Le panneau interdiction de stationner expliqué simplement. Règles, zones, durées, exceptions et amendes du Code de la route pour éviter les PV
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Vous voulez éviter les mauvaises surprises liées au panneau interdiction de stationner ? C’est un bon réflexe pour préserver votre budget côté financement et votre sérénité. Les règles existent et sont claires quand on sait les lire. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment reconnaître ces signaux, comprendre leur portée, éviter les amendes et adopter les bons réflexes au quotidien.
Le panneau d’interdiction de stationner est un disque bleu bordé de rouge, barré d’une diagonale rouge. Il signifie que vous ne pouvez pas laisser votre véhicule à l’arrêt de façon prolongée sur l’emplacement concerné. Autrement dit, vous ne pouvez pas « stationner » au sens du code, c’est-à-dire immobiliser le véhicule sans conducteur à bord, pour une durée excédant l’arrêt momentané nécessaire pour faire monter ou descendre un passager ou charger/décharger rapidement.
Il est essentiel de faire la différence entre « arrêt » et « stationnement ». L’arrêt est bref et reste possible sous ce panneau, tant qu’il ne devient pas gênant ou dangereux. Le stationnement, lui, est prohibé. Cette nuance, souvent source de malentendus, est fondamentale pour éviter toute amende et une éventuelle mise en fourrière.
La portée de l’interdiction s’applique généralement du panneau jusqu’à la prochaine intersection, sauf indication contraire via panonceau, marquage ou panneau de fin. Dans une zone (signalée par un panneau de début de zone), l’interdiction vaut pour l’ensemble du périmètre jusqu’à la sortie de zone.
Le panneau « arrêt et stationnement interdits » est un disque bleu bordé de rouge avec une croix rouge (deux diagonales). Il va plus loin que le simple « stationnement interdit » : vous n’avez pas le droit d’immobiliser le véhicule, même quelques secondes, sauf cas de force majeure ou ordre des forces de l’ordre. Cette distinction a des conséquences sur les sanctions et sur l’appréciation du caractère gênant ou dangereux de l’immobilisation.
Quand vous voyez une seule barre diagonale, pensez « stationnement interdit mais arrêt autorisé ». Quand vous voyez la croix, retenez « arrêt et stationnement interdits ». C’est une clef de lecture indispensable pour l’examen et pour la conduite au quotidien.
Les panonceaux placés sous le panneau précisent l’interdiction. Ils peuvent indiquer des horaires (par exemple 8h–19h), des jours (lundi au samedi), des périodes (juillet–août), des catégories de véhicules (sauf livraisons, sauf résidents, sauf véhicules électriques en charge), une distance (par exemple 100 m), un sens (flèche de début, de rappel, ou de fin), ou des dates d’alternance (stationnement côté impair du 1er au 15, côté pair du 16 à la fin du mois).
Un panonceau peut aussi matérialiser une « zone de livraison » où le stationnement des particuliers est interdit tandis que l’arrêt pour déchargement professionnel est toléré sur une plage horaire donnée. Prenez toujours le temps de lire chaque panonceau : il transforme la règle générale en règle applicable ici et maintenant.
Sauf indication contraire, l’interdiction s’applique à partir du panneau et s’achève à la prochaine intersection. Si l’interdiction court sur une longue distance, vous pouvez rencontrer un panneau de rappel. Des flèches sur panonceau indiquent parfois un début (flèche dirigée vers le bas et la gauche), une continuité (flèche double) ou une fin (flèche dirigée vers le bas et la droite). Un panonceau « 200 m » précise la longueur de la section concernée.
Sur les routes larges, en agglomération, l’interdiction concerne généralement le côté où le panneau est implanté. Dans une zone (panneau de type « zone d’interdiction de stationner »), la règle s’applique à toutes les voies internes, indépendamment des intersections, jusqu’au panneau de fin de zone.
Le stationnement interdit ne résulte pas toujours d’un panneau. Certaines interdictions sont permanentes car elles découlent du code. Par exemple, il est interdit de stationner sur les trottoirs (sauf marquage autorisant clairement le stationnement), sur les passages piétons et à moins d’une distance permettant la visibilité et le passage des piétons, sur les voies et bandes cyclables, sur les emplacements réservés aux personnes à mobilité réduite sans carte, sur les arrêts de bus et zones réservées aux transports collectifs, devant les entrées carrossables (accès garages), sur les terre-pleins, dans les tunnels, sur les ponts si une signalisation l’interdit, ou au droit des intersections si le véhicule gêne la visibilité ou la circulation.
