Différences code moto voiture : règles, épreuves, coûts

Vous hésitez entre la moto et la voiture et cherchez à comprendre les différences code moto voiture avant de vous lancer ? C’est une question fréquente quand on veut optimiser son temps et son budget. Les deux examens partagent des bases communes du code, mais leurs objectifs et contenus divergent. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment distinguer clairement règles, épreuves et coûts pour faire le bon choix.

La différence entre le code moto et le code voiture

Depuis 2020, la France a séparé l’épreuve théorique générale (ETG, dite « code-voiture ») et l’épreuve théorique moto (ETM, dite « code-moto »). Concrètement, le code voiture valide des savoirs applicables à tous les conducteurs d’auto, alors que le code moto évalue des compétences spécifiques aux deux-roues motorisés. Les deux examens se passent dans les mêmes centres privés agréés et sous un format QCM de 40 questions, mais leurs banques de questions, leurs objectifs pédagogiques et leur angle « sécurité » ne sont pas identiques. Pour information, il existe aussi un examen théorique spécifique au nautisme, le code-bateau, avec ses propres règles.

Le code moto (ETM) insiste sur la vulnérabilité du motard, la lecture dynamique de la route, la trajectoire de sécurité, le freinage en urgence, l’évitement, la gestion de l’adhérence, les équipements de protection individuelle (EPI) et l’anticipation des comportements des autres usagers. Le code voiture (ETG) couvre plus largement les règles de circulation, la signalisation, la conduite économique et la cohabitation entre tous les usagers (piétons, cyclistes, motards, poids lourds…), avec un focus sur les situations typiques de l’automobiliste.

Autre différence majeure : l’un ne remplace pas l’autre. Si vous préparez un permis A1 ou A2, vous devez réussir l’ETM même si vous avez déjà réussi l’ETG pour le permis B. À l’inverse, réussir l’ETM ne vous dispense pas de l’ETG pour le permis B. La passerelle n’existe pas, car les risques, la dynamique et l’ergonomie de conduite diffèrent sensiblement entre moto et voiture.

Les points communs entre le code moto et le code voiture

Les deux examens ont une architecture comparable. Vous répondez à 40 questions à choix multiple, parfois illustrées par des images ou des courtes vidéos. Vous devez obtenir au moins 35 bonnes réponses pour être admis. La durée moyenne de la session est d’environ 30 minutes. Les convocations, les règles d’identification et de sécurité (pièces d’identité, interdiction des téléphones, consignes dans la salle) sont homogènes entre ETM et ETG.

Les thématiques communes existent aussi : signalisation, priorités, intersections, vitesse selon la signalisation, distances de sécurité, partage de la route avec les usagers vulnérables, alcool et stupéfiants, visibilité et éclairage, environnement, premiers secours routiers. Ces tronc communs garantissent que tous les conducteurs maîtrisent la base du Code de la route qui assure la fluidité et la sécurité collectives.

Ce que change vraiment le code moto

Le code moto exige une compréhension fine des risques propres aux deux-roues. Il vous fera travailler des thèmes rarement approfondis en auto : positionnement sur la chaussée selon le rayon de courbe, lecture des zones de danger au sommet d’une côte ou en sortie de virage, influence du revêtement (peinture, gravillons, pavés, plaques d’égout, rails), freinage combiné (avant/arrière), transfert de masse, contre-braquage, angles morts des poids lourds, et conduite par vent latéral. Vous serez interrogé sur l’équipement obligatoire (casque homologué, gants CE), l’intérêt d’un blouson, d’un pantalon renforcé, de bottes et d’un airbag moto, ainsi que sur la visibilité (bandes rétro-réfléchissantes, allumage des feux).

La pédagogie du code moto insiste sur l’anticipation active. Le conducteur de moto doit lire loin, gérer sa vitesse bien avant l’obstacle, avec des marges de sécurité accrues. Les questions reflètent cette culture de la prévention et de la gestion des risques, en lien direct avec les statistiques d’accidentologie. Pour réussir, vous devrez maîtriser l’approche « voir – être vu – prévoir – agir », socle d’une conduite moto responsable.

