Pour réussir un stationnement sans stress, suivez 5 étapes fiables, repères clairs et conseils de moniteur pour être prêt le jour J.
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Envie de réussir un stationnement sans stress, à chaque fois, et partout ? C’est possible, avec une méthode claire et répétable. Les bons gestes, appliqués dans le bon ordre, font toute la différence. Dans cet article, nous allons voir ensemble de quelle façon une méthode en 5 étapes vous permet d’être précis, rapide et en sécurité, à l’examen comme au quotidien.
Se garer n’est plus une formalité. Les places sont plus étroites, les rues plus denses et les véhicules souvent plus larges. Maîtriser le stationnement, c’est réduire le stress, éviter les accrochages coûteux, gagner du temps et démontrer une conduite responsable. À l’examen, près d’un candidat sur deux perd des points sur l’observation, la précision ou la gestion de la vitesse lors d’une manœuvre. Savoir placer la voiture, utiliser ses repères et intégrer un contrôle visuel efficace fait toute la différence.
En conduite quotidienne, la qualité d’un stationnement conditionne votre sécurité et celle des autres. Un mauvais angle de fin de manœuvre peut masquer un piéton, un choc de pare-chocs peut vous coûter cher, une roue frottée au trottoir peut endommager le pneu. S’approprier la logique du point de braquage, l’art du contre-braquage et la finesse de la marche arrière permet d’anticiper et d’agir sereinement. C’est précisément l’objectif de la méthode en 5 étapes présentée ci-dessous.
Étape 1 — Observer et préparer. Avant toute manœuvre, informez, observez, décidez. Informez en mettant le clignotant dans la bonne direction. Observez avec une séquence complète : rétroviseur intérieur, rétroviseur du côté de la manœuvre, rétroviseur opposé, puis vérification des angles morts par un regard direct. Décidez en choisissant une place adaptée à la taille de votre véhicule, avec un dégagement suffisant pour entrer et sortir. Pour un apprentissage structuré, commencez par une évaluation de départ afin d’objectiver votre niveau. Réduisez immédiatement votre vitesse au pas, activez si besoin l’essuie-glace en cas de pluie et désembuez les vitres pour maximiser la visibilité.
Étape 2 — Positionner le véhicule de départ. Votre placement initial conditionne 80 % de la réussite. Pour un créneau, alignez votre voiture parallèlement au véhicule de référence, à 50–80 cm de distance, pare-chocs arrière à hauteur similaire. Pour un stationnement en bataille ou en épi, placez-vous à environ un demi-véhicule plus loin que l’emplacement visé, bord extérieur de votre voiture à environ une largeur de porte de la ligne de marquage. Ce positionnement offre l’angle idéal pour engager la voiture sans excès de braquage ni corrections multiples.
Étape 3 — Manœuvrer lentement, avec des repères stables. Adoptez une vitesse d’escargot. En boîte manuelle, contrôlez l’allure avec l’embrayage et un léger freinage. En boîte automatique, tenez le véhicule au frein avec une pression progressive. Utilisez des repères visuels simples : quand l’arrière du véhicule de devant apparaît dans votre vitre arrière à un point donné, braquez; lorsque votre rétroviseur s’aligne avec le coin de la place, redressez. La clé : ne jamais tourner les roues quand la voiture est à l’arrêt et toujours engager le volant progressivement.
Étape 4 — Ajuster et sécuriser. Une fois entré, redressez les roues pour éviter d’exercer une contrainte sur les pneumatiques et pour pouvoir repartir facilement. Laissez une marge raisonnable devant et derrière, ajustez votre latéral pour être centré entre les lignes. Validez visuellement la position en surveillant les distances avec les rétroviseurs et par un coup d’œil rapide aux alentours. Si nécessaire, effectuez un léger contre-braquage et un second mouvement de correction. Mieux vaut deux petits mouvements lents qu’un grand à risque.
