Stationnement gênant, règles et sanctions, amendes, fourrière, recours pour contester. Nos conseils pour agir et éviter l'infraction.
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Marre de payer pour un stationnement gênant ? Vous n’êtes pas seul. Les règles sont nombreuses, mais elles servent un objectif clair: fluidité et sécurité pour tous. Dans ce guide, vous apprendrez à repérer un stationnement interdit, les amendes encourues, les risques de fourrière, ainsi que les bons réflexes pour agir ou contester en toute légalité, sans stress ni mauvaises surprises.
Le code de la route distingue l’arrêt, le stationnement, et, parmi les interdictions, le stationnement gênant, très gênant et dangereux. L’arrêt correspond à une immobilisation très brève pour faire monter/descendre des passagers ou charger/décharger, avec le conducteur prêt à repartir. Le stationnement dure davantage et suppose souvent l’absence du conducteur. Ces nuances comptent: une position tolérée « à l’arrêt » peut devenir interdite « en stationnement » selon le lieu et la durée.
Juridiquement, l’arrêt ou le stationnement « gênant » entrave la circulation ou l’accès à certains espaces, sans atteindre la gravité d’un cas « dangereux ». La catégorie « très gênant » vise des lieux hautement protégés (trottoirs, passages piétons, pistes cyclables, places PMR, etc.). Enfin, l’arrêt ou le stationnement « dangereux » crée un risque immédiat d’accident (manque de visibilité, sommet de côte, virage serré…). Chaque niveau appelle des sanctions spécifiques, parfois assorties d’une mise en fourrière immédiate.
Le « stationnement dangereux » met directement en péril les usagers: par exemple à proximité d’un virage ou d’une intersection à visibilité insuffisante. Il est fortement réprimé et peut justifier une immobilisation et un enlèvement à la fourrière sans délai. Le « stationnement très gênant » cible les zones cruciales pour des usagers protégés: sur un trottoir, un passage piéton, une piste cyclable ou bande cyclable, sur une place PMR, devant une borne incendie ou sur une voie réservée aux bus.
Le « stationnement gênant » recouvre les situations qui perturbent sensiblement la circulation ou l’accès, sans danger immédiat: double file, devant un garage ou une porte cochère empêchant l’accès, trop près d’un carrefour, sur une voie trop étroite pour le croisement, sur une aire livraison hors horaires autorisés, ou sur des zones réservées (taxis, autopartage) hors cas « très gênant ». C’est l’infraction la plus fréquente et elle donne lieu à des contraventions régulières.
Plusieurs lieux sont sous vigilance renforcée. Sur un passage piéton, arrêt et stationnement sont interdits: c’est du « très gênant », car les piétons seraient forcés de contourner le marquage, avec un risque accru. Se mettre sur un trottoir, même « juste deux roues », demeure prohibé sauf aménagement explicitement autorisé et signalé. Sur une piste cyclable ou une bande cyclable, bloquer la continuité des cyclistes constitue aussi une infraction « très gênante ».
La double file illustre typiquement le « stationnement gênant »: elle réduit la largeur utile, crée des frictions et allonge les parcours. Devant une entrée carrossable, la gêne est caractérisée: le riverain peut solliciter une intervention et une évacuation. Les emplacements livraison sont strictement cadencés: hors horaires, stationner devient gênant. Enfin, se poser dans une zone de bus (zébras, damiers, zigzags) est très sévèrement puni, car cela perturbe l’accostage et la montée/descente des passagers.
Règle d’or: la signalisation verticale et horizontale prime. Le panneau d’interdiction B6d (interdiction de stationner) bannit le stationnement sur le tronçon concerné. Le B6a1 (interdiction de s’arrêter et de stationner) proscrit toute immobilisation. Des panonceaux peuvent préciser des jours, des horaires, des catégories de véhicules ou un sens d’application. Au sol, une ligne jaune continue en bordure signifie interdiction d’arrêt et de stationnement, une ligne jaune discontinue interdit le stationnement mais autorise l’arrêt.
Les zébras, hachures et zones damier (avant passages piétons, arrêts de bus, accès d’urgence) sont à éviter absolument: ces surfaces sont réputées non roulables. Les places matérialisées en bleu en « zone bleue » imposent l’usage du disque et un temps limité: sans disque ou hors durée, vous risquez un procès-verbal. Les logos au sol (fauteuil roulant pour PMR, pictogramme vélo, bus, taxi, borne de recharge) ne laissent pas d’ambiguïté: occuper ces espaces sans droit expose à la verbalisation, voire à la mise en fourrière.
