Tout savoir sur les points du code de la route en 2025 barème, solde, retraits et récupération, délais et stage. Protégez votre permis.

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Vous cherchez à sécuriser vos points-conduites et à éviter les mauvaises surprises en 2025 ? C’est une préoccupation légitime. Les règles évoluent, mais les points du code de la route restent faciles à maîtriser avec les bonnes informations. Dans cet article, découvrez comment comprendre le barème, suivre votre solde et récupérer vos points rapidement.
Le permis à points, en place depuis 1992 et ajusté régulièrement, repose sur un capital maximal de 12 points. Un conducteur confirmé dispose de 12 points ; en période probatoire, on débute à 6 points, qui augmentent par paliers en l’absence d’infractions. L’idée est d’encourager une conduite sûre et de sanctionner proportionnellement les comportements à risque.
Sans conduite accompagnée, la probatoire dure trois ans : 6 points au départ, puis 8 points après un an sans infraction, 10 points l’année suivante et 12 points à la fin de la troisième année. Avec l’AAC, la probatoire passe à deux ans : 6 → 9 → 12 points, toujours sous réserve d’un casier sans retrait. La réalisation d’un stage conforme au cadre légal permet une reconstitution partielle, sans jamais dépasser 12 points.
Le niveau de retrait dépend directement de la dangerosité du comportement. En 2025, comme auparavant, l’État cible davantage les conduites réellement dangereuses et simplifie le suivi via des services numériques officiels.
Le barème légal module le retrait selon la gravité : excès de vitesse, alcool, stupéfiants, non-respect des priorités, distraction au volant. La règle introduite en 2024 est confirmée : un dépassement inférieur à 5 km/h n’entraîne plus de retrait de points (amende maintenue).
Excès de 5 à moins de 20 km/h : −1 point. De 20 à moins de 30 : −2 points. De 30 à moins de 40 : −3 points. De 40 à moins de 50 : −4 points avec risque de suspension. À partir de 50 km/h au-dessus de la limite : −6 points, rétention immédiate et poursuites.
Alcool : dès 0,5 g/l (0,25 mg/l d’air), −6 points, amende, immobilisation possible et suspension. En probatoire, seuil de 0,2 g/l et −6 points avec stage de récupération obligatoire. Stupéfiants : −6 points et sanctions pénales.
Feu rouge ou stop : −4 points. Franchissement/roulage sur ligne continue : −3 points. Ceinture/casque non portés : −3 points. Téléphone en main : −3 points, avec aggravation en cas de cumul d’infractions.
Autres cas fréquents : distances de sécurité (−3), refus de priorité (−4), sens interdit (−4), dépassement dangereux (−3), détecteur de radar (−6). Le barème des infractions vise une sévérité proportionnée au risque.
Les conducteurs « A » bénéficient d’un cadre plus strict pour ancrer de bons réflexes : 6 points au départ, vitesses spécifiques, alcoolémie limitée à 0,2 g/l. Une infraction avec −3 points ou plus déclenche la 48N et l’obligation d’un stage de sensibilisation sous quatre mois.
Ce stage est à la fois pédagogique et correctif : récupération jusqu’à 4 points (dans la limite du plafond probatoire) et parfois remboursement partiel de l’amende. Le cumul d’infractions peut faire chuter à 0 point, avec invalidation administrative. D’où l’intérêt d’un suivi rigoureux du solde de points au début de l’autonomie.
Le retrait n’intervient pas au contrôle, mais quand l’infraction devient définitive : paiement de l’amende (forfaitaire ou minorée), émission du titre exécutoire de l’amende majorée en cas de non-paiement, ou décision judiciaire définitive en cas de contestation. Un décalage de plusieurs semaines à quelques mois est fréquent entre la verbalisation et le retrait de points effectif.
L’administration envoie des courriers clés : 48N pour la probatoire (−3 points ou plus), 48M à 6 points ou moins, 48SI en cas d’invalidation (solde nul). Chaque lettre implique des actions à engager rapidement.
Consultez votre solde de points via Télépoints avec FranceConnect : capital, retraits et échéances y sont visibles en quelques minutes. C’est l’outil idéal pour décider d’un éventuel stage de récupération avant un long trajet ou après une période d’infractions.
Le relevé intégral d’information (RII), retraçant tout l’historique, s’obtient via l’ANTS ou par voie dématérialisée auprès de la préfecture. C’est le document de référence pour contester, engager une procédure ou se réinscrire après invalidation. Utilisez exclusivement les portails officiels.