Étape 5 — Immobiliser et quitter en sécurité. Coupez le moteur une fois la voiture parfaitement stable et droite. Engagez la première vitesse (ou P en automatique) et le frein de stationnement. Orientez les roues droites afin de faciliter la sortie. Avant d’ouvrir la porte, regardez systématiquement dans votre rétroviseur gauche puis dans l’angle mort pour éviter de surprendre un cycliste ou un trottinettiste. Verrouillez et emportez vos objets de valeur.
Les repères constituent une base fiable, à adapter à votre gabarit et à votre siège. Notez-les, répétez-les, puis affinez-les. En créneau, gardez en tête trois moments clés. Premier repère : alignement. Votre pare-chocs arrière à hauteur de celui du véhicule de devant, véhicule parallèle, 50–80 cm de distance. Deuxième repère : début de braquage. Reculez jusqu’à ce que le coin arrière du véhicule de devant apparaisse au milieu de votre vitre arrière droite; braquez alors à fond vers le trottoir. Troisième repère : contre-braquage. Dès que votre roue arrière intérieure s’approche de 15–20 cm du trottoir ou que votre carrosserie est à 30–45 degrés, contre-braquez progressivement pour vous aligner et vous centrer entre les véhicules.
Pour un stationnement en bataille en marche arrière, un repère simple fonctionne très bien. Avancez jusqu’à ce que votre rétroviseur extérieur dépasse la ligne de la place d’un demi-mètre environ. Engagez la marche arrière et braquez à fond vers la place lorsque le coin de l’emplacement est visible au bas de votre vitre arrière correspondante. Avancez au pas, surveillez alternativement les deux rétroviseurs pour équilibrer les côtés, puis redressez lorsque le véhicule est parallèle aux lignes. L’objectif : centrer la voiture et laisser un espace symétrique de part et d’autre.
Pour le stationnement en épi (45° ou 60°), adoptez une logique similaire. Votre point d’entrée se situe légèrement au-delà de la place pour dessiner un V inversé en reculant. Quand le sommet de la place arrive proche du pilier de votre pare-brise côté manœuvre, enclenchez la marche arrière, braquez à fond, contrôlez côté intérieur, puis redressez en fin de manœuvre pour être aligné au marquage. Retenez que plus l’angle de l’épi est ouvert, plus vous pouvez entrer « tôt », mais toujours lentement et en observant les autres usagers.
Stationnement en bataille. Pourquoi le privilégier en marche arrière ? Parce que la sortie se fait de face, donc avec une visibilité largement meilleure. Méthode rapide : choisissez une place sans obstacle au fond; arrêtez-vous au-delà de la place d’un demi-véhicule; enclenchez la marche arrière; braquez à fond vers la place quand votre rétroviseur atteint la ligne; entrez au pas, vérifiez vos deux côtés; redressez pour vous centrer. À l’examen, soyez exemplaire sur les contrôles : avant de reculer, regardez sur 360°, surtout votre angle mort côté trottoir, et recommencez à chaque reprise d’élan.
Stationnement en épi. Ici encore, la marche arrière est reine. À 45° ou 60°, anticipez l’angle. Votre véhicule doit s’aligner au marquage final. Braquez tôt mais sans brutalité, conservez une vitesse très faible, utilisez vos rétroviseurs pour équilibrer les distances aux lignes. En cas de correction, avancez tout droit de quelques dizaines de centimètres avant de braquer à nouveau, jamais avec les roues déjà braquées. Sur sol humide, gardez une allure régulière pour éviter les à-coups. Sur une pente, anticipez la retenue du véhicule avec le frein plutôt qu’avec l’embrayage.