Un stationnement gênant coûte une amende forfaitaire de 35 € (2e classe), minorée à 22 € en paiement rapide, majorée à 75 € (ou davantage devant le juge). Un stationnement « très gênant » vaut 135 € (4e classe), minorée à 90 € et majorée à 375 €; le plafond peut grimper à 750 € devant la juridiction. Un stationnement « dangereux » est à 135 € et peut entraîner immobilisation et enlèvement. Aucune de ces infractions n’entraîne de retrait de points-conduites en 2025, mais les frais annexes (dépannage, fourrière, garde) peuvent alourdir la note.
Attention à ne pas confondre avec le stationnement payant non acquitté: depuis 2018, il relève du FPS (forfait de post-stationnement) fixé localement. Le FPS ne s’applique pas aux arrêts ou stationnements gênants, très gênants ou dangereux: ceux-ci sont des contraventions pénales, notifiées par procès-verbal électronique. En cas de cumul apparent (par exemple stationner sur trottoir en zone payante), seule l’infraction la plus grave est retenue: on ne cumule pas FPS et contravention pour le même fait.
La fourrière est décidée quand un véhicule immobilisé crée une gêne avérée, un trouble à l’ordre public ou un risque pour la sécurité. Cas typiques: véhicule sur trottoir, piste cyclable, passage piéton, voie bus, place PMR, voie privée ouverte à la circulation qui bloque l’accès, ou double file sur un axe chargé. L’autorité (police nationale, gendarmerie, police municipale) apprécie et ordonne l’enlèvement selon un barème préfectoral.
Les frais comprennent souvent opérations préalables (déplacement inutile, levage), enlèvement, garde journalière et, parfois, expertise (si le véhicule reste longtemps). Les montants varient selon la ville et l’année: comptez généralement 100 à 200 € pour l’enlèvement d’un véhicule léger, plus 10 à 30 € par jour de garde, et des frais de dossier possibles. Dans certaines métropoles, les tarifs sont plus élevés. Pour récupérer votre véhicule, obtenez la « mainlevée » auprès de l’autorité verbalisatrice, présentez permis, carte grise, attestation d’assurance et réglez l’ensemble des frais.
Première étape: identifier la fourrière de destination. Un agent peut vous l’indiquer si vous arrivez pendant l’enlèvement; sinon, appelez le commissariat ou la police municipale avec votre immatriculation. Demandez la copie de l’ordre de mise en fourrière et du procès-verbal. Ensuite, récupérez la mainlevée, souvent directement au poste de police, sur présentation des documents et règlement de l’amende.
À la fourrière, munissez-vous du permis, du certificat d’immatriculation (ou justificatif d’achat récent), de l’attestation d’assurance valide et, si besoin, du contrôle technique. Réglez les frais d’enlèvement et de garde. Plus l’attente est longue, plus la garde coûte; au-delà de certains délais, une expertise peut s’imposer, et, passé un seuil légal, le véhicule peut être vendu ou détruit. En cas d’enlèvement jugé irrégulier (mauvais motif, signalisation absente, vice de procédure), récupérez d’abord le véhicule pour limiter les frais, puis engagez un recours pour solliciter le remboursement.
Pour une contravention de stationnement gênant, vous disposez en général de 45 jours pour payer ou contester via le site de l’ANTAI. Une contestation solide repose sur des preuves: photos horodatées du lieu, de la signalisation et de la position du véhicule, témoignages, justificatifs d’un cas de force majeure. Les motifs d’exonération légale sont limités (vol/usurpation de plaque, vente du véhicule avant l’infraction, prêt à un tiers identifié); sinon, vous contestez la matérialité (signalisation inexistante ou non conforme, marquage effacé, erreur de verbalisation).
Pour une mise en fourrière, le recours est administratif: recours gracieux auprès de l’autorité (maire, préfet) ayant ordonné l’enlèvement; en cas de refus, saisine du tribunal administratif (motif, procédure, signalisation). Conservez tout (ordre d’enlèvement, avis de procès-verbal, factures de fourrière, photos). En cas de succès, amende annulée et frais remboursés. La clé reste la preuve: photographiez le panneau le plus proche, le marquage au sol, l’environnement, et vérifiez concordance adresse/heure du PV.
Sur la voie publique, n’appelez pas un dépanneur par vous-même: seule l’autorité compétente peut ordonner un enlèvement. Contactez la police municipale (heures ouvrées) ou le 17 (soir et week-end), indiquez l’adresse, le motif (accès bloqué, stationnement gênant, danger), et restez joignable. L’agent constate, dresse PV et, si nécessaire, fait évacuer à la fourrière. Sur une voie privée ouverte à la circulation (parking de supermarché, résidence ouverte), la loi permet aussi la mise en fourrière sous conditions, notamment si l’interdiction est clairement signalée.
