Notation 31 points permis : barème 2025, fautes éliminatoires

Envie de comprendre la notation 31 points permis pour viser la réussite du premier coup ? C’est possible, et sans stress. L’épreuve pratique du permis-auto (catégorie B) est notée sur 31, avec un barème clair et des règles stables en 2025. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment fonctionne le barème, quelles sont les fautes éliminatoires et comment maximiser vos points.

En quoi consiste la grille d’évaluation du permis de conduire ?

La grille d’évaluation du permis B est l’outil officiel utilisé par l’inspecteur pour apprécier votre conduite le jour J. Elle synthétise les compétences indispensables d’un conducteur sûr et autonome, depuis l’installation au poste jusqu’aux décisions prises dans la circulation. En 2025, l’épreuve reste une évaluation à points: vous cumulez des points sur différentes compétences, vous gagnez des points sur les questions de vérifications, et vous pouvez obtenir un point de courtoisie au volant. Le total maximal est de 31 points.

Chaque compétence est notée selon une échelle qualitative (de « insuffisant » à « très satisfaisant »), qui se traduit en points. L’objectif est de mesurer votre capacité à conduire seul en sécurité, à anticiper les risques, à respecter le code de la route et à interagir correctement avec les autres usagers. Cette grille d’évaluation structure l’épreuve, guide l’observation de l’inspecteur et permet un résultat transparent.

Trois éléments complètent la notation: les vérifications intérieures et extérieures (et une question de sécurité/gestes de premiers secours) pouvant rapporter jusqu’à 3 points, les deux manœuvres obligatoires, et le point de courtoisie attribué si votre comportement est respectueux et apaisé. Pour réussir, vous devez atteindre le seuil officiel et ne commettre aucune faute éliminatoire. Avant toute préparation, une evaluation-de-depart permet d’objectiver votre niveau et d’adapter le volume de formation.

Les compétences évaluées dans la grille d’évaluation du permis

Installer correctement son poste de conduite et assurer la sécurité reste la première pierre d’une épreuve réussie. Ajustement du siège, du dossier, de l’appui-tête, des rétroviseurs, réglage du volant, ceinture bouclée, portes verrouillées: ces gestes montrent que vous préparez une conduite stable, confortable et sûre, pour vous et vos passagers. Ils facilitent aussi votre capacité d’observation, clé pour tout le reste de l’examen.

La prise d’information est ensuite centrale. L’inspecteur évalue la qualité de vos regards: loin, près, latéraux, dans les rétroviseurs, au bon rythme et au bon moment. Sur rond-point, avant un changement de file, en entrant dans une intersection, votre balayage visuel doit être structuré. Un bon candidat « voit venir » les événements et évite de se faire surprendre, que ce soit en agglomération, sur départementale ou en zone 30.

L’adaptation de l’allure est indissociable de la lecture de la route. Il ne s’agit pas de rouler lentement, mais de rouler juste. Respecter la limitation, tenir compte de l’adhérence, du trafic, de la visibilité, des piétons et des cyclistes, tout en gardant du couple et une vitesse suffisante pour s’insérer ou dépasser de façon réglementaire. Une allure adaptée montre votre maîtrise technique et votre sens de l’anticipation.

Le positionnement sur la chaussée témoigne de votre compréhension de la dynamique du trafic. Vous devez maintenir votre voie, soigner vos trajectoires et vos distances de sécurité, vous placer pour tourner, vous insérer sans gêner. La marge de sécurité latérale avec un cycliste ou un obstacle, la tenue du véhicule en courbe et le respect des lignes de dissuasion et continues sont regardés très attentivement.

L’application de la réglementation reste évidemment incontournable. Panneaux, marquage au sol, priorités, feux, arrêts et cessions de passage, franchissement d’une ligne continue, interdictions temporaires: vous devez faire la bonne action, au bon moment, naturellement. Un conducteur sûr et autonome sait appliquer le Code sans hésiter, y compris lorsqu’une situation est un peu ambiguë: dans le doute, la prudence prime.