Créneau (stationnement parallèle). La manœuvre la plus redoutée, et pourtant la plus gratifiante. Trois éléments clés : placement initial, gestion du point de braquage, redressement. Horizontalement, gardez 50–80 cm d’écart avec la voiture de référence. Verticalement, alignez les pare-chocs arrière. Reculez au pas jusqu’au repère convenu (coin du véhicule de devant dans la vitre arrière), braquez à fond vers le trottoir, avancez de 45° environ, puis contre-braquez pour vous poser parallèlement. Finissez par une micro-correction si nécessaire. Laissez au moins 30 cm avec le trottoir pour éviter tout contact. Si vous touchez la bordure, corrigez immédiatement en avançant droit avant de reprendre la marche arrière.
L’oubli des contrôles. À chaque changement de phase (avant, pendant, reprise, fin), effectuez un contrôle visuel complet. L’examinateur veut voir vos regards et vos miroirs. Dites ce que vous faites si cela vous aide : « contrôle intégré, angle mort, je m’engage ». Un bon candidat montre sa vigilance en temps réel.
La vitesse excessive. Un stationnement se joue au pas. Si l’examinateur vous demande de recommencer, c’est souvent pour vous faire ralentir. Plus vous allez lentement, moins vous braquez fort et moins vous corrigez ensuite. La lenteur volontaire est un signe de maîtrise, pas d’hésitation.
Le braquage à l’arrêt. Tourner les roues sans mouvement abîme les pneus et empêche d’anticiper la trajectoire. Faites toujours tourner les roues en accompagnant le volant d’un déplacement minimal, même de quelques centimètres, pour sentir l’arc de trajectoire.
L’angle final imprécis. Beaucoup s’arrêtent trop tôt ou trop près du trottoir. Anticipez le contre-braquage un peu avant d’être parallèle pour finir exactement droit. Si vous n’êtes pas parfaitement centré, corrigez calmement avec une reprise d’élan courte plutôt qu’une grande manœuvre désordonnée.
L’absence de signalisation. Le clignotant n’est pas facultatif : il informe vos intentions. Mettez-le dès l’identification de la place et maintenez-le pendant la phase d’approche. Coupez-le lorsque la manœuvre est terminée et l’auto stabilisée.
La négligence des piétons et des deux-roues. En ville, une porte s’ouvre, un cycliste file, un piéton surgit. Regardez avant chaque mètre parcouru. En marche arrière, balayez votre environnement en permanence, notamment le côté trottoir et l’arrière éloigné dans la lunette.
Avant : clignotant, observation complète, vitesse au pas, place adaptée, vitres dégagées, rétro positionnés, ceinture ajustée. Pendant : regard alterné rétros/extérieur, mains souples, volant progressif, repères appliqués, corrections courtes, distance latérale maîtrisée. Après : roues droites, levier en sécurité (1re ou P), frein de stationnement, alignement visuel, vérification avant ouverture de porte, verrouillage.
L’entraînement structuré transforme votre technique. Commencez par des cônes ou bouteilles vides pour simuler des pare-chocs, puis passez à des espaces réels peu fréquentés. Travaillez d’abord la précision à basse vitesse, ensuite la fluidité, enfin le rythme global. Fixez-vous un protocole simple : 10 manœuvres identiques d’affilée, avec un objectif unique (par exemple, l’alignement final). Ne changez qu’un paramètre à la fois.
Construisez vos repères personnels. Chaque voiture a son gabarit, son rayon de braquage, la position de ses montants et miroirs. Notez ce qui marche pour vous — sous l’appui-tête, au milieu de la vitre, au niveau du joint de porte — et testez dans plusieurs contextes. Enregistrez-vous avec une caméra fixée au pare-brise pour revoir vos regards et vos mains au volant.
Travaillez la précision de la marche arrière. Un exercice utile consiste à reculer en ligne droite sur 20–30 mètres en restant à égale distance d’une ligne ou d’un trottoir, à la vitesse la plus lente possible. Cet entraînement renforce votre coordination regard–volant–allure et diminue la tentation de surbraquer.