Des règles de circulation qui ne sont pas les mêmes à moto

La base du Code de la route s’applique à tous, mais la moto obéit à certaines spécificités. D’abord, l’équipement : le casque homologué et les gants certifiés sont obligatoires, avec sanctions en cas de défaut. Le transport de passager suppose un véhicule adapté (selle, repose-pieds, équipements) et l’âge minimal du passager varie selon la cylindrée. Vous devez également disposer d’un gilet haute visibilité à portée de main pour un arrêt d’urgence. La visibilité est un fil rouge : feux allumés en permanence, entretien du système optique, et placement sur la voie pour « prendre la lumière » des autres usagers.

Ensuite, le placement sur la chaussée diffère. Un motard ne roule pas au milieu de la voie par hasard : il se décale pour optimiser visibilité et échappatoires, en privilégiant la trajectoire de sécurité. L’inter-file (circulation entre deux files) demeure, en 2025, limitée à des expérimentations dans certains départements et sous conditions strictes. Hors zones et conditions autorisées, elle reste interdite. Les dépassements, l’angle d’approche, la gestion des distances et l’obligation d’indiquer ses intentions (clignotants, positionnement) sont particulièrement surveillés.

Enfin, les règles liées au vent, à la pluie et au froid prennent un relief particulier à moto. L’adhérence varie vite, la distance de freinage s’allonge, les pneus nécessitent une montée en température, et l’équipement anti-pluie a des impacts ergonomiques. Le code moto intègre cette dimension « météo », ce qui n’est pas le cas au même niveau d’exigence pour l’automobiliste.

Comment se déroule l’épreuve du code de la route moto ?

L’ETM se déroule dans un centre privé agréé (La Poste, SGS, Pearson VUE, Code’nGo, etc.). Après convocation et vérification d’identité, vous êtes installé avec un casque audio ou un dispositif de diffusion. Les questions s’enchaînent, parfois en vidéo. Les consignes précisent le nombre de réponses correctes possibles (une ou plusieurs). Vous validez chaque question, sans retour en arrière une fois la réponse enregistrée. Le barème est simple : 1 point par bonne réponse, seuil de réussite 35/40.

Le résultat arrive par email généralement sous 48 heures. En cas de réussite, votre ETM est valable 5 ans pour vous présenter à l’épreuve pratique A1 ou A2. En cas d’échec, vous pouvez vous réinscrire dès que vous le souhaitez, sous réserve de disponibilités et du paiement de la redevance d’examen. Côté préparation, un entraînement intensif avec des séries chronométrées et des corrections détaillées permet de reproduire les conditions réelles et d’identifier vos axes de progression.

Comment se déroule l’épreuve du code de la route voiture ?

L’ETG reprend le même cadre logistique que l’ETM. La différence réside dans la nature des questions: davantage de situations routières génériques (ronds-points, priorités, limitations, signalisation directionnelle), de cohabitation avec tous les usagers, de conduite économique, d’éco-gestes et d’éléments propres à l’auto (chargement, passagers, ceintures et dispositifs de retenue, aides à la conduite). Le seuil de réussite reste 35/40 et la validité 5 ans pour se présenter aux épreuves pratiques auto, comme pour un futur permis-auto.

Quelles sont les démarches pour s’inscrire à l’examen du code (moto ou voiture) ?

La première étape consiste à obtenir un numéro NEPH via le site de l’ANTS. Ce numéro unique identifie votre dossier conducteur. Vous choisissez ensuite votre opérateur d’épreuve, votre créneau et vous réglez les frais de session. Le jour J, munissez-vous d’une pièce d’identité en cours de validité et de votre convocation. Si vous êtes en formation avec une auto-école, celle-ci peut effectuer les démarches pour vous, centraliser votre planning et vous proposer des créneaux prioritaires, notamment dans le cadre d’une formation en permis-accelere.

Code moto, code voiture, pourquoi sont-ils différents ?