Le stationnement en « double file » constitue souvent un stationnement gênant voire très gênant selon la configuration (présence de piste cyclable, voie de bus, couloir de secours). Même sans panneau, la logique est simple : tout ce qui perturbe la sécurité et la fluidité est proscrit et peut être verbalisé.
Le marquage au sol complète la signalisation verticale. Une ligne jaune discontinue le long du bord du trottoir signifie « stationnement interdit » mais arrêt autorisé. Une ligne jaune continue signifie « arrêt et stationnement interdits ». Les zébras jaunes aux arrêts de bus, les couloirs bus signalés au sol et les bandes cyclables sont interdits au stationnement.
La zone bleue (emplacements matérialisés en bleu) autorise un stationnement gratuit limité à une durée fixée localement, avec obligation d’apposer un disque de stationnement sur le pare-brise. À l’inverse, l’absence de marquage n’équivaut pas automatiquement à une autorisation : la règle de la signalisation et des interdictions générales s’applique toujours.
Dans certaines rues, le stationnement est autorisé d’un côté puis de l’autre selon la période du mois (alternance semi-mensuelle). Cette règle est toujours signalée : un panonceau précise les dates de bascule et, parfois, des horaires de transition. Ne vous fiez pas aux habitudes du quartier : lisez le panonceau à chaque changement de période pour éviter la contravention et l’enlèvement à la fourrière.
Il existe aussi des alternances hebdomadaires ou quotidiennes liées au nettoyage des rues. Les panonceaux indiquent les jours et plages horaires d’interdiction. En cas de doute, éviter de stationner la veille au soir pour ne pas entraver le service et risquer la mise en fourrière.
Travaux, déménagement, évènement sportif ou culturel : les interdictions temporaires sont matérialisées par des panneaux ou arrêtés municipaux affichés sur place. Ils mentionnent la période, la rue concernée et parfois les numéros de chaussée. Même si vous étiez stationné avant la pose, vous pouvez être verbalisé et enlevé après un délai d’information raisonnable. Surveillez les affichages lorsque vous stationnez plusieurs jours au même endroit.
Les professionnels peuvent demander une réservation temporaire d’emplacement auprès de la mairie. Si vous constatez une signalisation temporaire peu lisible ou incohérente, photographiez-la et, en cas de verbalisation, conservez ces éléments pour une contestation éventuelle.
Le non-respect d’un panneau interdiction de stationner entraîne une amende forfaitaire. Le montant varie selon la qualification de l’infraction : stationnement irrégulier simple, stationnement gênant, très gênant ou dangereux. Un stationnement gênant (trottoir, piste cyclable, double file) est plus sévèrement sanctionné qu’un simple dépassement de limite temporelle. Un stationnement très gênant (emplacement PMR, voie réservée, passage piéton) est encore plus lourdement sanctionné, et mieux vaut préserver ses points-conduites.
Au-delà de l’amende, les forces de l’ordre peuvent immobiliser le véhicule (sabot), faire procéder à l’enlèvement et à la mise en fourrière si le véhicule entrave la circulation, met en danger les usagers ou empêche l’accès (secours, bus, riverains). Les frais d’enlèvement et de garde s’ajoutent à l’amende et peuvent rapidement dépasser le montant de la contravention. En pratique, mieux vaut déplacer le véhicule dès que la situation le permet, même si vous pensez être « juste quelques minutes ».
Attention à ne pas confondre avec le Forfait Post-Stationnement (FPS), qui concerne le paiement du stationnement payant en voirie. Le FPS ne s’applique pas aux interdictions de stationner matérialisées par panneaux ou marquages : dans ce cas, il s’agit bien d’une contravention au code.
Certains véhicules bénéficient de dérogations ponctuelles inscrites sur panonceaux (« sauf services », « sauf livraisons », « sauf riverains », « véhicules électriques en charge »). Les conducteurs titulaires de la carte européenne de stationnement pour personnes handicapées (carte mobilité inclusion – stationnement) disposent de droits spécifiques, mais ils ne permettent pas de se garer en contradiction avec une interdiction absolue, notamment sur les zones dangereuses ou réservées.
Les véhicules de secours, de police, d’intervention technique peuvent stationner en infraction lorsqu’une mission l’exige et sous réserve de ne pas mettre les autres usagers en danger. Pour les autres, seule une situation de force majeure peut justifier un arrêt momentané en zone interdite, et l’appréciation reste à la discrétion des agents.
