Guide 2025: nouvelles questions vérifications techniques permis

Prêt à maîtriser les nouvelles questions vérifications techniques permis, réviser le code si besoin, et gagner des points précieux le jour J ? C’est un passage décisif mais accessible avec la bonne méthode. En 2025, le format se stabilise et s’actualise avec les véhicules modernes. Dans cet article, nous allons voir ensemble comment anticiper ces questions, quoi réviser en priorité et comment répondre avec assurance.

Qu’est-ce qui évolue en 2025 dans les questions de vérifications techniques ?

En 2025, l’esprit de l’épreuve reste identique : vérifier que vous êtes capable de contrôler l’état et la sécurité d’un véhicule, d’expliquer une manœuvre ou un dispositif, et d’adopter les bons réflexes. La nouveauté tient surtout à l’actualisation des libellés et à l’intégration de technologies aujourd’hui très présentes, comme les aides à la conduite, les motorisations hybrides et électriques, ou encore les équipements d’appel d’urgence.

Concrètement, vous pouvez vous attendre à des questions plus contextualisées sur les systèmes d’assistance tels que le régulateur et le limiteur de vitesse, l’alerte de franchissement de ligne, la surveillance des angles morts, le freinage d’urgence autonome (AEB) ou encore l’ESP. Les véhicules électrifiés amènent aussi des thèmes nouveaux, comme l’affichage READY, la gestion de l’autonomie, la sécurité lors de la charge et la récupération d’énergie.

La dimension prévention reste centrale. Les vérifications extérieures et intérieures mettent l’accent sur la lecture des voyants, la compréhension des feux de croisement et de route, la pression des pneus, le niveau des fluides et l’usage du triangle de présignalisation et du gilet de sécurité. Le socle « Protéger – Alerter – Secourir » est toujours présent dans les questions liées aux premiers secours, avec des rappels utiles pour le code-voiture et ses mises en situation.

Les trois questions de vérifications du permis de conduire

Le jour de l’examen pratique, l’inspecteur pose trois questions distinctes. La première porte sur une vérification du véhicule, intérieure ou extérieure. La seconde évalue vos connaissances de sécurité routière en situation, par exemple l’usage correct des dispositifs ou le comportement à adopter. La troisième concerne les gestes de base en premiers secours, indispensables pour réagir efficacement en cas d’accident.

Chaque question n’est pas éliminatoire en soi, mais elles pèsent dans la notation globale. Bien répondre prouve votre autonomie, votre sens des responsabilités et votre capacité à maintenir un véhicule en état de fonctionnement sûr. C’est également un moment privilégié pour montrer votre rigueur méthodologique : vous observez, vous expliquez, vous justifiez votre choix, puis vous transposez au quotidien.

Fonctionnement des nouvelles questions du permis de conduire

Le fonctionnement est simple et transparent. L’examinateur choisit des thèmes, généralement au hasard dans une base, puis vous demande d’exécuter ou d’expliquer une vérification. Il peut s’agir d’allumer un éclairage spécifique, de reconnaître un voyant, de montrer où et comment contrôler un niveau, de décrire l’usage d’un dispositif d’aide, ou de détailler les étapes de protection d’une zone d’accident.

Les réponses attendues sont pragmatiques. Vous devez manipuler calmement et avec méthode. Si une action nécessite un démarrage, vous sécurisez l’environnement (point mort, frein de parking, vérifications d’usage). Si la manipulation est impossible moteur éteint, vous l’expliquez et décrivez précisément ce que vous feriez moteur allumé, sans prendre d’initiative risquée. L’important n’est pas d’improviser, mais de montrer une logique claire et des priorités de sécurité.

Les questions de l’examen du permis de conduire en 2025

En 2025, les thèmes couvrent l’ensemble des éléments essentiels à la conduite d’un véhicule moderne. Les questions restent accessibles si vous connaissez votre voiture d’examen et si vous avez répété les gestes-clés. Vous trouverez ci-dessous les axes majeurs et des exemples de formulations représentatives.