La communication avec les autres usagers, souvent sous-estimée, pèse dans le résultat. Clignotants posés à temps, appels de phares à bon escient, positionnement et regard qui « parlent », usage du klaxon lorsque la sécurité l’exige et seulement à ce moment-là: l’inspecteur valorise la communication utile, ni excessive, ni absente. Elle facilite le partage de la route et réduit les risques d’incompréhension.

Le partage de la chaussée signifie intégrer les spécificités des piétons, des vélos, des trottinettes, des deux-roues motorisés, des bus et des poids lourds. Savoir s’arrêter pour un piéton engagé ou manifestement sur le point de s’engager, contourner un cycliste avec un intervalle suffisant, respecter les bus qui quittent leur arrêt en agglomération, anticiper les angles morts des poids lourds: ces comportements montrent une conduite sociale et responsable.

La conduite autonome, généralement sur plusieurs minutes, reflète votre capacité à suivre un itinéraire indiqué (par panneaux, bretelles ou directions) sans assistance constante. Cette séquence met en évidence votre compréhension de la signalisation, votre orientation et votre continuité d’allure. Une conduite autonome fluide et cohérente rassure l’inspecteur sur votre aptitude à circuler seul.

Enfin, la conduite éco-responsable transparaît dans beaucoup de détails: gestion des rapports, régime moteur, anticipation des ralentissements, frein moteur, maintien de l’élan, arrêts propres. Une conduite souple, anticipée et respectueuse de l’environnement renforce aussi votre sécurité: ce qui épargne le carburant épargne les risques. L’inspecteur y est sensible, ce qui se reflète dans la notation globale.

Les deux manœuvres obligatoires

Pendant l’épreuve, vous réalisez deux manœuvres: une en marche arrière et un freinage avec arrêt de précision. La manœuvre en marche arrière peut prendre différentes formes: marche arrière en ligne droite ou en courbe, demi-tour, ou stationnement en créneau, en bataille ou en épi. Le choix dépend du contexte et des instructions; il n’y a pas de « piège », mais vous devez montrer une méthode sûre.

La sécurité prime. Avant toute marche arrière, contrôlez vos angles morts, signalez votre intention, avancez pour préparer la trajectoire si nécessaire, puis exécutez lentement en observant. Les contacts avec un trottoir, un potelet ou un autre véhicule sont susceptibles d’être rédhibitoires s’ils révèlent une perte de maîtrise ou créent un danger. Une manœuvre réussie est lisible, sans précipitation, et s’achève par un positionnement propre.

Le freinage de précision consiste à s’arrêter au point visé, à une distance annoncée ou en regard d’un repère donné par l’inspecteur, sans brutalité ni blocage de roue. Vous devez anticiper, doser et immobiliser le véhicule proprement. Cette séquence démontre votre coordination et votre capacité à doser l’énergie du véhicule, compétence clé pour la sécurité en circulation réelle.

Barème du permis de conduire et résultat

Le barème 2025 reste fidèle aux principes connus: un total sur 31 points, dont un point de courtoisie au volant et jusqu’à 3 points pour les vérifications intérieures et extérieures (et la question sécurité/gestes de secours). Les autres points sont attribués sur les compétences de conduite observées tout au long du parcours, avec une graduation qui traduit la qualité de votre prestation.

Pour être reçu, il faut cumuler au minimum 20 points sur 31 et ne commettre aucune faute éliminatoire. Cette règle s’applique quelle que soit votre région. Le résultat est communiqué sous 48 heures en moyenne via le service en ligne officiel, avec votre relevé détaillé: vous y verrez vos points par compétence, les commentaires de l’inspecteur et, le cas échéant, la mention d’une erreur éliminatoire.

En cas de réussite, vous obtenez immédiatement un certificat d’examen du permis de conduire (CEPC) valable en France en attendant la fabrication du titre définitif. En cas d’échec, le relevé de points vous aide à cibler précisément les axes de progrès, afin de planifier un entraînement ciblé et une nouvelle présentation rapide, notamment via une formation en permis-accelere si vous en avez besoin.