Simulez des contraintes réalistes. Entraînez-vous de nuit, sous la pluie, en côte, avec et sans capteurs d’aide. Réduisez volontairement le champ visuel (sans le rendre dangereux) en baissant légèrement un pare-soleil pour obliger votre regard à se déplacer davantage. Apprenez à ressentir la voiture, pas uniquement à la regarder.
Planifiez des séances courtes et régulières. 20 minutes bien concentrées valent mieux qu’une heure dispersée. Alternez les manœuvres : 3 batailles, 3 épis, 4 créneaux. Chronométrez sans précipiter. L’objectif est la constance, pas la vitesse. Un bon indicateur : 8 manœuvres nettes sur 10, sans contact, alignement propre, contrôle des alentours à chaque étape.
De nuit, adaptez la vitesse et la distance, activez l’éclairage adéquat et évitez d’être ébloui par des sources lumineuses derrière vous. Utilisez vos rétroviseurs jour/nuit si disponibles. Multipliez les micro-arrêts pour contrôler l’environnement. Les reliefs d’ombre trompent l’appréciation des distances : fiez-vous aux lignes et aux repères plutôt qu’à votre intuition seule.
Sous la pluie, le freinage demande plus de finesse. Désembuez active le flux d’air dirigé vers le pare-brise et la lunette. Essuyez rapidement vos rétroviseurs si des gouttes les saturent. Sur graviers ou feuilles, évitez toute impulsion brusque du volant. Un braquage progressif garantit l’adhérence.
En pente, anticipez le poids. Pour une marche arrière en côte, contrôlez l’avancement au frein plutôt qu’à l’embrayage pour préserver la mécanique. En boîte automatique, utilisez le maintien de frein et la position P une fois immobilisé. Orientez les roues vers le trottoir en montée si vous vous garez sans bordure de sécurité, pour éviter un roulage libre en cas d’aléa.
Avec un véhicule long ou haut, élargissez votre arc d’entrée. Commencez la manœuvre un peu plus loin, braquez plus tôt et surveillez en priorité le côté intérieur du virage. Les zones hautes (galeries, coffres de toit) peuvent fausser la perception des distances avec les obstacles. Ajustez les sièges et les rétros pour élargir le champ de vision.
Concernant les aides à la conduite, capteurs et caméra de recul sont des alliés précieux. Les bips des radars indiquent une distance décroissante, mais pas la hauteur des obstacles. Regardez toujours dans les rétroviseurs et par-dessus l’épaule. Les systèmes d’aide au stationnement semi-automatiques sont utiles pour comprendre l’angle d’entrée, mais ne remplacent jamais vos contrôles. L’examinateur veut évaluer votre jugement, pas celui d’un algorithme.
Observation et sécurité. L’examinateur évalue la qualité de vos contrôles, la pertinence de votre contrôle visuel avant, pendant et après la manœuvre, votre capacité à céder le passage aux usagers prioritaires, et votre anticipation des risques. Montrer vos regards, c’est montrer votre maîtrise.
Maîtrise du véhicule. La gestion de l’allure au pas, la progressivité du volant, la compréhension du point de braquage et du contre-braquage, la précision des arrêts et des reprises sont observées. Les frottements de pneus au trottoir, les dépassements de lignes ou les coups de volant brusques pénalisent.
Positionnement final. La voiture doit être correctement insérée dans l’emplacement, alignée et sans gêner. Une marge cohérente à l’avant et à l’arrière, un centrage propre entre les lignes ou le long du trottoir, des roues droites et un véhicule stabilisé témoignent d’une manœuvre aboutie.
Communication. Un clignotant clair, des gestes prévisibles et une manœuvre menée sans bloquer excessivement la circulation sont valorisés. Un candidat qui sait renoncer à une place problématique et en choisir une meilleure, rapidement, montre un bon sens de la décision.
Créneau serré entre deux véhicules. Étape 1 : clignotant, observation, évaluation de la longueur disponible (un mètre de marge total minimum). Étape 2 : position parallèle à 60 cm, pare-chocs alignés. Étape 3 : reculer au pas, braquer au repère, surveiller votre côté trottoir, puis contre-braquage progressif pour vous aligner. Étape 4 : micro-correction si besoin. Étape 5 : roues droites, sécurisation, regard avant ouverture de porte.