Éclairage et signalisation. On peut vous demander d’activer les feux de position, les feux de croisement, les feux de route, l’antibrouillard avant ou arrière, ou encore les feux de détresse. Vous devrez savoir où se trouve chaque commande, reconnaître le pictogramme, et mentionner quand les utiliser et quand les éteindre pour ne pas éblouir.

Voyants du tableau de bord. L’inspecteur peut vous montrer un voyant et vous demander sa signification et la conduite à tenir. Par exemple, un voyant de pression d’huile impose un arrêt immédiat, un voyant ABS signale un défaut du système d’antiblocage, et un voyant d’ESP peut indiquer l’activation ou un dysfonctionnement du contrôle de stabilité.

Niveaux et consommables. Les questions portent sur l’huile moteur, le liquide de refroidissement, le liquide de frein et le lave-glace. On attend de vous que vous montriez l’emplacement du réservoir, les repères mini/maxi et la précaution d’ouvrir le capot moteur éteint et refroidi. Pour le lave-glace, on peut vous demander la commande d’activation des essuie-glaces et du jet.

Pneumatiques. L’examinateur peut vous interroger sur la pression des pneus, le témoin d’usure, le sens de montage et l’impact sur la tenue de route et la consommation. Citez la plaque d’information (montant de porte, trappe à carburant, manuel), la valeur à froid, et la nécessité de contrôler aussi la roue de secours ou le kit anticrevaison.

Freinage et tenue de route. Des questions fréquentes concernent l’ABS, l’assistance au freinage d’urgence (AFU), l’ESP, le frein de stationnement électrique et l’alerte de sous-gonflage TPMS. Expliquez la fonction de chaque système et la bonne conduite en cas d’activation ou de défaut.

Aides à la conduite. Le régulateur de vitesse et le limiteur sont classiques. On peut aussi vous demander l’alerte de franchissement involontaire de ligne, la surveillance d’angles morts, la caméra de recul et les radars de stationnement. Rappelez que ce sont des aides, pas des remplaçants de l’observation, et que vous restez maître du véhicule.

Véhicules électriques et hybrides. Les questions typiques portent sur l’indicateur READY, le pourcentage de batterie, l’autonomie, la récupération d’énergie au lever de pied, les modes Eco/Normal/Sport, et la trappe de charge. On peut vous demander les précautions autour du câble, la différence entre prise AC et charge rapide, et la sécurisation du véhicule en cas d’accident.

Visibilité et confort. Attendez-vous à expliquer le dégivrage/désembuage, l’orientation des buses, l’usage du lave-glace avant/arrière, le réglage des rétroviseurs et l’activation de l’éclairage d’ambiance et du tableau de bord. Montrez que vous savez garder un pare-brise propre et une visibilité optimale.

Situation d’urgence et secours. Les questions de premiers secours révisent le triptyque Protéger – Alerter – Secourir, la pose du triangle de présignalisation, l’obligation de porter le gilet de sécurité, la position latérale de sécurité, la conduite à tenir face à une hémorragie et l’appel au 112. Sur un deux-roues impliqué, n’ôtez pas le casque sauf nécessité vitale, et pensez aux spécificités du code-moto.

Vérifications intérieures

Les vérifications intérieures concernent le poste de conduite, l’ergonomie et les commandes. On peut vous demander d’identifier le klaxon, les commandes d’éclairage, la commande d’antibrouillard, les feux de détresse, la ventilation, le dégivrage ou la commande du désembuage arrière. Vous devez savoir régler siège, appui-tête, ceinture et rétroviseurs pour assurer une position stable et une vision efficace.

Un exemple typique consiste à allumer les feux de croisement et à indiquer le voyant correspondant. Décrivez quand les utiliser (nuit, visibilité réduite) et quand repasser en feux de position en stationnement. Autre classique, la démonstration du limiteur et du régulateur de vitesse, en expliquant comment les activer, régler, suspendre et désactiver pour rester en conformité avec la limitation.