Combien faut-il obtenir de points pour avoir le permis ?

Le seuil réglementaire est clair: 20 points sur 31, sans faute éliminatoire. Atteindre ce seuil de 20 points implique une conduite globalement maîtrisée: une observation suffisamment régulière, une allure adaptée, des décisions conformes au Code et deux manœuvres réalisées en sécurité. Ce n’est pas une épreuve de perfection, mais une démonstration de compétence autonome et sûre.

La marge existe: vous pouvez commettre quelques erreurs mineures et être reçu si votre conduite reste cohérente. Une petite approximation sur une trajectoire, un clignotant posé un peu tard ou une hésitation ponctuelle n’anéantissent pas votre chance si l’ensemble respire la sécurité et la maîtrise. À l’inverse, un cumul d’erreurs moyennes peut faire baisser la note en dessous du seuil.

Gardez en tête que l’inspecteur évalue en dynamique. Un bon rattrapage après une petite erreur, une décision prudente dans l’incertitude ou une anticipation efficace d’un danger imminent valorisent votre profil. À l’inverse, une erreur qui oblige l’inspecteur à intervenir est une faute éliminatoire, même si votre total de points aurait pu dépasser 20.

Les erreurs éliminatoires

Les fautes éliminatoires sont celles qui créent une situation dangereuse immédiate ou qui traduisent une méconnaissance grave du Code. Le scénario typique est l’intervention de l’inspecteur (prise de volant, freinage, consigne urgente pour éviter un accident). Toute intervention de ce type conduit à un échec, quel que soit le reste de l’épreuve. C’est la sécurisation des usagers qui prévaut.

Le non-respect d’un STOP ou d’un feu rouge, le refus de priorité (y compris à un piéton engagé), l’insertion dangereuse sur un giratoire, un dépassement avec franchissement de ligne continue, un excès d’allure manifestement inadapté aux conditions, l’engagement à contresens ou dans une voie interdite, la circulation sur une bande d’arrêt d’urgence, ou encore un franchissement de passage à niveau sans précaution sont classiquement éliminatoires.

D’autres cas peuvent l’être selon le contexte: oublier la ceinture de sécurité au départ, gêner lourdement un usager prioritaire, couper la trajectoire d’un deux-roues, heurter le trottoir au point de mettre en danger un piéton ou d’endommager le véhicule, reculer sans visibilité et sans contrôle au point de provoquer un choc. Ce qui compte, c’est le risque créé et la capacité à le neutraliser à temps.

Pour éviter ces situations, soignez votre observation, gardez des marges, placez vos décisions tôt, et n’hésitez pas à renoncer à une opportunité (s’insérer, dépasser, tourner) si la fenêtre est trop étroite. Une conduite sûre est souvent une conduite patiente. Mieux vaut attendre deux secondes que de tenter un passage incertain.

Notation détaillée: comment l’inspecteur attribue les points

Pendant l’épreuve, l’inspecteur multiplie les « prises d’indices » sur votre conduite et les consigne dans la grille. Chaque compétence reçoit une appréciation qui se traduit en points: insuffisant, perfectible, satisfaisant, très satisfaisant. Concrètement, une action sûre, anticipée, exécutée au bon moment, avec une communication claire, vaut davantage qu’une action juste mais tardive, ou hésitante.

La notation n’est pas le fruit d’un instant, mais d’un faisceau d’indices. Si vous vérifiez vos angles morts systématiquement avant de déboîter, si vos clignotants sont posés au bon moment et s’éteignent naturellement, si votre allure est ajustée à la visibilité, à la pluie, au relief et au trafic, vous donnez des signes répétés de maîtrise. À l’inverse, une observation irrégulière ou des trajectoires serrées reviennent pénaliser plusieurs compétences.

Les vérifications intérieures et extérieures comptent jusqu’à 3 points et sont une opportunité à saisir. Savoir montrer le gilet, le triangle, expliquer une alerte de tableau de bord, vérifier un feu, un essuie-glace, un niveau, ou donner une conduite à tenir en cas d’accident léger ou de blessure, ce sont des points accessibles avec un entraînement minimal. C’est un « bonus » technique à ne pas négliger.