Place en bataille dans un parking fréquenté. Étape 1 : clignotant tôt pour prévenir les suiveurs, regard 360°. Étape 2 : dépassez la place d’un demi-véhicule. Étape 3 : enclenchez la marche arrière, braquez à fond au repère du rétroviseur, balayez les deux côtés. Étape 4 : redressez pour centrer, laissez un espace équitable de part et d’autre. Étape 5 : immobilisez, roues droites, vérifiez l’axe avant de sortir.
Place en épi sur voie en pente. Étape 1 : clignotant, regard, anticipation de la pente. Étape 2 : dépassez légèrement la place. Étape 3 : reculez au pas, braquez tôt, maintenez la vitesse avec le frein, pas avec l’embrayage. Étape 4 : redressez, ajustez la symétrie. Étape 5 : première engagée ou P, frein de stationnement, roues droites et orientation adaptée au trottoir si nécessaire.
La technique s’ancre durablement lorsqu’elle est enseignée avec méthode, répétée dans des contextes variés et corrigée à chaud. Avec plus de 20 ans d’expérience, 380 points conduite et 175 000 utilisateurs accompagnés, INRI’S Formations structure son apprentissage autour de séquences courtes, ciblées et cumulatives. En stage accéléré, vous enchaînez des séries d’exercices calibrés, du simple au complexe, pour faire de la méthode en 5 étapes un automatisme. Résultat : vous gagnez en fluidité, réduisez votre stress et sécurisez votre réussite.
L’enseigne propose des cursus permis auto, permis moto et permis bateau, ainsi que le permis accéléré, et prépare aussi le code voiture, le code moto et le code bateau. Grâce à des moniteurs diplômés d’État, à une pédagogie concrète et à une plateforme en ligne pour réserver, s’entraîner et suivre votre progression, vous transformez vos points faibles en points forts. Les solutions de financement accessibles, dont le CPF, et la garantie de délais réduits vous permettent d’avancer vite, sans sacrifier la qualité.
Une donnée parle d’elle-même : 97 % de réussite au code après stage. Cette rigueur se retrouve dans la pratique. En appliquant la méthode en 5 étapes, en apprenant des repères fiables et en perfectionnant vos contrôles, vous abordez l’examen avec un protocole clair. Et au-delà de l’examen, vous conservez des habitudes solides qui protègent votre sécurité au quotidien.
Lisser vos mouvements. Un bon stationnement ressemble à un tracé au compas, sans à-coups. Tournez le volant de manière continue et régulière. Si vous sentez l’envie de corriger sans cesse, c’est que la vitesse est trop élevée ou le regard mal placé. Regardez où vous voulez aller, pas l’obstacle que vous craignez de toucher.
Optimiser le regard. La voiture suit vos yeux. En créneau, cherchez d’abord le point de pivot sur le trottoir, puis le coin arrière du véhicule de devant, puis la ligne de votre roue intérieure. En bataille, alternez miroir intérieur–extérieur–extérieur, rythme gauche/droite symétrique. Le contrôle visuel dirige votre trajectoire autant que le volant.
Standardiser vos distances. Retenez des mesures simples : 50–80 cm d’écart latéral pour le placement initial d’un créneau, 30 cm de marge au trottoir, un demi-véhicule au-delà de la place en bataille, une roue droite en fin de manœuvre. Ces balises vous évitent d’improviser sous pression.
Gérer la pression extérieure. Un klaxon ou une voiture qui attend derrière vous ne doit pas vous précipiter. Continuez à votre rythme. Indiquez votre intention clairement avec le clignotant et poursuivez calmement. Mieux vaut une manœuvre lente et sûre qu’une fausse manœuvre à reprendre.