Les systèmes de sécurité actifs et passifs figurent parmi les questions récurrentes. Vous pouvez être invité à expliquer le rôle de l’airbag, les ceintures à prétensionneurs, l’ESP et l’ABS, ainsi que l’alerte de fatigue. L’attendu est de prouver que vous connaissez l’objectif de ces dispositifs, leurs limites et l’importance de l’entretien.

Le but des questions de vérifications extérieures

Les vérifications extérieures visent à s’assurer que vous savez inspecter un véhicule avant un trajet et détecter des anomalies visibles. C’est une compétence de prévention, pas un diagnostic de mécanicien. L’idée est d’éviter de prendre la route avec un éclairage déficient, un pneu sous-gonflé, une fuite de liquide ou une plaque illisible, autant de facteurs de risque et de contravention.

En montrant une méthode simple et reproductible, vous prouvez votre sens de la responsabilité. L’examinateur appréciera que vous sachiez ouvrir le capot en sécurité, identifier les réservoirs, vérifier la présence du kit de sécurité, contrôler l’état des pneus et des disques visibles, et repérer tout élément saillant ou endommagé susceptible de compromettre la sécurité du trajet.

Les vérifications extérieures au permis : déroulement de l’épreuve

Le déroulement est guidé par l’examinateur. Il peut vous demander d’ouvrir le capot, de montrer le bocal de liquide de refroidissement, ou d’expliquer comment contrôler l’huile moteur. Si un test nécessite un démarrage, vous appliquez les règles de sécurité : levier au point mort, frein de stationnement, regard périphérique, et vous agissez avec douceur sur les commandes.

En matière d’éclairage, vous allez d’abord activer la commande depuis l’habitacle, puis sortir pour vérifier physiquement l’allumage à l’avant et à l’arrière. Si vous êtes seul, vous expliquez la méthode alternative (utiliser les reflets sur une surface, demander l’aide d’un passager). Cette logique pratique et argumentée est valorisée dans l’épreuve.

Vérifications extérieures : quelles questions ?

Les questions types portent sur la reconnaissance des feux, la propreté et la lisibilité des dispositifs, et la correcte installation des accessoires. On peut par exemple vous demander d’identifier les feux de route et d’indiquer le risque d’éblouissement, de montrer l’antibrouillard arrière et d’expliquer quand il est autorisé, ou d’indiquer l’emplacement et l’usage du triangle de présignalisation et du gilet de sécurité.

Les pneumatiques reviennent souvent. Décrivez le témoin d’usure dans les rainures, la valeur minimale légale, l’importance d’une pression des pneus conforme, et l’impact d’une charge importante. Mentionnez la cohérence dimensionnelle sur un même essieu, l’absence de hernie, et la présence éventuelle d’un kit anticrevaison, de sa date et de son mode d’emploi.

Sur le freinage, vous pouvez avoir à expliquer le rôle des disques et plaquettes, les signes d’usure (bruit, vibration), et la signification d’un voyant rouge lié au liquide de frein. Pour la visibilité, montrez la commande des essuie-glaces, le changement d’intensité, l’usage du lave-glace et l’attention portée aux balais fissurés qui augmentent la distance d’arrêt visuelle sous la pluie.

Impact des questions sur la note finale

Ces questions contribuent à la notation globale de l’épreuve pratique. Une réponse claire, démonstrative et justifiée peut vous faire gagner de précieux points. À l’inverse, une réponse imprécise ne suffit pas à elle seule à faire échouer l’examen, mais elle peut peser défavorablement si elle révèle une méconnaissance des priorités de sécurité. Gardez en tête le barème et vos points-conduites pour maximiser votre résultat.