Le point de courtoisie au volant illustre votre comportement citoyen: remercier d’un geste, faciliter une insertion lorsque c’est pertinent, ne pas vous énerver, garder une attitude calme même face à une incivilité. Ce point peut faire la différence si votre total se joue à peu. La courtoisie ne remplace jamais la sécurité, mais elle complète une conduite apaisée.

Exemples de situations évaluées

À l’approche d’un rond-point, l’inspecteur observe votre lecture de la signalisation, votre adaptation de l’allure, votre regard à gauche pour juger des priorités, puis votre insertion et votre sortie avec clignotants et trajectoires nettes. Un positionnement trop à droite avant de tourner à gauche, ou un clignotant tardif, peuvent peser sur plusieurs critères à la fois.

En présence d’un cycliste sur route étroite, il regarde votre décision de patienter si la visibilité est insuffisante, votre déport latéral franc et sécurisant au moment du dépassement, et votre réinscription progressive sans couper la trajectoire du deux-roues. Un dépassement serré ou précipité peut valoir une pénalisation sévère, car le risque est immédiat.

Sur un passage piéton, la priorité à un piéton engagé ou clairement sur le point de s’engager est impérative. Anticiper, ralentir suffisamment tôt, s’arrêter net si besoin, maintenir une distance de sécurité avec le véhicule suiveur, sont les comportements attendus. Un piéton est un usager vulnérable: toute ambiguïté ou tout doute doit se résoudre en sa faveur.

En zone 30 ou à proximité d’une école, l’inspecteur veut voir une lecture fine du contexte: allures très modérées, regard profond et latéral, attention aux ouvertures de portières, aux sorties de stationnement, aux trottinettes et aux enfants pouvant surgir. Votre capacité à « réduire le risque à la source » en anticipant une situation potentiellement mouvante pèse très positivement sur la note.

Sous la pluie, une allure abaissée, des distances accrues, un freinage précoce et progressif, un usage doux du volant et de l’accélérateur, montrent que vous ajustez votre conduite aux conditions d’adhérence. Ce bon sens de sécurité est une compétence évaluée à part entière, au cœur du barème 2025.

S’entraîner avec l’examen blanc

Le meilleur moyen d’ancrer ces réflexes, c’est de les pratiquer en conditions quasi réelles. L’examen blanc reproduit le format officiel: même durée, même type de parcours, même attente d’autonomie, mêmes manœuvres. Il vous expose à la pression douce du jour J, révèle vos automatismes et vos zones de fragilité, et vous permet de cibler un plan de travail efficace, séance après séance.

Chez INRI’S Formations, nos programmes en stage-accelere intègrent des examens blancs réguliers, dans des secteurs proches des centres d’examen pour que vous reconnaissiez les enjeux locaux: giratoires, priorités particulières, zones 30, créneaux, pentes. Notre plateforme en ligne suit votre progression, documente vos points forts et vos axes de progrès, et synchronise vos cours en voiture avec vos révisions de code-voiture, mais aussi de code-moto et de code-bateau si vous élargissez vos objectifs.

Pratiquer plusieurs examens blancs de niveau croissant lisse la pression du jour J. Vous apprenez à poser vos regards sans y penser, à doser l’allure avec précision, à préparer une manœuvre avec méthode, à annoncer vos intentions en temps utile. C’est la régularité qui transforme la théorie en réflexe, et un réflexe solide, c’est un point de plus sur la grille.

Comment avoir 31 points sur son permis de conduire ?

Atteindre 31/31 n’est pas un objectif nécessaire pour réussir, mais c’est un excellent guide pour travailler au plus haut niveau. Concrètement, il s’agit de cocher tous les critères: installation irréprochable, observation proactive, allure parfaitement ajustée, décisions nettes et réglementaires, communication claire, trajectoires précises, manœuvres impeccables, réponses exactes aux vérifications et attitude courtoise.