Devant votre garage ou sur une place réservée, procédez de même: appelez la police municipale et exposez la gêne. En copropriété fermée, le syndic peut lancer des démarches (constat, affichage, mise en demeure et, à défaut, intervention). Évitez toute action personnelle (barres, sabots, blocage), qui pourrait se retourner contre vous. Une intervention officielle garantit l’établissement d’un procès-verbal et sécurise la suite, y compris pour le recours aux frais en cas de dommages.
Les places réservées aux personnes handicapées ne sont accessibles qu’avec une CMI-stationnement valide, lisible et correctement apposée. Sans cet agrément, l’infraction est « très gênante » (135 €) et souvent accompagnée d’un enlèvement à la fourrière. Les zones de livraison obéissent aux horaires affichés: en dehors, elles redeviennent parfois du stationnement payant; pendant la plage, elles sont réservées au chargement/déchargement effectif. Mettre les warnings ne transforme pas un arrêt illicite en arrêt autorisé.
Les aires taxis, autopartage et bornes de recharge sont également réservées. Sur une borne, occuper la place sans recharger (ou après la fin de charge si la signalisation l’indique) peut être verbalisé. Sur une voie bus, arrêt et stationnement sont prohibés; même chose pour les emprises de tramway. Ces espaces sont protégés pour préserver sécurité et fluidité du réseau.
Les panneaux d’interdiction s’accompagnent souvent de panonceaux modulant la règle: horaires, jours (« sauf dimanches et jours fériés »), catégories (« sauf livraisons », « sauf riverains »), sens (flèches). Un B6d surmonté « 9h-12h » interdit le stationnement sur cette plage mais peut l’autoriser en dehors. Un panonceau « sauf riverains » restreint l’exception: sans macaron/justificatif, vous êtes verbalisable. Toujours lire tout le mât, pas seulement le pictogramme principal.
Pour les marquages, la lisibilité est déterminante. Un marquage totalement effacé peut affaiblir la sanction, mais un panneau conforme suffit à établir l’infraction. L’inverse existe: sans panneau, un marquage récent et conforme peut suffire. En cas de doute, photographiez les abords (sur 50 à 100 mètres) pour démontrer l’absence ou l’incohérence de la signalisation: cette preuve pèse lourd lors d’une contestation.
Au-delà des interdictions explicites, respectez des marges de sécurité. Évitez de stationner à moins de 5 mètres d’un carrefour ou d’un passage piéton pour préserver la visibilité. Ne vous placez pas devant une bouche d’incendie ou un accès pompier (souvent signalés): outre la verbalisation, un dégagement d’office peut être réalisé par les secours. Sur les voies étroites, évitez toute position qui empêcherait le passage d’un véhicule d’urgence: la gêne à la circulation est caractérisée et verbalisable.
Près des écoles, hôpitaux et équipements publics, la tolérance est minimale: la police verbalise pour prévenir les conflits d’usage. Même logique aux entrées/sorties de chantiers où fleurissent des panneaux temporaires: respectez-les comme la signalisation permanente. Le non-respect de prescriptions temporaires (fond jaune) expose aux mêmes sanctions qu’une interdiction classique.
Les besoins de livraison n’autorisent pas tout. Un « arrêt » est toléré si le conducteur reste au volant et que le chargement/déchargement est effectif et bref, en dehors des lieux interdits absolus (pistes cyclables, passages piétons, trottoirs, voies bus). Le « stationnement » pour une intervention prolongée impose un emplacement autorisé (zone livraison aux horaires ouverts ou place régulière). Les « arrêts-minute » doivent être respectés strictement; au-delà, l’agent dressera un procès-verbal. Des preuves d’intervention (ordre de mission, bon de livraison) ne justifient pas l’infraction, mais peuvent atténuer un litige devant le juge.
Pour les chantiers, privilégiez des autorisations temporaires de voirie délivrées par la mairie: elles permettent de réserver des emplacements et d’éviter les contraventions. Les véhicules spéciaux (secours, service public) bénéficient parfois d’exemptions encadrées, qui ne s’étendent pas aux sous-traitants sans autorisation explicite. Les feux de détresse n’accordent aucun passe-droit en cas d’arrêt ou de stationnement interdit.
Le forfait post-stationnement (FPS) concerne uniquement le stationnement payant en zone réglementée lorsque le temps n’a pas été acquitté ou prolongé. Son montant est fixé par la collectivité et se conteste via un RAPO (recours administratif préalable obligatoire) auprès de l’entité gestionnaire, puis devant la commission du contentieux du stationnement payant. Les arrêts et stationnements gênants, très gênants ou dangereux n’entrent pas dans ce régime: ils relèvent de contraventions pénales constatées par procès-verbal et se contestent via l’ANTAI ou la juridiction compétente.