Les panneaux doivent être visibles et implantés avant le début de la section concernée, sur le côté de la chaussée visé. Ils sont rétroréfléchissants pour garantir une bonne visibilité de nuit et par faible luminosité. En cas d’obstacle (végétation, travaux), une répétition peut être installée.
Si un panneau est masqué, détérioré ou ambigu, les agents peuvent faire usage d’autres éléments (marquages au sol, arrêté municipal, cohérence de l’ensemble) pour caractériser l’infraction. De votre côté, vous pouvez documenter le défaut de signalisation en cas de contestation. Bon réflexe : avant de vous garer, faites le tour visuel de la rue sur quelques dizaines de mètres pour repérer le moindre panneau, panonceau ou marquage jaune.
En ville, la densité d’usagers impose de respecter scrupuleusement les limitations de durée et de zones. Les trottoirs, bandes cyclables et voies de bus sont des espaces sensibles : y stationner vous expose à des sanctions aggravées. Hors agglomération, l’implantation de panneaux est plus espacée, mais la règle « du panneau à l’intersection suivante » demeure. Attention aux aires de covoiturage, aux bretelles d’autoroute, aux voies rapides : le stationnement y est strictement encadré voire interdit.
Dans les secteurs touristiques ou scolaires, des aménagements spécifiques peuvent s’appliquer à certaines heures (dépose-minute, « kiss and ride », zones de tourisme). Les panonceaux fixent alors des fenêtres temporelles précises. Le bon réflexe est de vérifier l’horloge et de lire toute la signalisation avant d’immobiliser le véhicule.
Adoptez une méthode simple. D’abord, cherchez le panneau le plus proche du point où vous voulez vous garer et lisez les panonceaux associés. Ensuite, balayez la rue du regard pour vérifier la cohérence de la signalisation et la présence d’un marquage jaune. Enfin, demandez-vous si votre véhicule gênerait un piéton, un cycliste, un bus, un camion poubelle ou un véhicule de secours : si la réponse est oui, changez d’emplacement.
Utilisez les applications de stationnement autorisées par la ville et repérez les parkings ou zones de stationnement réglementées. En zone bleue, n’oubliez pas le disque. En zone payante, réglez votre temps ou déplacez le véhicule avant l’échéance. Et en présence d’un panneau interdiction de stationner, privilégiez l’arrêt bref uniquement si nécessaire et sans gêne.
Si vous estimez la verbalisation infondée (signalisation absente ou illisible, véhicule non stationné mais simplement en arrêt autorisé, erreur de plaque ou de lieu), vous pouvez contester dans les délais et formes indiqués sur l’avis. Joignez des preuves précises : photos horodatées du panneau, du marquage, de l’emplacement, témoignages, ticket de paiement si pertinent, copie de l’arrêté si vous l’avez obtenu.
En cas d’FPS (stationnement payant non réglé), la procédure diffère via un recours administratif préalable obligatoire (RAPO) puis, si besoin, un recours à la commission compétente. Pour une interdiction matérialisée par panneau, la voie de contestation reste celle de l’amende pénale. Mieux vaut agir rapidement et conserver tous les justificatifs.
Derrière chaque règle d’arrêt et stationnement se cache un enjeu de sécurité et de partage de l’espace public. Un véhicule mal garé peut masquer un piéton qui s’engage, forcer un cycliste à dévier, bloquer un bus, empêcher l’accès des secours ou imposer un détour dangereux. C’est pourquoi les interdictions sont strictes autour des passages piétons, des écoles, des carrefours, des pistes cyclables et des arrêts de transport.
Respecter un panneau interdiction de stationner, c’est participer à la sécurité collective et à la fluidité du trafic. C’est aussi préserver votre permis et votre budget. La pédagogie, la vigilance et l’anticipation sont vos meilleurs alliés.
À l’examen, les questions sur la signalisation d’interdiction de stationner sont fréquentes. Retenez la différence entre arrêt et stationnement, l’impact des panonceaux (horaires, catégories, distances), la portée du panneau (jusqu’à la prochaine intersection ou fin de zone), et l’équivalence avec le marquage jaune au sol. Apprenez à identifier les cas d’interdiction sans panneau (trottoir, piste cyclable, passage piéton, PMR, couloir bus). Pour vous entraîner, explorez nos parcours code-voiture, code-moto et code-bateau.