La séparation répond à un objectif de sécurité routière. Le risque d’accident grave est structurellement plus élevé à moto, en raison de l’absence de carrosserie, de la sensibilité à l’adhérence et de la faible visibilité des deux-roues dans le trafic. Le législateur a donc créé un examen dédié, l’ETM, pour s’assurer que chaque futur motard possède un socle de compétences théoriques aligné avec ses risques réels. Les constructeurs ont aussi multiplié les aides (ABS généralisé, antipatinage), mais l’essentiel reste la formation, l’anticipation et le comportement. D’où un examen théorique moto distinct, plus ciblé et plus exigeant sur des notions techniques.

Contenus pédagogiques : thèmes clés ETM vs ETG

En ETM, attendez-vous à des questions sur la maintenance basique et les vérifications (pression, usure pneus, tension de chaîne, niveaux), sur l’influence de la charge et du passager, sur le duo et la communication pilote/passager, sur l’usage du frein moteur, la prise d’information dans les rétroviseurs, la gestion des angles morts en remontée de file et l’approche des carrefours. Les vidéos mettent souvent en scène des trajectoires, des surprises et des scénarios d’adhérence précaire.

En ETG, l’accent est mis sur la planification des trajets, les régulateurs/limiteurs, la lecture des panneaux, les distances, l’insertion sur autoroute, le transport d’enfants, la consommation, la prévention de la somnolence, et la cohabitation avec les nouveaux modes doux (trottinettes, vélos, ZFE, zones de rencontre). Le caractère « multi-usagers » est plus marqué, car l’auto interagit avec une palette très large d’usagers dans des contextes urbains, périurbains et routiers.

Durée, barème, validité : récapitulatif

Dans les deux cas, l’examen comprend 40 questions, un seuil de 35 bonnes réponses, et une durée moyenne d’une demi-heure. La validité est de 5 ans pour se présenter à l’épreuve pratique correspondante. Si vous validez l’ETM A1 et passez ensuite l’A2 dans cette fenêtre, vous n’aurez pas à repasser la théorie. À l’inverse, l’ETM ne remplace pas l’ETG si vous visez plus tard un permis B : il faudra réussir l’examen dédié.

Coûts de l’examen et du matériel pédagogique

Le tarif réglementé d’une session d’examen (ETM ou ETG) auprès d’un opérateur agréé est de l’ordre de 30 € TTC par tentative en 2025. À cela s’ajoutent les coûts de préparation (accès à une plateforme d’entraînement, sessions intensives, accompagnement). Les offres varient selon les écoles et la profondeur de service (coaching, analyse de résultats, simulateurs d’examen, classes virtuelles, stages). Si vous optez pour une formation condensée, la valeur vient de la densité pédagogique, de la disponibilité des créneaux et de la qualité du suivi individuel, qui maximisent les chances d’atteindre rapidement le niveau demandé.

Pour l’achat de matériel, comptez une petite enveloppe si vous investissez dans des ressources papier, des applications premium ou, pour la moto, des équipements EPI de qualité qui, même non tous obligatoires, améliorent nettement votre sécurité. Pensez « coût global de réussite » plutôt que « prix unitaire » : réussir du premier coup évite de multiplier les sessions payantes et d’allonger les délais.

Financements et aides possibles

Plusieurs dispositifs peuvent réduire votre reste à charge. Le financement par le CPF couvre des formations au permis B et, selon votre projet professionnel, certaines préparations permis moto. Renseignez-vous sur l’éligibilité exacte de l’offre choisie. D’autres aides existent : « permis à 1 € par jour » pour les 15-25 ans, aides régionales, dispositifs locaux, ou soutien de Pôle emploi si le permis est nécessaire à l’insertion professionnelle. Chez INRI’S Formations, nos équipes vous guident pour mobiliser le bon dispositif et optimiser votre parcours. À noter : si vous devez récupérer des unités, renseignez-vous aussi sur nos solutions dédiées aux points-conduites.

Sous quelles conditions pouvez-vous circuler à moto ?