Le chemin pour y parvenir passe par trois leviers. D’abord la compréhension fine des attentes: connaître la grille d’évaluation, les critères et ce qui est regardé à chaque instant. Ensuite l’entraînement structuré: répétition des séquences-clés (rond-point, insertion, dépassement, carrefour à visibilité réduite), manœuvres chronométrées sereinement, simulation d’imprévus. Enfin, la stabilité mentale: respirer, annoncer vos actions à voix basse si besoin, accepter de renoncer à une opportunité trop serrée.

La pratique de la conduite éco-responsable fait mécaniquement monter votre niveau. En anticipant davantage, vous freinez plus tôt et moins fort, vous rétrogradez à bon escient, vous positionnez avec précision, vous communiquez plus lisiblement. Tout ce qui économise de l’énergie apaise et sécurise votre conduite, donc maximise vos points.

Nos conseils d’experts

Stabilisez votre routine de départ: réglages, ceinture, rétro, portes, point mort, frein. Cet enchaînement vous place mentalement dans la conduite et vous évite un oubli bête. Dès les premiers mètres, installez un rythme d’observation: rétros toutes les 5 à 8 secondes selon le contexte, plus les angles morts avant chaque déport. Un candidat qui « voit large » conduit déjà mieux.

Posez vos clignotants tôt et proportionnez votre allure. « Tôt » signifie suffisamment en amont pour être compris, ni trop pour ne pas induire en erreur. L’allure dicte la maîtrise: si vous hésitez, ralentissez un peu pour acheter du temps de décision. Au contraire, si la fenêtre est bonne, engagez avec décision, mais sans brusquerie.

Méthodisez vos manœuvres. Avant une marche arrière, arrêtez-vous, respirez, regardez, signalez, préparez la trajectoire, puis exécutez au pas. Si vous devez corriger, faites-le franchement, avec les contrôles nécessaires. Une manœuvre réussie est davantage une question de méthode que de talent.

Anticipez le contexte local. Chaque centre a ses spécificités: zones 30, giratoires denses, chantiers, priorités inhabituelles. Nos équipes INRI’S vous y préparent avec des parcours-types, des briefings ciblés et des exercices répétitifs. La familiarité réduit le stress, le stress réduit l’erreur, l’erreur évitée vaut des points.

Le permis accéléré avec INRI’S Formations: viser la réussite dans les meilleures conditions

INRI’S Formations est le 1er réseau français spécialisé dans les stages permis accélérés. Avec plus de 20 ans d’expérience, 380 points conduite et 175 000 utilisateurs, nous proposons une préparation intensive, structurée et personnalisée à l’examen pratique: entraînement sur grille, manœuvres, examen pratique blanc, et accompagnement individuel jusqu’à l’obtention. Nous formons aussi au permis-moto et au permis-bateau pour élargir vos horizons.

Notre pédagogie associe simulateur, plateforme de réservation et d’entraînement, et cours avec moniteurs diplômés d’État. Les délais sont réduits, avec des créneaux rapprochés et des parcours proches des centres pour optimiser votre temps. Le financement est accessible, y compris via le CPF, afin de concentrer votre énergie sur votre progression, pas sur la logistique.

Le résultat est mesurable: nos stagiaires abordent l’épreuve avec une compréhension précise du barème 2025, des fautes éliminatoires à éviter et des compétences à mettre en avant. L’objectif est de transformer les exigences officielles en automatismes simples: poser le regard, adapter l’allure, communiquer, partager la route et réaliser les manœuvres obligatoires en sécurité. En complément, nos sessions points-conduites permettent de maintenir une conduite responsable sur la durée.

Comment se déroule concrètement l’épreuve, du départ à l’arrivée

Vous êtes accueilli par l’inspecteur, vous présentez vos documents, puis vous vous installez au poste de conduite. Une fois prêt, vous suivez ses consignes puis vous réalisez une phase de conduite autonome en suivant une direction ou une destination indiquée. L’inspecteur observe vos réglages, vos regards, votre gestion de l’allure, vos décisions et votre interaction avec le trafic.