Pour optimiser vos points, structurez chaque réponse en trois étapes. D’abord, démontrez le geste demandé. Ensuite, argumentez la raison de ce geste et son cadre d’utilisation. Enfin, transposez au quotidien en rappelant l’entretien et la prévention. Cette micro-méthode, simple et reproductible, rassure l’examinateur et vous aide à rester concentré.

Nos conseils d’experts

Apprenez la voiture de l’examen comme votre outil de travail. Même si vous avez conduit plusieurs modèles, c’est celui du jour J qui compte. Repérez à l’avance les commandes d’éclairage, l’antibrouillard, les feux de détresse, le dégivrage, le réglage des rétroviseurs et la molette d’intensité du combiné. Familiarisez-vous aussi avec le régulateur de vitesse et le limiteur si le véhicule en dispose, et réalisez une evaluation-de-depart pour cadrer vos révisions.

Mémorisez les voyants essentiels et leur conduite à tenir. Un voyant rouge est prioritaire et impose souvent l’arrêt en sécurité. Un voyant orange signale une anomalie qui nécessite vigilance et diagnostic sans urgence immédiate. Citez des exemples concrets : voyant d’huile moteur, voyant de frein, témoin d’ESP, témoin de pression des pneus, témoin d’ABS. Montrer cette hiérarchie rassure l’examinateur.

Répétez les contrôles capot ouvert. Localisez le liquide de refroidissement, l’huile moteur, le liquide de frein et le lave-glace. Rappelez toujours la précaution de contrôle à froid et à plat. Entraînez-vous à verbaliser votre geste : « Je vérifie le niveau par rapport aux repères mini/maxi, je complète si nécessaire et je recherche la cause d’une baisse anormale ».

Entraînez-vous aux scénarios d’urgence. Expliquez où placer le triangle de présignalisation selon le type de voie, quand enfiler le gilet de sécurité, comment sécuriser les passagers et alerter les secours. Sur les premiers secours, répétez les étapes de la PLS et l’attitude face à un saignement abondant, sans gestes dangereux.

Faites des simulations chronométrées. Votre moniteur peut jouer le rôle de l’examinateur et vous poser une série de questions à la suite, pour vous habituer à répondre rapidement et calmement. L’objectif n’est pas la vitesse, mais la fluidité : manipulations nettes, explication brève, justification pertinente.

Application mobile questions vérifications interactives

La préparation digitale est un atout. Avec la plateforme en ligne INRI’S, vous accédez à des modules interactifs qui simulent les nouvelles questions vérifications techniques permis, avec des fiches visuelles, des vidéos courtes et des quiz orientés résultats. Chaque session renforce vos automatismes par la répétition espacée et vous permet de suivre votre progression, que vous prépariez le code-bateau ou l’examen auto.

Les contenus sont adaptés au type de véhicule que vous conduisez, thermique, hybride ou électrique. Vous y retrouvez les pictogrammes clés, les commandes d’éclairage, les voyants critiques, ainsi que des rappels sur les vérifications intérieures et les vérifications extérieures. Cet entraînement ciblé vous fait gagner en confiance et vous aide à stabiliser vos réponses le jour J, y compris pour le code-moto.

Questions de vérifications en vidéo

Les démonstrations vidéo sont particulièrement efficaces pour ancrer les gestes. Nos séquences montrent la main qui agit sur la commande, le tableau de bord qui réagit et la vérification extérieure correspondante. Vous voyez, vous entendez l’explication, puis vous reproduisez. Ce modèle visuel et auditif facilite l’assimilation et réduit le stress le jour de l’épreuve.

L’intérêt des vidéos est double : vous apprenez le « comment » et le « pourquoi ». Chaque geste est relié à une situation réelle de conduite. Par exemple, l’usage de l’antibrouillard arrière en visibilité très réduite, puis son extinction dès que la visibilité s’améliore pour éviter l’éblouissement. Ce lien constant avec la pratique vous aide à justifier votre réponse devant l’examinateur.

