Feux diurnes : Code de la route, usage et amendes 2025

Vous voulez comprendre à quoi servent réellement les feux diurnes et éviter les amendes en 2025 ? Bonne idée. Ils améliorent la visibilité de jour et sont désormais devenus un standard. Dans cet article, nous allons voir ensemble de quelle façon les utiliser correctement, ce que dit le code de la route 2025, quelles sanctions vous risquez et comment rester en règle.

Sommaire

Définition et rôle – Historique et généralisation en Europe – Fonctionnement et bon usage – Réglementation 2025 (France/UE) – Amendes et sanctions – Dangers et idées reçues – Impact environnemental – Cas particuliers (moto, utilitaires, poids lourds) – Installation et homologation – Contrôle technique et assurance – Interdictions et erreurs fréquentes – Conseils d’experts pour la conduite et l’examen – Notes et références réglementaires.

Un dispositif lumineux pour être mieux vu par les autres usagers de la route

Les feux diurnes, aussi appelés feux de jour ou DRL (Daytime Running Lights), sont des lampes blanches situées à l’avant du véhicule qui s’allument automatiquement dès la mise du contact. Leur but n’est pas d’éclairer la route, mais d’augmenter la visibilité du véhicule pour les autres usagers pendant la journée. Ils complètent ainsi l’arsenal d’éclairage de sécurité sans se substituer aux feux de croisement, qui restent indispensables de nuit ou en cas de visibilité réduite.

Conçus pour attirer l’attention plutôt que pour projeter un faisceau, les feux diurnes sont optimisés en intensité et en diffusion. La plupart des véhicules récents les intègrent sous forme de LED, pour une consommation très faible et une forte fiabilité. Ils se coupent généralement dès que vous allumez les feux de croisement ou, selon les véhicules, lorsqu’un capteur de luminosité détecte l’obscurité. Cette logique évite tout chevauchement d’éclairage non conforme.

Historique

L’idée d’un éclairage dédié à la conduite de jour remonte aux pays nordiques, où la luminosité hivernale très faible justifiait l’allumage des feux en permanence. Sur le plan réglementaire, l’Union européenne a progressivement harmonisé les prescriptions en s’appuyant sur la réglementation technique internationale (Règlement n°87 de la CEE-ONU, souvent abrégé R87). À partir de 2011, l’UE a rendu obligatoires les feux diurnes sur les nouveaux types de voitures particulières et véhicules utilitaires légers homologués. Les bus et poids lourds ont suivi peu après. Cette généralisation a permis une meilleure cohérence des parcs automobiles européens et une amélioration de la perception des véhicules pendant la journée.

En France, les feux de croisement de jour ont longtemps été recommandés, notamment à l’approche de l’hiver. Les feux diurnes ont ensuite pris le relais sur les nouveaux modèles de véhicules, avec un usage automatisé qui met fin aux oublis et aux réglages inappropriés. Le parc s’est rapidement modernisé et, en 2025, la quasi-totalité des voitures récentes en sont équipées de série.

Fonctionnement et bon usage des feux de jour

En usage courant, l’activation des feux diurnes est automatique au démarrage. Ils s’éteignent lorsque les feux de croisement s’allument, manuellement ou via un capteur. Ce basculement est essentiel car les DRL n’illuminent pas la route et n’allument pas, sur la plupart des modèles, les feux arrière. Circuler uniquement avec des feux diurnes de nuit, sous forte pluie, dans le brouillard ou en cas de chutes de neige est donc dangereux et non conforme au Code de la route.

La règle d’or est simple: de jour, par bonne visibilité, laissez travailler les feux de jour; dès que la luminosité baisse ou que la visibilité est réduite, passez aux feux de croisement. N’attendez pas le déclenchement automatique des feux si vous sentez que «voir et être vu» se dégrade. Anticiper reste la meilleure défense, surtout au lever et au coucher du soleil, sur routes ombragées, en pluie fine persistante ou lors d’épisodes de brouillard localisé.