Concrètement: sans ticket en zone payante, c’est un FPS. Sur le trottoir dans la même zone, c’est une contravention pour stationnement très gênant. Les deux ne se cumulent pas pour un même fait: l’agent retient le fondement le plus grave au regard de la gêne et de la sécurité.
Anticipez. Avant de vous immobiliser, balayez la signalisation sur 50 à 100 mètres: cherchez le panneau d’interdiction, les panonceaux horaires et le marquage au sol. Repérez les points sensibles (carrefour, passage piéton, arrêt de bus, piste cyclable, accès pompier, garage). Pour déposer quelqu’un, restez au volant et prêt à redémarrer: on reste dans l’arrêt, pas le stationnement. Mieux vaut se garer un peu plus loin mais en règle: c’est toujours moins cher qu’une amende ou une fourrière.
Si vous pensez être en droit mais craignez une ambiguïté (marquage effacé, panneau masqué), prenez des photos sur place, en cadrant large (façades, numéros, contexte). Elles serviront à la contestation. Enfin, payez ou contestez sans tarder: les amendes sont minorées pendant un court délai, puis majorées. Ignorer un avis déclenche les surcoûts et peut mener à un recouvrement forcé.
Trois idées reçues coûtent cher. 1) Les warnings n’autorisent pas un arrêt interdit: ils signalent une difficulté, pas un privilège de stationnement. 2) « Je reviens dans cinq minutes » n’efface pas l’interdiction, notamment sur trottoir, passage piéton, piste cyclable ou voie bus. 3) « Je ne gêne personne » n’a pas de valeur: la loi protège des usages, pas seulement une gêne constatée en direct. À tout moment, un contrôle peut survenir; l’agent n’a pas à prouver que quelqu’un a été effectivement entravé: l’occupation d’un espace protégé suffit.
Autre mythe: « Je paierai le FPS si on me met un PV ». Faux. Le FPS ne s’applique pas aux arrêts et stationnements gênants. En zone bus, sur aire piétonne ou cyclable, vous encourez une contravention, potentiellement la mise en fourrière, et non un FPS négociable.
Maîtriser l’arrêt et le stationnement est un pilier de la sécurité et un chapitre incontournable de l’examen. En formation accélérée, on vise des automatismes: observer tôt, lire la signalisation, anticiper la manœuvre, renoncer en cas de doute. Cela vaut que vous prépariez le permis-auto, le permis-moto ou le permis-bateau, que vous révisiez le code-voiture, le code-moto ou le code-bateau.
Chez INRI’S Formations, un parcours sérieux commence par une evaluation-de-depart, se poursuit en stage-accelere ou en permis-accelere selon vos objectifs, avec des options de financement adaptées. Les moniteurs insistent sur les réflexes en situation réelle: approche des intersections, respect des distances et choix d’emplacements sûrs, pour que la conformité devienne un geste naturel.
Un dernier conseil d’examen: verbalisez à voix haute ce que vous voyez. « Panneau B6a1, interdiction de s’arrêter et de stationner; marquage jaune continu; passage piéton à 20 mètres »: cette annonce ancre la décision et montre votre maîtrise de l’environnement.
Avant de couper le moteur, posez-vous trois questions: 1) Un panneau ou un marquage interdit-il l’arrêt ou le stationnement ici ? 2) Suis-je sur un espace protégé (trottoir, passage piéton, piste cyclable, arrêt de bus, PMR, voie bus, accès pompier) ? 3) Est-ce que je réduis la largeur utile au point de gêner le croisement ou l’accès (double file, voie étroite, garage) ? Si l’une des réponses est « oui », repartez immédiatement. Mieux vaut tourner une minute que risquer un enlèvement à la fourrière et une amende forfaitaire.
Le stationnement gênant est fréquent mais évitable: lisez les panneaux, respectez les marquages, anticipez les zones sensibles et privilégiez l’arrêt bref en restant au volant si l’immobilisation s’impose. Les sanctions vont de 35 € (gênant) à 135 € (très gênant ou dangereux), sans retrait de points mais avec des frais possibles de fourrière. En cas de PV ou d’enlèvement, agissez vite: récupérez les pièces, payez ou contestez dans les délais, et documentez soigneusement la signalisation. Une conduite responsable protège votre budget autant que la sécurité de tous.
S’approprier ces règles est aussi un atout pour l’examen: elles font partie intégrante des compétences évaluées. En travaillant l’observation et la lecture de la signalisation, vous réduisez drastiquement le risque d’erreur, d’amende et de procès-verbal. Et si vous visez un format intensif, intégrez ces points clés à vos révisions: vous gagnerez du temps le jour J… et tous les jours ensuite.
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