Plan d’entraînement express à J-7

Sept jours avant l’examen, alternez mémorisation et manipulation. J-7 et J-6, révisez l’éclairage, la signalisation et les voyants prioritaires. J-5, consacrez une séance aux niveaux et au capot. J-4, travaillez les pneus, la pression des pneus, le témoin d’usure et la roue de secours ou le kit. J-3, revoyez les aides à la conduite, leur activation et leurs limites.

J-2, entraînez-vous sur les scénarios d’urgence et les premiers secours, pose du triangle de présignalisation et rappel des distances de sécurité. J-1, faites une répétition générale avec votre moniteur : enchaînez dix questions aléatoires en conditions réelles, verbalisez vos réponses, corrigez les imprécisions. Le matin de l’examen, relisez vos fiches visuelles et respirez.

Jour J : ce que l’examinateur attend

Ce qui compte, c’est la sécurité, la clarté et la maîtrise. Approchez chaque question avec méthode, annoncez votre geste, exécutez-le sans précipitation, puis expliquez l’intérêt pratique. Si un doute persiste, dites-le simplement et recentrez-vous sur la logique de sécurité : ne jamais mettre en danger, ne jamais manipuler à l’aveugle, toujours vérifier.

Restez attentif au véhicule du jour. Parfois, la commande diffère légèrement d’un modèle à l’autre. Ne forcez pas un bouton, n’insistez pas si le moteur doit rester éteint, et demandez à préciser la consigne si elle est ambiguë. Cette posture professionnelle montre que vous savez prioriser la sécurité, ce qui est valorisé dans l’évaluation globale.

Focus technologies et éco-conduite

Les véhicules modernes invitent à parler davantage d’aides à la conduite et d’éco-responsabilité. Sur l’ESP et l’ABS, sachez expliquer que ces aides ne réduisent pas les distances de freinage sur tous les revêtements et qu’elles ne remplacent pas l’anticipation. Sur le maintien de voie et l’alerte d’angles morts, rappelez qu’ils ne dispensent jamais des contrôles visuels et de l’usage des rétroviseurs.

Côté éco-conduite, on peut vous interroger sur l’influence de la pression des pneus, du poids embarqué, de l’anticipation et de l’allure stabilisée. Sur un véhicule électrique, évoquez la modulation de la régénération, l’usage du mode Eco en ville, et la préparation d’un trajet avec marges d’autonomie. Ces réponses montrent une compréhension globale et responsable de la conduite.

Erreurs fréquentes et comment les éviter

La première erreur est de vouloir réciter sans comprendre. L’examinateur préfère une réponse légèrement incomplète mais bien justifiée à une récitation déconnectée. La seconde consiste à manipuler sans regarder l’environnement, par exemple activer des feux de route face à un autre usager. Gardez toujours une conscience situationnelle, même à l’arrêt.

Autre piège, confondre des voyants proches. Entraînez votre œil aux pictogrammes et à leurs couleurs. Enfin, ne négligez pas les vérifications extérieures de base comme la propreté des optiques, la lisibilité des plaques et l’état des balais d’essuie-glaces. Ce sont des points simples qui témoignent de votre rigueur et de votre sens de la prévention.

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Ce qu’il faut retenir

En 2025, les vérifications techniques du permis confirment leur rôle clé : tester votre sens de la sécurité et votre autonomie face à un véhicule moderne. Les thèmes s’actualisent, mais la logique reste simple. Apprenez la voiture du jour, maîtrisez l’éclairage, les voyants, les niveaux, les pneus, les aides à la conduite, et préparez les scénarios d’urgence sans dramatiser.

Répondez avec méthode, démontrez calmement, justifiez l’usage et transposez au quotidien. Entraînez-vous avec des vidéos et des quiz, répétez capot ouvert, et simulez des oraux chronométrés. Avec l’appui d’INRI’S Formations, vous transformez les vérifications intérieures et vérifications extérieures en un atout concret pour réussir votre examen et prendre la route en toute sécurité.