Veillez également à ne pas confondre DRL et feux antibrouillard avant. Ces derniers ne doivent pas être utilisés en permanence; ils servent uniquement lorsque la visibilité est fortement réduite (brouillard, neige, pluie intense), sous peine d’éblouir et de contrevenir à la réglementation.

Réglementation 2025

En 2025, la réglementation française s’articule autour de deux piliers: l’obligation d’équipement sur les véhicules homologués selon les prescriptions européennes, et l’obligation d’usage des dispositifs d’éclairage adaptés aux conditions de circulation. Les véhicules récents mis en circulation selon les directives UE sont équipés de feux diurnes. Pour les véhicules plus anciens, il n’est pas obligatoire d’en installer, mais ils doivent, comme tous, utiliser un éclairage conforme lorsque la visibilité est insuffisante.

La réglementation technique applicable aux DRL, notamment le Règlement CEE-ONU n°87 et les prescriptions d’installation (par ex. R48), prévoit la couleur blanche, l’extinction automatique à l’allumage des feux de croisement et des critères d’implantation (hauteur, écartement, orientation) pour garantir l’efficacité sans éblouissement. Toute installation additionnelle doit respecter ces prescriptions d’homologation et de montage.

Ce que dit le Code de la route en pratique: les DRL ne remplacent pas les feux de croisement lorsque cela est requis. Dès que la visibilité diminue, les feux de croisement deviennent obligatoires. Conduire uniquement avec les feux diurnes dans ces situations est une infraction. En outre, l’utilisation de dispositifs lumineux non homologués ou de couleur non conforme (autre que blanche à l’avant) est interdite.

Amendes et sanctions en 2025

Plusieurs scénarios d’infraction peuvent conduire à une amende liée à l’éclairage, même si «ne pas avoir de feux diurnes» n’est pas en soi verbalisable sur un véhicule ancien qui n’en est pas doté d’origine. L’usage non conforme des feux et l’état défectueux de l’éclairage sont en revanche sanctionnés. Circuler sans éclairage requis de nuit ou par visibilité insuffisante peut donner lieu à une contravention de 4e classe, généralement 135 € forfaitaire, avec immobilisation possible en cas de danger manifeste. Un éclairage incomplet, non conforme ou des feux avant de couleur ou d’intensité prohibée sont généralement sanctionnés par une contravention de 3e classe (souvent 68 € forfaitaire).

À noter qu’il n’y a, en règle générale, pas de retrait de points pour une infraction simple liée à l’éclairage. Néanmoins, le non-respect d’une sommation d’un agent de régulariser l’éclairage ou la combinaison avec d’autres infractions peut aggraver la situation. En cas d’accident, un éclairage non conforme pourrait aussi compliquer l’indemnisation, notamment si l’assureur démontre un lien avec la survenue du sinistre.

Danger

Le premier risque tient à la confusion: beaucoup d’automobilistes croient, à tort, que leurs feux arrière s’allument avec les DRL. Ce n’est pas systématique. Or, en pluie, brouillard ou crépuscule, rouler avec uniquement des feux diurnes laisse l’arrière du véhicule invisible, ce qui augmente nettement le risque de collision par l’arrière. Cette fausse impression de sécurité est renforcée par les planches de bord rétroéclairées en permanence, qui masquent l’absence d’allumage des feux principaux.

Deuxième risque: l’éblouissement. Un montage non homologué, trop haut, trop orienté vers le ciel ou trop puissant, peut perturber la vision des usagers venant en sens inverse. Certaines bandes LED décoratives vendues en ligne n’ont aucune certification et projettent une lumière agressive. Elles sont à proscrire. Même avec un équipement d’origine, un choc ou une réparation approximative peuvent dérégler l’orientation et nuire à la sécurité.