Le droit de conduire une moto dépend de la catégorie de permis visée, de votre âge et de votre expérience. Le permis A1 concerne les 125 cm³ et s’ouvre dès 16 ans. Le permis A2, accessible dès 18 ans, limite la puissance à 35 kW pendant deux ans. Le permis A complet s’obtient ensuite, notamment via une formation passerelle. Pour chaque catégorie, la réussite de l’ETM, la formation pratique et les obligations administratives s’imposent. Les conducteurs soumis au permis probatoire appliquent les règles de vitesse associées et l’apposition du disque « A » à l’arrière du véhicule motorisé. Pour un parcours structuré et rapide vers votre permis-moto, anticipez un planning adapté à votre disponibilité.

Si vous détenez déjà un permis B depuis au moins deux ans, une formation de 7 heures permet de conduire une 125 cm³ ou un 3-roues de certaines catégories, sous conditions. Cette option ne nécessite pas l’ETM, mais ne concerne pas toutes les cylindrées et configurations. Restez attentif aux assurances : le type de véhicule, l’usage et votre historique de conduite influencent votre contrat et vos garanties.

Quelles sont les règles de stationnement et d’infrastructure pour la moto ?

Le stationnement des deux-roues obéit aux règles locales. Beaucoup de villes proposent des emplacements dédiés, parfois gratuits, afin de fluidifier l’espace public. Le stationnement sur trottoir est strictement encadré et souvent interdit : il expose à des sanctions et peut gêner les personnes à mobilité réduite. Anticipez les points d’attache sécurisés et pensez à l’antivol homologué pour limiter le risque de vol. L’ETM vous interroge sur ces dimensions pratiques, intégrées à la sécurité globale du motard.

Sécurité moto : limiter les risques dès la théorie

La meilleure sécurité commence avec un bon diagnostic. Le code moto vous apprend à repérer précocement les indicateurs de danger : angle mort d’un poids lourd, clignotant ambigu, piéton masqué par un véhicule à l’arrêt, chaussée souillée, entrée de rond-point saturée, ou véhicule qui chasse sur route mouillée. Vous verrez comment créer des marges en agissant sur votre vitesse, votre trajectoire et vos distances. L’équipement est un dernier filet : airbag, dorsale, gants, bottes, blouson renforcé protègent, mais ne remplacent pas l’anticipation.

Adoptez une routine « avant de partir » : pression et état des pneus, niveaux, éclairage, réglage des rétroviseurs, vérification de la chaîne, ajustement des EPI. Cette discipline, alliée à une formation pratique de qualité, est la clé d’une conduite fluide, plaisante et durable. Le code moto n’est pas qu’un examen ; c’est un mode de pensée qui, une fois intégré, réduit significativement l’exposition au risque.

Erreurs fréquentes qui coûtent des points à l’ETM et à l’ETG

Beaucoup d’échecs tiennent à des erreurs évitables : lecture trop rapide des consignes, confusion quand plusieurs réponses sont possibles, méconnaissance des panneaux moins courants, sous-estimation des distances de sécurité, ou focalisation sur l’image au lieu du contexte global. En ETM, les pièges typiques concernent la trajectoire en virage, le freinage en appui, l’adhérence sur peinture ou gravillons, et l’anticipation aux intersections. En ETG, on relève souvent des erreurs sur les priorités, les insertions et la signalisation directionnelle.

La solution est méthodique : s’entraîner en conditions réelles, chronométrées, avec corrections détaillées ; alterner séries globales et séries thématiques ; analyser ses erreurs à froid ; renforcer les chapitres faibles ; et se ménager une dernière révision la veille, sans surcharge. Une stratégie de progression mesurée vaut mieux que des marathons de dernière minute.

Combien de temps faut-il pour réussir le code moto ou le code voiture ?