La reconstitution naturelle s’applique si vous ne commettez pas de nouvelle infraction avec retrait pendant le délai. Perte d’1 point : récupération automatique au bout de 6 mois à compter de la date de l’infraction devenue définitive.
Sinon, deux paliers : 2 ans sans nouvelle infraction si la dernière était de 1re, 2e ou 3e classe ; 3 ans si 4e ou 5e classe ou délit. L’absence d’infraction avec retrait pendant le délai est la condition déterminante.
La règle des 10 ans : les retraits consécutifs à des contraventions (hors délits) sont effacés au bout de 10 ans, même si d’autres infractions sont intervenues entre-temps, à condition qu’aucune invalidation par 48SI n’ait eu lieu.
Le stage de récupération dure 2 jours consécutifs, sans examen final, et peut rendre jusqu’à 4 points (plafond 12). Un stage volontaire est pris en compte une fois par an (12 mois et 1 jour minimum entre deux stages). Le contenu traite vitesse, alcool, stupéfiants, vigilance, distances de sécurité, analyse d’accidents, etc.
En probatoire, la 48N (perte d’au moins 3 points) impose un stage sous 4 mois, parfois avec remboursement de l’amende. Pour les conducteurs confirmés, la 48M (≤ 6 points) incite à agir avant le zéro.
Les centres agréés restent la référence en 2025. Anticipez : un stage réalisé avant de nouveaux retraits peut éviter l’invalidation. Le stage ne supprime ni l’infraction ni l’amende ; il reconstitue uniquement les points. Vérifiez l’enregistrement effectif sous quelques semaines.
La 48SI signifie une invalidation pour solde de points nul. Restituez le titre et respectez l’interdiction de conduire (6 mois la première fois, 1 an en cas de récidive sous 5 ans). Pour récupérer un permis : visite médicale, test psychotechnique, puis réinscription aux examens.
Si votre permis avait 3 ans ou plus : seul l’ETG (le Code) est à repasser. Moins de 3 ans : Code + pratique. Un accompagnement structuré réduit les délais et aide à retrouver des créneaux rapidement.
INRI’S Formations propose des parcours intensifs pour renouer vite avec la route, y compris des préparations accélérées au théorique et, si besoin, à la conduite. Plateforme en ligne, entraînements ciblés et planification optimisée transforment l’invalidation en rebond durable.
La majorité des retraits proviennent d’excès modérés, clignotants oubliés, franchissements de ligne, distraction au smartphone et distances insuffisantes en trafic dense. Une conduite préventive, avec anticipation et marges de sécurité, réduit ces expositions. Utilisez régulateur/limiteur, levez le pied près des zones 30, éloignez le téléphone de votre portée.
La nuit ou sous la pluie, augmentez vos marges : distances d’arrêt plus longues, marquages moins visibles. En ville, attention aux piétons et deux-roues, surtout aux intersections. Radars pédagogiques et panneaux d’annonce de contrôle signalent des zones sensibles : autant d’occasions d’ajuster votre vitesse.
La fatigue favorise micro-somnolences, écarts de trajectoire et excès involontaires : pause toutes les deux heures, hydratation, aération et planification par étapes s’imposent. Les aides de vigilance aident mais ne remplacent pas la responsabilité du conducteur.
Les gros rouleurs professionnels cumulent vite de « petites » infractions. Une politique flotte rappelant les règles essentielles et des alertes de vitesse embarquées protègent le solde de points des équipes. Les employeurs gagnent à promouvoir des remises à niveau sur distances de sécurité, angles morts, zones 30 et conduite apaisée.
Indépendants et itinérants : un stage volontaire planifié avant une période chargée peut servir d’assurance. L’idée est de reconstituer une marge avant la saison des chantiers, livraisons ou tournées, pour éviter une immobilisation au pire moment.
Si vous contestez, aucun point n’est retiré tant que la procédure n’est pas close. En revanche, l’amende forfaitaire majorée rend la décision exécutoire et les points tombent. Respectez les délais, conservez les preuves (tickets, attestations, usurpation d’identité), et, en cas d’usurpation de plaques, déposez plainte et demandez un changement d’immatriculation.
Plusieurs infractions le même jour : les retraits se cumulent (sauf exceptions doctrinales). Pour une même infraction, on ne peut dépasser le maximum légal. En cas de doute, le RII fait foi. Un conseil juridique peut aider à arbitrer entre paiement, contestation ou requalification.
Le coût ne se limite pas à l’amende. Un retrait de points récurrent peut augmenter votre prime d’assurance, limiter votre mobilité professionnelle et générer des frais (stage, réinscription, immobilisation). À l’inverse, conduite apaisée, régulateur et stage préventif sont rentables, financièrement et en sécurité.
