le : il facilitera l’enchaînement vers la conduite.
En cas de réussite, capitalisez sans tarder avec vos premières leçons. En cas d’échec, analysez les thèmes faibles, renforcez ciblé pendant quelques jours et reprogrammez rapidement une session pour profiter de l’élan.
Pensez aussi à l’orientation de votre parcours (par exemple permis auto, permis moto ou permis bateau) et, selon vos besoins, aux dispositifs dédiés aux points conduites.
Visez une maîtrise régulière et équilibrée des 10 thèmes du code : signalisation et marquages, circulation (généralités, dépassement, insertion, carrefours), route (types de voies, autoroute, obstacles), conducteur (état, fatigue), autres usagers (cycles, piétons, véhicules lents), mécanique/équipements (feux, pneus, sécurité), environnement/écoconduite, sécurité (ceintures, airbags, sièges enfants), vigilance/perception (réaction, freinage, angles morts), notions diverses (assurance, infractions, secours).
Fixez un seuil d’erreur par thème (ex. 10 %), puis validez en séries mixtes. Glissez des sessions dédiées à la gestion du stress et à la décision rapide, car la connaissance seule ne suffit pas si le temps manque.
Verbalisez votre raisonnement pour ancrer la chaîne décisionnelle : « visibilité limitée, pluie, chaussée glissante : je ralentis et j’augmente la distance ».
En 2025, l’ETG reste un QCM orienté sécurité, administré dans des centres d’examen agréés, avec davantage de contextualisation visuelle. La pédagogie vise des comportements prudents et prévisibles, levier direct de baisse de l’accidentalité chez les novices.
Le maintien du seuil de réussite à 35/40 garantit une exigence élevée sans décourager. Pour se distinguer, il faut maîtriser les liens entre vitesse, distance, visibilité, adhérence et la cohabitation avec les usagers vulnérables. Les pièges vérifient votre attention aux détails essentiels.
L’ETG favorise une préparation structurée et responsable, pour que la théorie serve efficacement la pratique.
Commencez par deux séries complètes pour mesurer votre niveau. Isolez les thèmes concentrant vos erreurs. Pendant trois jours, consacrez 70 % du temps aux faiblesses et 30 % à des séries mixtes. Après chaque session, reformulez les règles mal maîtrisées et planifiez une révision à froid le lendemain.
Quand l’erreur par thème passe sous 15 %, augmentez la part de séries « examen » pour travailler constance et vitesse d’analyse. Soignez la lecture : nombre de fautes « bêtes » disparaissent en marquant une respiration avant de valider. La veille, faites une série le matin, relisez vos fiches l’après-midi, puis reposez-vous. Pour démarrer sur de bonnes bases, appuyez-vous sur une évaluation de départ afin de cibler immédiatement vos priorités.
Avec cette méthode, la plupart des candidats passent durablement sous 5 fautes. La clé : discipline de correction et répétition espacée.
Pour une progression rapide, INRI’S propose des stages intensifs orientés résultats, adaptés aux débutants comme aux candidats en reprise. L’encadrement par des moniteurs diplômés d’État, la sélection d’exercices ciblés et les retours personnalisés réduisent significativement le temps nécessaire pour atteindre le seuil de réussite.
La plateforme en ligne permet de réserver, de s’entraîner en illimité et de suivre sa progression par thème, avec des séries alignées sur l’officiel. Dans un parcours permis accéléré, vous bénéficiez d’une continuité entre théorie et pratique. Selon votre situation, les options de financement (dont le CPF) rendent la formation accessible au plus grand nombre.
INRI’S propose un accompagnement complet, de la préparation du code aux parcours pratiques, pour sécuriser votre réussite dans les meilleures conditions.
Fixez un objectif à 37–38/40. Cette ambition transforme l’état d’esprit : on ne « évite » plus l’échec, on « sécurise » la réussite. Vous lirez mieux les indices visuels et privilégierez des choix plus prudents, deux atouts décisifs à l’épreuve.