Adapter vos actions aux aides électroniques. Si votre véhicule propose une caméra de recul, utilisez-la pour la vision basse, mais priorisez toujours vos rétroviseurs pour la vision latérale et lointaine. Les capteurs indiquent la proximité, pas la dynamique de la trajectoire. Conjuguez toutes les informations pour une décision fiable.
Jour 1 : 30 minutes de ligne droite en marche arrière et de placement initial. Objectif : vitesse constante, regard élargi, distance stable. Jour 2 : 10 batailles en marche arrière sur parking vide, travail du repère au rétroviseur et du redressement. Jour 3 : 10 créneaux entre cônes, focalisé sur le point de braquage. Jour 4 : 10 épis, en variant l’angle 45°/60°, maîtrise du centrage final. Jour 5 : mélange 4/4/4 de chaque manœuvre, introduire conditions de pluie légère ou nuit. Jour 6 : manœuvres avec véhicules réels, corrections fines, contrôle des alentours renforcé. Jour 7 : simulation examen, séquence complète observation–manœuvre–sécurisation, auto-évaluation et reprise des points à consolider.
Ce plan court, ciblé et progressif suffit souvent à ancrer des habitudes robustes. Ajoutez une séance de révision avec un moniteur pour valider vos repères et corriger les biais de posture ou de regard. Vous gagnerez des semaines de tâtonnement.
Place étroite entre deux SUV. Préférez une entrée lente et un angle un peu plus prononcé pour réduire les corrections. Surveillez les poignées de porte et les rétros, pas seulement les roues. Si les portes seront difficiles à ouvrir, reculez jusqu’au fond puis avancez de 10–20 cm pour équilibrer l’espace avant/arrière.
Bordure haute et jante fragile. Gardez 25–30 cm de marge. En cas de doute, privilégiez un second mouvement plutôt que de chercher la proximité maximale. Un léger contre-braquage anticipé vaut mieux qu’une jante frottée.
Place collée à un mur côté passager. Accélérez la fréquence de vos regards dans le rétroviseur droit. Corrigez tôt et peu. Le risque n’est pas la ligne au sol, mais l’obstacle vertical qui ne « bipe » pas toujours avec les capteurs.
Sortie de place très serrée. Préparez la sortie lors de l’entrée en vous plaçant légèrement décalé côté dégagement. Pour partir, braquez roues droites avant d’amorcer, avancez de quelques centimètres, puis tournez. Si la visibilité est nulle, avancez au pas, fenêtre entrouverte, prêt à vous arrêter.
Un stationnement soigné est aussi un stationnement sobre. Anticiper une place disponible, éviter les tours inutiles de quartier, choisir la manœuvre la plus simple, c’est limiter la consommation et le stress. En véhicule électrique, utilisez le mode rampage de la boîte pour une marche arrière ultra progressive et profitez du couple finement dosable. En thermique, privilégiez le ralenti et le frein moteur, réduisant l’usure de l’embrayage.
Réussir un stationnement n’est ni une question de talent inné ni de hasard. C’est une méthode. En cinq étapes — observer et préparer, positionner, manœuvrer lentement avec des repères clairs, ajuster et sécuriser, immobiliser correctement — vous transformez une source d’appréhension en geste sûr, reproductible et rapide. En créneau, en stationnement en bataille ou en épi, les mêmes fondamentaux s’appliquent : vitesse au pas, regard actif, point de braquage juste, contre-braquage mesuré, roues droites en fin de manœuvre.
Avec une pratique régulière et un accompagnement structuré, vous gagnerez en précision et en confiance, à l’examen comme tous les jours. Les pédagogies intensives d’INRI’S Formations, portées par des moniteurs d’État et un réseau national, accélèrent ce processus et consolident vos acquis. Prenez le temps d’appliquer la méthode, répétez-la dans des situations variées, et vous n’aurez plus à redouter la moindre place : elle deviendra une opportunité de démontrer votre maîtrise sereine de la route.
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