Tout dépend de votre disponibilité, de vos bases et de la qualité de l’accompagnement. En formation classique, comptez de 2 à 6 semaines d’entraînement régulier pour atteindre 35/40 avec une bonne marge. En stage-accelere, vous pouvez condenser l’apprentissage sur quelques jours, sous réserve d’un travail personnel concentré et d’une restitution rapide à l’examen. L’essentiel est d’atteindre un niveau stable, pas seulement un « coup de chance ». Une moyenne régulière de 36-38 en séries variées, avec peu d’erreurs répétitives, est un bon indicateur de maturité.

Pourquoi choisir une formation accélérée chez INRI’S Formations

INRI’S Formations est le 1er réseau d’auto-moto-écoles spécialisées dans les stages permis accélérés en France. Forts de plus de 20 ans d’expérience, de 380 points conduite et de 175 000 utilisateurs, nous proposons des parcours rapides, efficaces et personnalisés. Nos moniteurs diplômés d’État s’appuient sur une pédagogie structurée et des ressources en ligne pour vous faire progresser vite et bien. Résultat : un taux de réussite élevé, avec 97 % au code après stage, grâce à un accompagnement intensif et à la qualité des contenus.

Notre plateforme en ligne vous permet de réserver, vous entraîner et suivre vos performances en temps réel. Nous adaptons le rythme à votre profil, avec des créneaux privilégiés pour les examens et des formations compatibles avec une activité professionnelle. Côté budget, nos équipes vous aident à mobiliser les aides et le CPF. Pour d’autres voies de mobilité, notre réseau propose aussi le permis-bateau.

Voiture ou moto : comment décider selon votre profil

Si votre priorité est la polyvalence, le transport de passagers et des trajets variés par tous les temps, le permis B s’impose souvent comme premier levier, via un permis-auto. Si, au contraire, vous recherchez l’agilité en ville, un coût d’usage maîtrisé et une passion pour la conduite « active », la voie moto est pertinente, à condition d’accepter sa rigueur sécuritaire. Beaucoup font les deux dans le temps : code voiture pour la base, puis code moto pour élargir leurs mobilités. Et si votre horizon est nautique, pensez au code-bateau avant la pratique.

Votre localisation compte aussi : qualité des infrastructures, météo, offre de stationnement, existence de voies dédiées aux deux-roues, ou complexes d’échanges routiers. Évaluez objectivement votre usage quotidien et vos contraintes. Chez INRI’S Formations, nous vous aidons à poser un diagnostic et à bâtir un parcours cohérent, qu’il s’agisse d’un A1/A2 rapide, d’un B optimisé, ou des deux.

Préparer efficacement l’ETM et l’ETG : méthode gagnante

Une préparation performante s’appuie sur trois piliers. D’abord, la compréhension des règles, avec des cours clairs, des fiches de synthèse et des vidéos de qualité. Ensuite, la pratique intensive par séries et examens blancs, pour automatiser la lecture des situations. Enfin, un feedback précis, idéalement avec un coach, pour transformer chaque erreur en progrès. Ajoutez à cela une hygiène de vie correcte la veille de l’examen (sommeil, hydratation, gestion du stress), et vous réunissez tous les paramètres du succès.

Pour la moto, complétez vos révisions par des contenus spécifiques : vidéos de trajectoires, tutos « regard loin – point de corde – remise des gaz », rappels sur le freinage combiné et la gestion de l’adhérence, et check-lists d’EPI. Pour l’auto, renforcez les priorités, la signalisation directionnelle, les distances et l’anticipation en milieu urbain. Dans les deux cas, ne laissez aucun thème « dans l’ombre » : une seule série peut explorer un panneau rare ou une situation peu vue, et faire la différence.

Cas particuliers et équivalences à connaître

Si vous avez réussi l’ETG pour le permis B, vous devez tout de même passer l’ETM pour un permis A1/A2. L’inverse est vrai : l’ETM ne vaut pas pour un permis B. En revanche, une réussite récente peut être « réutilisée » pour une montée en puissance dans la même famille, par exemple de A1 vers A2 si la validité n’est pas expirée. Autre cas courant : les titulaires du permis B qui suivent la formation 125 cm³ de 7 heures et souhaitent, plus tard, passer un A2. Ils devront alors valider l’ETM.