Ce réflexe sert aussi la pratique : une maîtrise fine de la signalisation, l’anticipation des angles morts et l’ajustement intuitif de la vitesse selon la visibilité facilitent vos premières heures au volant.
Visez une marge confortable pour parer une série plus exigeante, une brève baisse d’attention ou une question piégeuse. La constance devient votre meilleure assurance.
Anticipez le trajet, vérifiez convocation et pièce d’identité, arrivez en avance. Évitez les révisions de dernière minute, souvent plus anxiogènes qu’utiles.
Une logistique simple et fluide favorise la performance cognitive : repas léger, hydratation, peu d’écrans dans l’heure précédant l’examen pour préserver l’attention visuelle.
Dans une épreuve où 5 erreurs maximum sont permises, ces « points gratuits » d’exécution font la différence.
Adoptez un balayage visuel systématique : marquages, panneaux, trajectoires, usagers vulnérables, météo et adhérence. Identifiez d’abord les risques majeurs, puis les opportunités (insertion, dépassement) et enfin les contraintes (vitesse, signalisation spécifique).
Traduisez en règles opérationnelles : « visibilité réduite = vitesse adaptée », « passage piéton = vigilance renforcée », « clignotant d’un usager = anticipation de sa trajectoire ». Cette grammaire convertit l’image en décision et réduit l’hésitation.
En cas de doute, privilégiez la réponse la plus sûre. Une conduite défensive bien dosée, respectueuse des distances de sécurité et des usagers vulnérables, paie à l’ETG.
Vous êtes prêt lorsque plusieurs séries « examen » consécutives restent sous 4–5 fautes, y compris sur des banques de questions différentes. La stabilité prime sur le meilleur score isolé.
Vérifiez que vos erreurs résiduelles ne se concentrent pas sur un thème unique. Mieux vaut quelques fautes dispersées qu’un point faible marqué en priorités ou en signalisation. Si un thème ressort, rééquilibrez vos révisions avant l’épreuve.
Testez-vous en conditions réelles : temps limité, sans aide ni pause. Cette simulation renforce la confiance et affine votre rythme.
En 2025, l’examen code trois fautes reste une rumeur : le nombre de fautes autorisées demeure à 5 et le seuil de réussite à 35/40. Pour réussir, adoptez une préparation méthodique : maîtrisez les 10 thèmes du code, entraînez-vous en QCM chronométrés, corrigez vos erreurs avec rigueur et soignez votre gestion du stress. Visez un score de sécurité au-delà du minimum et transformez chaque faute en progrès durable. Avec un parcours bien structuré et l’accompagnement adapté (stages, plateforme, CPF), vous disposez de tous les leviers pour décrocher votre Code rapidement, efficacement et en confiance.
4,7/5 ☆ sur des milliers d’avis vérifiés Google
Initiation au pilotage moto Sur circuit. Motos Honda hornet toutes neuves Julien le formateur pilotage sur circuit très pédagogue cela ma permis de me rassurer pour les trajectoire dans les virage A refaire Marie Thérèse
Le service fourni était impeccable. Non seulement l'équipe était professionnelle, mais elle était également extrêmement compétente, dans l'ensemble, je ne peux que recommander I’auto école Inri’s
Une très bonne auto-école...j'ai eu la chance d'avoir de bon conseils tout au long de ma formation, après 28h de conduite sur une c3 j'ai obtenu mon permis.Je vous recommande cette auto école peut importe le moniteur que vous aurez vous serez entre de bonne mains. Encore merci Audrey Jonathan
Très bonne auto-école, Pierre meilleure moniteur du monde et je pèse mes mots celui qui dit le contraire sait pas conduire !!!
Très bon centre de formation Le formateur est très bien J'ai réussi mon vtc grâce à eux Merci
Super expérience je recommande, super moniteur (Pierre) à l'écoute et de très bon conseils !
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