À un moment opportun, vous effectuez les deux manœuvres, puis vous répondez aux questions de vérifications intérieures et extérieures et de sécurité. La conduite reprend, généralement sur des environnements variés: agglomération, axe plus roulant, giratoires, zone apaisée. L’épreuve dure en moyenne une trentaine de minutes. De retour, l’inspecteur consigne sa notation et votre relevé vous parvient sous 48 heures en général.

Stratégie mentale pour le jour J

Entrez dans l’épreuve avec une routine. Avant de démarrer, inspirez, expirez, visualisez les 30 premières secondes: démarrage propre, regard lointain, rétro, allure calme. Parlez-vous à voix basse si cela vous aide: « je regarde loin, rétro gauche, je mets le clignotant, je contrôle l’angle mort, je me place ». Cette auto-guidance structure l’action et apaise le stress.

Gérez le temps. Si une situation se referme, n’insistez pas. Renoncer est un signe de maîtrise, pas de faiblesse. Quand la situation est favorable, agissez sans mollesse. L’inspecteur valorise les décisions nettes et sécurisées, pas la précipitation ni l’indécision prolongée.

Accueillez l’imprévu avec méthode. Un piéton hésite ? Ralentissez franchement, soyez prêt à vous arrêter. Un véhicule vous coupe la route ? Freinez, gardez le contrôle, reprenez votre trajectoire. Votre capacité à créer des marges vous protège et vous rend lisible pour les autres usagers.

Optimiser ses points: micro-détails qui font la différence

Rétroviseurs: vérifiez-les à intervalles réguliers et avant toute action latérale. Clignotants: déclenchez ni trop tôt (ambiguïté), ni trop tard (information inutile). Trajectoires: soignez la distance à droite sans serrer, gardez un volant stable, corrigez doucement. Allure: anticipez la sortie d’un rond-point pour accélérer tôt mais progressivement, afin de vous insérer rapidement sans brusquer.

Communication non verbale: regard franc, positionnement, légers coups d’œil en direction des usagers concernés. Courtoisie: un signe de remerciement, un geste pour laisser la priorité quand c’est logique, jamais au détriment de la règle. Ces détails, répétés, témoignent d’une conduite mature et peuvent solidifier chaque compétence sur la grille.

Après l’épreuve: lire son bilan et progresser rapidement

Si vous réussissez, félicitations: vous avez montré que vous pouvez conduire seul en sécurité. Si vous échouez, concentrez-vous sur le relevé: quelles compétences sont en retrait? Observation? Allure? Positionnement? Communication? Manœuvres? Chez INRI’S, nous transformons ce diagnostic en plan d’entraînement: séquences ciblées, examens blancs rapprochés, et nouvelle présentation aux délais les plus courts possibles grâce à une organisation de stage-accelere déjà rodée.

Le but est d’éviter l’errance. Un échec isolé ne dit rien de votre potentiel: il dit simplement où travailler maintenant. Avec un accompagnement rigoureux et une pratique intensive, les progrès sont souvent spectaculaires en quelques séances. L’objectif reste le même: sécurité, fluidité, lisibilité.

Ce qu’il faut retenir

La notation 31 points permis repose sur une addition simple: compétences de conduite, vérifications intérieures et extérieures jusqu’à 3 points, et point de courtoisie au volant. Pour réussir en 2025, visez au moins 20/31 sans faute éliminatoire. Conduite autonome, observation, allure, réglementation, communication et manœuvres obligatoires forment l’ossature du barème. Pour accélérer votre préparation, vous pouvez rejoindre un stage-accelere bien structuré.

Avec un entraînement structuré, des examens blancs et un accompagnement expert, vous transformez ces critères en réflexes. INRI’S Formations, réseau national spécialisé dans le permis accéléré, met à votre service des moniteurs diplômés d’État, des délais réduits, des solutions de financement, une plateforme simple et un suivi précis pour vous amener à la réussite, dans les meilleures conditions.