Troisième risque: l’hyper-confiance. Les feux de jour rendent le véhicule plus visible, mais ils ne dispensent pas de gérer les distances, d’anticiper les angles morts et d’adapter sa vitesse aux conditions. Ils ne remplacent en aucun cas les feux de croisement, les antibrouillards lorsqu’ils sont requis, ni une conduite défensive.

Impact environnemental

Les DRL modernes à LED consomment très peu d’énergie, typiquement quelques watts par côté. Comparé aux feux de croisement halogènes qui mobilisent une puissance nettement supérieure, l’usage des DRL de jour permet de réduire la consommation et les émissions de CO2 à l’échelle du parc. La durée de vie des LED est également très élevée, limitant la production de déchets d’ampoules. Combiné aux gains de sécurité attendus (les études européennes évoquent généralement une baisse de 5 à 15 % de certains accidents diurnes), le bilan global est favorable.

Le bilan devient moins vertueux si l’on installe des dispositifs non homologués, voraces en énergie ou mal intégrés, ou si l’on roule en permanence avec les feux de croisement sans nécessité. En 2025, la plupart des véhicules gèrent efficacement l’extinction des DRL dès que les feux de croisement sont activés, minimisant les surconsommations inutiles. Un entretien régulier et un montage conforme restent les meilleures garanties d’un usage sobre.

Autres véhicules

Sur les deux-roues motorisés, l’allumage d’un éclairage avant de jour est obligatoire depuis longtemps. Les motos récentes peuvent être dotées de feux diurnes dédiés, qui basculent vers un éclairage de croisement selon les conditions. La vigilance est de mise, car l’étroitesse d’un deux-roues rend la perception de distance plus délicate. L’usage correct de l’éclairage, et à défaut l’allumage des feux de croisement en journée, améliore nettement la visibilité. Pour bien se préparer, révisez le code moto et anticipez les exigences du permis moto.

Les utilitaires, camions et bus homologués selon les dernières normes européennes sont également équipés de feux diurnes. Leur grande surface frontale bénéficie beaucoup d’une signature lumineuse diurne, qui facilite l’identification des gabarits aux intersections. Pour les usagers de la mer, pensez à préparer le code bateau et à valider le permis bateau pour une sécurité optimale.

Interdiction

Certains usages sont interdits et exposent à verbalisation. Il est prohibé d’installer des feux avant d’une couleur autre que blanche, d’ajouter des dispositifs clignotants non dédiés au signalement réglementaire, ou de rouler avec des DRL allumés simultanément aux feux de croisement si le système n’est pas prévu pour s’assombrir ou s’éteindre automatiquement. L’ajout de barres LED non homologuées, d’intensités et de faisceaux inadaptés à une utilisation routière, est également interdit sur route ouverte.

Les feux antibrouillard avant ne doivent pas être utilisés en permanence «pour faire joli» ou «mieux voir» lorsque la visibilité est bonne; cela peut éblouir et contrevenir à la réglementation. Enfin, toute modification du câblage qui neutralise l’extinction automatique des DRL à l’allumage des feux de croisement est à proscrire: elle rend l’installation non conforme et peut entraîner une amende et des difficultés au contrôle technique.

Comment installer des feux diurnes sur un véhicule ancien

Le rétrofit est possible, à condition de respecter l’homologation et les prescriptions d’installation. Choisissez des DRL certifiés (marquage ECE R87 visible sur le dispositif) et suivez les règles d’implantation: hauteur au-dessus du sol, distance par rapport au bord latéral, symétrie, orientation. Le montage doit intégrer un boîtier de commande qui coupe automatiquement les DRL dès que les feux de croisement s’allument. Évitez tout branchement artisanal permanent qui contrevient à ces exigences.

L’intégration esthétique compte, mais la sécurité prime. Un professionnel qualifié peut garantir un montage propre, invisible et conforme. Sur certains véhicules, l’ordinateur de bord peut détecter des anomalies de consommation si des LED non adaptées sont installées; un montage avec résistances ou modules compatibles s’impose. Gardez la facture et la notice d’homologation à portée, en cas de contrôle ou d’évaluation par un expert après sinistre.