Technologies utiles : navigation à jour, alertes contextuelles de vitesse, affichage tête haute, mode « ne pas déranger » sur smartphone. Ce sont des aides, pas des garanties : anticipez, gardez de la distance et respectez les limitations, surtout dans les zones 30 de plus en plus nombreuses.
INRI’S Formations, 1er réseau d’auto-moto-écoles spécialisés dans les stages permis-accelere, accompagne depuis plus de 20 ans les candidats. Nos sessions stage-accelere et notre maillage national facilitent l’accès aux examens. Nous préparons au code-voiture et au permis-auto, au code-moto et au permis-moto, ainsi qu’au code-bateau et au permis-bateau. Une evaluation-de-depart permet de démarrer au bon niveau et de progresser plus vite. Nos formations sont compatibles avec des solutions de financement.
En cas d’invalidation, nos cursus express pour repasser l’ETG et, le cas échéant, l’épreuve pratique, fluidifient le retour sur la route. Plateforme en ligne, entraînements ciblés et planification intelligente : l’objectif est de transformer l’obligation en tremplin et de consolider des pratiques qui préservent votre capital de points.
En 2025, les retraits s’alignent sur la gravité : alcool, stupéfiants, très grands excès et franchissements dangereux restent les causes majeures de pertes. Les excès de moins de 5 km/h n’emportent plus de retrait (amende maintenue). En probatoire, chaque erreur pèse davantage : le stage 48N est à prendre très au sérieux.
Réflexe sécurité : consultez Télépoints avec FranceConnect, vérifiez la marge avant un départ ou une période chargée et planifiez un stage de récupération si besoin. À 6 points ou moins (48M), anticipez : quelques semaines d’avance évitent souvent une invalidation.
Activez le limiteur en ville pour éviter les excès involontaires. « Lisez » la route : transitions de vitesse, marquages, écoles, zones accidentogènes. Élargissez vos marges dès que visibilité ou adhérence se dégradent. Anticipez les feux, coupez les notifications et éloignez le téléphone pendant la conduite.
Organisez vos trajets : partir dix minutes plus tôt diminue l’urgence et la tentation d’enfreindre. En zone 30, acceptez la lenteur. Sur autoroute, 2 secondes de distance minimum, davantage sous la pluie. Après une perte récente, adoptez une conduite « de convalescence » pour éviter le cumul d’infractions.
Sous 6 points, vigilance maximale : consultez votre relevé, identifiez les échéances et programmez un stage de récupération sans attendre. Conduite stricte : pas d’excès, pas de téléphone en main, priorités respectées, pauses sur longs trajets. Si une convocation judiciaire arrive, renseignez-vous sur les alternatives (CRPC, aménagements) auprès d’un conseil compétent.
En cas de 48SI, respectez les délais et les démarches médicales/psychotechniques. Reprenez l’ETG rapidement, idéalement avec entraînements intensifs et examens blancs. Si la pratique est à repasser, concentrez un volume de leçons sur quelques jours pour un effet immersion plus efficace.
Le meilleur moyen de préserver vos points du code de la route reste une connaissance solide et révisée régulièrement. Les thèmes de l’ETG — signalisation, circulation, usagers vulnérables, environnement, premiers secours, mécanique, écomobilité — sont des leviers concrets au quotidien.
Conduire en 2025, c’est intégrer l’évolution des infrastructures : zones 30 généralisées, voies réservées, radars de tronçon, pistes cyclables prioritaires, ZFE. Une lecture attentive de la route et des panneaux contextuels limite les retraits inattendus. Pédagogie moderne, outils numériques et pratique régulière sont la meilleure assurance pour votre capital.
Les points du code de la route sont votre marge de sécurité administrative. En 2025, la règle est claire : comprendre le barème des infractions, suivre son solde de points en temps réel, agir vite avec un stage de récupération si nécessaire et conduire avec anticipation. En cas de coup dur, utilisez les recours, planifiez votre remise à niveau et, si besoin, repartez en mode accéléré pour l’ETG ou la conduite. Avec un accompagnement structuré, vous gagnez du temps, consolidez vos acquis et protégez durablement votre permis.
4,7/5 ☆ sur des milliers d’avis vérifiés Google
Initiation au pilotage moto Sur circuit. Motos Honda hornet toutes neuves Julien le formateur pilotage sur circuit très pédagogue cela ma permis de me rassurer pour les trajectoire dans les virage A refaire Marie Thérèse
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