Enfin, surveillez les évolutions réglementaires en 2025, notamment les expérimentations de circulation inter-files et les ajustements locaux des vitesses hors agglomération. Le principe directeur reste constant : respecter la signalisation en vigueur et se tenir informé des arrêtés préfectoraux applicables à votre zone.

Différences de coûts au-delà du code : pratique et équipement

Le coût global du permis ne se limite pas à la théorie. En moto, les heures de plateau et de circulation, l’accès à une piste privée, l’assurance des véhicules-école, et la disponibilité d’un parc adapté aux gabarits et aux niveaux influencent le tarif. En voiture, la logistique urbaine, les simulateurs et la rareté des créneaux d’examen locaux pèsent aussi. Le nombre d’heures nécessaires dépendra de votre aisance et de l’exigence de l’école. L’accéléré apporte un gain de temps qui, dans bien des cas, compense largement son surcoût apparent par la réduction de l’entre-deux et du risque d’oubli.

À moto, prévoyez par ailleurs un budget EPI. Même si seuls le casque et les gants sont juridiquement obligatoires, nous recommandons un équipement complet homologué. Mieux protégé, vous conduisez plus sereinement, ce qui se reflète sur vos performances en formation pratique. En automobile, l’investissement matériel initial est moindre, mais vous devrez intégrer à terme l’assurance, l’entretien et, selon votre usage, des frais de stationnement.

Différences code moto voiture : synthèse pratique

Si l’on devait retenir l’essentiel, on dirait que le code moto est un examen de « lecture du risque » à deux-roues, orienté technique, adhérence et anticipation, tandis que le code voiture vérifie la maîtrise des règles générales de la circulation et la cohabitation multi-usagers. Les formats sont similaires (40 questions, 35 pour réussir, validité 5 ans, ~30 minutes), les procédures d’inscription aussi (NEPH, opérateur agréé, convocation), et le tarif d’examen comparable. La différence se joue sur le contenu, le regard porté sur la route, et la finalité pédagogique.

Choisir l’un ou l’autre dépend de votre projet de mobilité. Beaucoup de candidats optent pour des parcours combinés, en commençant par le permis B pour la polyvalence, puis en ajoutant le permis A2. Dans tous les cas, un accompagnement expert, une préparation intensive et une stratégie claire restent vos meilleurs alliés pour réussir vite et bien.

Comment INRI’S optimise votre réussite en 2025

Chez INRI’S Formations, notre approche repose sur l’efficacité et la personnalisation. Nous commençons par une evaluation-de-depart de votre niveau et de votre profil, afin d’adapter le volume d’entraînement, le choix des supports et le planning. Notre écosystème digital centralise vos révisions, vos séries notées et vos courbes de progression. En présentiel, les sessions intensives se concentrent sur les points durs, les pièges récurrents et les automatismes de lecture. Cette combinaison présentiel/online explique nos résultats, avec 97 % de réussite au code après stage.

Notre réseau national facilite les créneaux d’examen, surtout en accéléré, avec des parcours en stage-accelere pensés pour tenir vos délais. Nous mettons en regard vos objectifs de délai et votre marge de sécurité, pour vous positionner au moment optimal, quand la réussite est la plus probable. Enfin, nous vous accompagnons sur les démarches administratives (NEPH, inscription opérateur), les aides et la suite du parcours (plateau/circulation moto, conduite auto), pour que vous restiez concentré sur l’essentiel : apprendre et réussir.

Conclusion

Les différences code moto voiture tiennent moins au format qu’à la philosophie de l’épreuve. L’ETM cible la maîtrise du risque à deux-roues, l’ETG valide la compréhension des règles générales de la route. Dans les deux cas, une préparation structurée et un encadrement rigoureux font la différence. En 2025, avec INRI’S Formations, vous bénéficiez d’une pédagogie éprouvée, de délais optimisés et d’un accompagnement sur-mesure pour transformer votre projet de permis en réussite durable.