Contrôle technique et assurance

Le contrôle technique vérifie l’éclairage obligatoire: feux de croisement, feux de route, feux de position, clignotants, feux stop et éclairage de plaque. Les feux diurnes ne font pas partie des organes exigés pour la réussite du contrôle sur les véhicules qui n’en sont pas obligatoirement équipés. Toutefois, une installation additionnelle non conforme ou générant des dysfonctionnements (par exemple l’impossibilité d’allumer correctement les feux de croisement) peut entraîner une défaillance, voire une contre-visite. De même, des DRL trop éblouissants, mal fixés ou clignotants peuvent être considérés comme non conformes.

Côté assurance, la règle est simple: un véhicule modifié doit rester conforme à la réglementation et ne pas aggraver le risque. En cas d’accident, un éclairage non homologué ou mal installé pourrait être retenu comme facteur aggravant. Prévenez votre assureur en cas de modifications notables et conservez les preuves d’achat et de pose. Dans le doute, privilégiez un montage professionnel et certifié.

Nos conseils d’experts

INRI’S Formations accompagne chaque année des milliers de conducteurs vers la réussite. Nos moniteurs insistent sur trois réflexes-clés. D’abord, ne vous fiez pas uniquement à l’automatisme: si la météo se dégrade, allumez immédiatement les feux de croisement. Ensuite, surveillez votre arrière: les DRL n’éclairent pas l’arrière du véhicule, ce qui impose de passer plus tôt aux feux principaux par pluie, brouillard ou au crépuscule. Enfin, vérifiez régulièrement le bon fonctionnement de tout l’éclairage lors de vos contrôles de routine (pneus, niveaux, balais d’essuie-glace). Lors d’un stage accéléré, nous multiplions les mises en situation pour automatiser ces transitions d’éclairage.

Pour l’examen du permis, un usage pertinent des feux de jour et de croisement peut faire la différence. Montrez que vous anticipez: basculez vers les feux de croisement en entrant dans un tunnel, sous une averse marquée ou sur route forestière sombre, sans attendre l’initiative du capteur. Les inspecteurs apprécient cette capacité d’analyse.

Pourquoi faire évoluer la réglementation routière avec des feux diurnes ?

Les feux diurnes répondent à un objectif de sécurité publique: rendre chaque véhicule plus repérable dans l’environnement routier diurne, où la densité de trafic et la diversité des usagers augmentent la complexité des situations. En uniformisant l’équipement à l’échelle européenne, les législateurs ont cherché à lisser les écarts de pratique entre pays et à tirer parti des progrès des LED, qui offrent une signature lumineuse nette, durable et peu énergivore. La généralisation progressive dans le parc, combinée à la pédagogie en auto-école, contribue à diminuer les heurts aux intersections et les collisions frontales légères sur routes bidirectionnelles.

Cette évolution n’est pas un blanc-seing: elle s’accompagne d’exigences techniques strictes pour éviter l’éblouissement et préserver la hiérarchie des feux. Le principe reste «dessiner» le véhicule dans le champ visuel de l’autre usager, et non éclairer la chaussée. C’est précisément cette nuance qui rend indispensable le passage aux feux de croisement dès que la visibilité n’est plus pleinement diurne.

Fonctionnement avancé et évolutions technologiques

Beaucoup de véhicules 2025 disposent d’une gestion intelligente de l’éclairage: capteur de luminosité, caméras, GPS. Certains allument les feux de croisement à l’approche de tunnels, d’autres tiennent compte de la vitesse et des conditions météo. Certains ensembles optiques intègrent les DRL dans une signature lumineuse qui se transforme en clignotant séquentiel. Dans tous les cas, la conformité est maintenue: lorsqu’un feu fonction assume plusieurs fonctions (DRL, position, clignotant), chaque mode respecte son niveau d’intensité et ses règles d’activation.