En leçon, habituez-vous à lire la rue de loin, à anticiper la place où vous allez vous arrêter, et à vous repositionner si la situation évolue (camion de livraison, chantier, panneau temporaire). Ces automatismes sont au cœur de notre pédagogie avec des exercices concrets pour vous entraîner à repérer, analyser et décider en quelques secondes, dès votre evaluation-de-depart.
Confondre arrêt et stationnement est l’erreur la plus coûteuse. Rester au volant ne suffit pas à rendre légal un stationnement interdit si vous immobilisez le véhicule pour autre chose qu’un arrêt bref et nécessaire. De même, se fier à l’habitude (« tout le monde se gare ici ») est risqué : la régularité ne rend pas une infraction légale, et un contrôle ciblé peut changer la donne.
Autre piège : ignorer un panonceau précisant des horaires ou des jours. Une interdiction peut ne s’appliquer que sur une plage horaire ; à l’inverse, elle peut s’appliquer uniquement la nuit ou le week-end. Enfin, ne vous fiez pas au seul marquage au sol si celui-ci est effacé : cherchez toujours la signalisation verticale et, en cas de doute, abstenez-vous de stationner.
Les rentrées scolaires, les périodes de travaux urbains et les grands événements entraînent souvent des interdictions temporaires. Les opérations de nettoiement et de déneigement imposent aussi des fenêtres d’interdiction. En ville dense, les contrôles de nuit peuvent être renforcés sur les trottoirs et passages piétons. Si vous laissez votre véhicule plusieurs jours, vérifiez régulièrement la zone ou privilégiez un parking.
En quartiers résidentiels, l’alternance de stationnement peut surprendre. Programmez un rappel dans votre téléphone aux dates de bascule et vérifiez chaque extrémité de la rue pour identifier le sens d’application. Cette routine simple vous évitera la contravention et l’enlèvement.
Un conducteur attentif ne cherche pas à contourner la règle, mais à comprendre son esprit. Un marquage au sol effacé ne crée pas un droit ; un trottoir « large » n’est pas une place de stationnement ; un arrêt de bus vide n’est pas un emplacement libre. En vous mettant à la place des usagers vulnérables et des services publics, vous prendrez naturellement les bonnes décisions.
Cette posture responsable se cultive à l’entraînement. En vous formant de manière structurée, vous gagnez en assurance, réduisez le risque d’infraction et améliorez votre conduite globale, notamment votre capacité à lire la route et à anticiper, que ce soit pour votre permis-auto, votre permis-moto ou votre permis-bateau.
La signalisation d’interdiction prime. Un panneau interdiction de stationner prohibe l’immobilisation prolongée du véhicule sur la section indiquée et dans les conditions précisées par les panonceaux. Le non-respect peut entraîner une amende, l’enlèvement et des frais de fourrière. Les interdictions générales sans panneau s’appliquent partout où le stationnement met en danger, gêne la circulation ou occupe un espace réservé.
Les marquages jaunes au sol ont valeur réglementaire et traduisent souvent la même interdiction. Les zones bleues exigent un disque de stationnement et une durée limitée. Les espaces réservés (PMR, bus, livraisons) ne sont jamais des échappatoires. En cas de doute, abstenez-vous de stationner et cherchez une alternative autorisée, ou accélérez votre montée en compétences via un stage-accelere ou un permis-accelere.
Pensez « forme et couleur » : bleu + bord rouge + barre = pas de stationnement ; bleu + bord rouge + croix = pas d’arrêt ni de stationnement. Ensuite, lisez « les petits rectangles » (les panonceaux) qui font la loi locale : quand, qui, où, combien de mètres. Enfin, scannez le sol : jaune = danger pour votre portefeuille ; bleu = durée limitée avec disque.
Appliquez la règle des trois G pour garder en tête l’essentiel : « Gêne, Gabarit, Garde-fous ». Gêne : est-ce que j’entrave quelqu’un ? Gabarit : est-ce que mon véhicule déborde sur un passage ? Garde-fous : ai-je un panneau, un panonceau ou un marquage qui autorise clairement ma position ? Si l’un manque, déplacez-vous.
Comprendre et respecter un panneau interdiction de stationner, c’est protéger votre sécurité, celle des autres et votre budget. En identifiant la différence entre arrêt et stationnement, en lisant les panonceaux, en repérant le marquage au sol et en connaissant les interdictions sans panneau, vous éliminez 90% des risques d’infraction. Avec une pédagogie orientée terrain et des entraînements ciblés, INRI’S Formations vous accompagne pour transformer ces règles en réflexes durables et réussir votre permis, du permis-auto au permis-moto, en toute confiance.
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