Le calibrage en usine garantit le compromis entre visibilité et non-éblouissement. Si une réparation de carrosserie ou de projecteur intervient, exigez la remise aux spécifications d’origine (réglage, étanchéité, fixations). Les boîtiers LED modernes sont sensibles à la surchauffe et à l’humidité; une infiltration peut créer des pannes intermittentes, parfois confondues avec un problème de faisceau électrique. Un diagnostic professionnel évite des remplacements coûteux au hasard.

Erreurs fréquentes à éviter

Première erreur: laisser les feux diurnes en imaginant être parfaitement visible sous la pluie ou dans le brouillard. Cette pratique est dangereuse, surtout car l’arrière du véhicule n’est pas allumé. Seconde erreur: installer des bandes LED décoratives «universelles» sans marquage, fixées trop haut, trop près du bord, ou orientées de manière hasardeuse. Troisième erreur: neutraliser l’extinction automatique des DRL pour des raisons esthétiques; ce montage est non conforme et peut valoir une amende.

Quatrième erreur: négliger le nettoyage. Des DRL encrassés perdent en efficacité. Un simple entretien lors du lavage du véhicule améliore la visibilité. Enfin, ne confondez pas signature lumineuse et fonction légale: une barre lumineuse puissante conçue pour l’off-road n’a pas sa place sur route ouverte. Elle peut éblouir, être illégale et exposer à un refus de contrôle technique.

Mise en pratique pour les candidats au permis

Pour réussir l’épreuve pratique du permis auto, intégrez les DRL à votre routine de préparation. Avant de démarrer, confirmez l’absence d’alerte au tableau de bord; en roulant, ajustez l’éclairage en fonction des conditions. Montrez que vous dominez le sujet: vous passez aux feux de croisement à l’entrée d’un tunnel, en cas d’averse ou en fin de journée, et vous vérifiez que vos feux arrière sont allumés lorsque c’est nécessaire. Révisez aussi votre code voiture pour maîtriser les usages des feux selon les scénarios d’examen.

Sur le plan théorique, le Code de la route 2025 inclut des questions sur l’usage des feux selon la météo et la luminosité. Révisez les règles: les DRL sont faits pour être vus de jour; les feux de croisement servent à voir et être vu dès que la visibilité baisse; les antibrouillards avant et arrière ont des usages spécifiques et encadrés. Cette clarté d’esprit se ressentira à l’examen, où l’évaluateur valorise des décisions rapides, cohérentes et sûres.

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Que retenir en 2025

Les feux de jour sont devenus incontournables pour la sécurité routière. Ils vous rendent plus visible de jour, sans pénaliser la consommation. Mais ils ne remplacent pas les feux de croisement quand la luminosité chute ou que la météo se dégrade. Pour rester en règle et éviter toute amende, utilisez l’éclairage adapté aux conditions, évitez les accessoires non homologués et veillez à l’état de vos optiques. En cas de doute, privilégiez un conseil professionnel et une installation certifiée.

De l’apprentissage à la conduite quotidienne, la logique reste la même: être vu tôt, clairement et sans éblouir. Avec une pratique rigoureuse et un véhicule conforme, vous mettez toutes les chances de votre côté pour circuler sereinement, passer le permis en confiance et protéger les autres usagers.

Notes et références

Règlement CEE-ONU n°87 relatif aux feux de circulation diurne; prescriptions d’installation (par ex. R48) définissant implantation et extinction; directives européennes ayant rendu obligatoires les DRL sur les nouveaux types de véhicules (voitures particulières et utilitaires légers à partir de 2011, bus et poids lourds ensuite); dispositions du Code de la route encadrant l’usage des feux selon la visibilité et la luminosité; règles nationales d’homologation et de conformité des dispositifs d’éclairage montés sur les véhicules.